Navalona dans Midi Madagasikara
« Le ministère du Commerce a réalisé son grand défi concernant l’élaboration de la loi sur le commerce électronique... », a annoncé le ministre du Commerce, Olga Ramalason, lors de la présentation du bilan de son département hier. (..) « Nul n’est censé ignorer la loi. Et on reconnaît que l’invasion des produits périmés, sans étiquette et ne respectant pas les normes sur le marché local est à l’origine de la corruption des agents du ministère par certains opérateurs », a-t-elle évoqué. (..) « [Le Conseil de la Concurrence] est une structure indépendante chargée d’arbitrer en cas d’une concurrence déloyale aussi bien au niveau du marché local qu’international. Ce Conseil regroupe des magistrats se spécialisant en matière de commerce et de concurrence, ainsi que des représentants des secteurs privés et publics. Comme son nom l’indique, tout opérateur peut y demander conseil ou y avoir recours quand il se sent lésé face à la concurrence »
Dans The Guardian
Madagascar is the 11th poorest country in the world and around 60,000 vanilla farmers are reliant on the crops they produce to support their communities and families. The farmers face challenges related to crop yields, made worse by bekorontsa, a disease which dries out the leaves and vines of the plants. To deal with these hurdles Unilever has put a programme in place to train farmers in sustainable agricultural techniques and provide support to local schools.
Dans L'Express de Madagascar
La majorité des Malgaches [54%] sont optimistes par rapport au développement de Madagascar pour les quatre prochaines années. (..) Pour ce faire, le rapport de l’Afro Baromètre a noté que les problèmes les plus importants auxquels le pays fait face et auxquels le gouvernement devrait s’attaquer sont l’économie, la gouvernance, l’agriculture et les infrastructures. Et ce, conformément aux attentes de la population. En ce qui concerne la sous-catégorie de problèmes, le « salaires et revenus » ainsi que la « pauvreté et l’exclusion sociale» (respectivement 28,6% de la population) demeurent les premiers soucis de la population. Viennent ensuite le chômage et la gestion de l’économie, avec respectivement 23,8% et 16,7%.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Au niveau de l’environnement, Ambatovy a soutenu la protection de plus de 25 000 ha de forêts et de zones humides, ce qui représente approximativement 15 fois la taille de l’empreinte de la mine à Moramanga. En outre, six associations locales ont bénéficié de formations et d’appuis en matière de gestion durable des ressources naturelles. Pour ce qui est de l’éthique des affaires, Ambatovy a diffusé ses politiques de lutte contre la corruption et plus de 90% de ses employés ont suivi une formation sur ces nouvelles politiques adoptées par la société.
Racl.R dans La Nation
En termes de contributions économiques , Ambatovy a versé plus de 20 millions de dollars à titre d’impôts et de redevances au Gouvernement de Madagascar. Et dernièrement, dans le volet « Droits de l’homme », la compagnie a facilité et a participé à un certain nombre d’initiatives visant à promouvoir et à intégrer les Principes volontaires sur la sécurité et les droits de l’homme dans toutes ses zones d’exploitation. En termes d’éthique des affaires, le projet Ambatovy a diffusé ses politiques de lutte contre la corruption et celle sur l’éthique des affaires en fin 2012 et plus de 90 % de ses employés ont suivi une formation sur ces nouvelles politiques avant juin 2013. Le communiqué souligne que l’intégralité du rapport est disponible sur leur site www.ambatovy.com pour ceux qui veulent consulter.
Noella Rakoto dans NewsMada
Généralement, les recettes fiscales ne suffisent pas pour assurer développement effectif des régions car les 80% de leurs budgets dépendent de l'Administration centrale. Par ailleurs, nombre de spécialistes soulignent que dans les localités où il y a les exploitations minières, si la totalité des redevances et ristournes va directement à l'Etat central, seuls 5% de celles-ci reviennent à la région.
Noella Rakoto dans NewsMada
431.455 ménages urbains ont recours au charbon de bois selon les chiffres fournis par la société d'appui aux investissements durables. C'est la principale source d'énergie utilisée en ville. A ce rythme, les techniciens prévoient une demande de 16,4 millions de tonne en 2050. Le problème de l'énergie est encore très important à Madagascar. En effet, le bois de chauffe domine à hauteur de 92 % et est utilisé par près de 83% des ménages malgaches.
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