Solo Rabefiringa dans Madagascar Matin
La production cumulée de pétrole a dépassé les 32.000 barils pendant la phase d’injection cyclique de vapeur ou SFP (Steam Flood Pilot). Cette production a permis de constituer un stock de 13.776 barils à la réserve de Tsimiroro à la date du 30 novembre 2013. Le reste a été utilisé comme combustible pour la production de vapeur. La production moyenne du site de Tsimiroro était de 253 barils de pétrole par jour au mois novembre 2013. Madagascar Oil s’attend à l’augmentation de cette moyenne de production après le rajout de pression dans les séquences d’injection de vapeur dans les puits de forage. Deux puits ont atteint un record de production de 300 barils par jour. Quatre autres puits ont subi l’injection de vapeur en continu avant l’arrêt du 30 novembre pour la sécurité de l’ensemble du processus.
Noro Niaina dans NewsMada
Rappelons que près de 1,5 millions d’enfants ne vont pas à l’école actuellement, a estimé l’Unicef. Les parents ont du mal à scolariser leurs enfants à cause de la pauvreté des ménages. L’effectif des enfants scolarisés dans le primaire a stagné depuis 2009 portant à près de 600.000 le déficit estimé en termes d’enfants non scolarisés depuis la crise. Le taux d’abandon scolaire a augmenté de 5% entre 2008 et 2011.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les appuis fournis depuis 2007 portaient sur le renforcement des capacités d'intervention du Centre malgache de la canne et du sucre (CMCS) et la reprise de son programme d'amélioration variétale : introduction de nouvelles variétés, production de vitro-plants et quarantaine, installation de pré pépinières.
Les infrastructures d'irrigation du site d'Ambilobe ont fait l'objet d'une réhabilitation et des essais variétaux ont eu lieu dans le but de fournir des boutures aux planteurs indépendants... le programme indicatif pluriannuel pour la période 2011-2013 vise la pérennisation et l'accroissement du revenu global de la filière sucre tout en limitant l'impact socio-économique de la cessation d'activités dans les sites où la production sucrière n'est plus viable. Cinq composantes ont été définies: (i) Appui à l'extension des surfaces en milieu paysan et l'amélioration de la productivité; (ii) Appui à la diversification des usines sucrières; (iii) Appui à la mise en application des mesures environnementales; (iv) Développement de la production cannière en dehors des sites industriels existants, et (v) Aide à la reconversion des sites sucriers non viables. (..) Faut-il rappeler que le montant de l’enveloppe financière mise à disposition de l’administration contractante (Délégation de l’Union Européenne à Madagascar, au nom et pour le compte de la République de Madagascar)à titre indicatif s’élève à 370.000 €.
R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
Correctement menée et gérée, la production d’huile de palme peut bénéficier aux populations des pays en développement en apportant des revenus durables. Rappelons que parmi toutes les plantes oléagineuses, le palmier à huile possède le plus fort rendement en huile par hectare, et devrait donc en théorie nécessiter moins de terres. En revanche, l’expansion incontrôlée de la culture industrielle à grande échelle du palmier à huile peut non seulement s’avérer catastrophique pour l’environnement, mais elle risque aussi d’aggraver les problèmes sociaux et économiques en Afrique, selon un rapport publié. Certaines de ces acquisitions de terres mettent en péril les forêts, les écosystèmes et le climat, et menacent les moyens de subsistance des personnes qui dépendent de ces territoires.
Arh. dans NewsMada
Les études de la plateforme agrocarburant durable (PAD), effectuées en novembre de l’année 2012, ont montré que la réponse aux besoins nationaux en agrocarburant nécessite 950.000 ha de terres. Effectivement cette surface est considérée dans le cas où la canne à sucre et le jatropha sont retenus pour produire respectivement de l’agroéthanol et de l’agrodiesel. (..) En creusant un peu plus avec les résultats de cette étude, la réponse aux besoins de Madagascar en matière d’agroéthanol jusqu’à 2030 nécessitera la réservation d’une surface de 128.000 ha de canne à sucre, en tenant compte d’un rendement moyen de 3 m3/ha d’éthanol, ou une surface de 262.000 ha de manioc, en tenant compte d’un rendement de 1,48 m3/ha. Pour ce qui est de l’agrodiesel, Madagascar aura besoin jusqu’en 2030 de réserver 822.000 ha de plantation de jatropha.
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