Madagascar possède des ressources naturelles inestimables comme le graphite, la chromite, le charbon, la bauxite, le sel, le quartz, le sable bitumineux, le mica ainsi que plusieurs pierres précieuses dont l'émeraude, le rubis et le saphir et des pierres fines. Particulièrement, le Sud de la Grande île regorge de grandes réserves de pétrole, de pierres et de métaux précieux (or, platine, argent, saphir, rubis, émeraude, topaze, grenat…), et on y trouve même des minéraux radioactifs. A part cela, d’autres régions abritent des richesses comme les bois précieux et les plantes médicinales. Tout cela en dehors de l’existence de faunes et flores dont la plupart sont endémiques, sans oublier les ressources halieutiques. Selon les informations reçues auprès du ministère de l’Environnement et des Forêts, la plupart des richesses du pays [90%] se trouvent dans les réserves naturelles.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
60% des 85 milliards Ar pour la mise en œuvre de la Stratégie nationale de la finance inclusive (SNFI) restent à trouver. Il s’agit de trouver donc 51 milliards Ar pour boucler le financement de la SNFI couvrant la période 2013-2017.
Des échantillons de roches intrusives et de sol ont révélé une formation à forte concentration de nickel, de cuivre et de platine dans le projet Ampanihy, situé dans le sud du Madagascar, rapporte le 20 janvier Proactive Investors.
Dans L'Express de Madagascar
En moyenne 2,1% du tilapia du Nil ou Oreochromis niloticus sont perdus après leur capture au niveau des pêcheurs. Cette part atteint les 20,7% au niveau des collecteurs. Au total, 22,8% du tilapia capturés sont ainsi perdus chaque année. Cette information vient d’être dévoilée par le projet SmartFish, samedi, à travers un communiqué de presse.
Dans L'Express de Madagascar
Plus de 500 000tonnes vendues. Ce chiffre répond à la prévision de la société Holcim Madagascar par rapport au marché du ciment en 2013. (..) Les prix du ciment Holcim sont passés de 24 000 ariary à 26 000 ariary pour la marque Lova, de 22000 ariary à 24 000 ariary pour Orimbato et 105 000 ariary à 110 000 ariary pour Manda. Ce dernier a récemment baissé à 21 500 ariary, selon les prix proposés par Holcim. Les prix des produits importés s’établissent entre 21 500 ariary et 23 000 ariary. Ils ont aussi suivi la hausse des produits locaux. 80% du marché du ciment sont accaparés par les particuliers.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Dans les 650 000 tonnes en 2013. Ce chiffre du ministère de l’Agriculture révèle qu’au niveau national, la région du Vakinankaratra arrive en tête en matière de production rizicole.
Si on se réfère sur l’évolution de la production de ces trois dernières années, cette région devance l’Alaotra-Mangoro, considérée depuis longtemps comme le premier grenier à riz du pays. L’année dernière, l’Alaotra a juste dépassé les 300 000 tonnes, contre 500 000 tonnes en 2012 et un peu plus de 400 000 tonnes en 2011.
Riana dans Madagascar Matin
Le groupe d’observation GEO a pour tâche principale d’observer la terre et les différents changements qui y ont lieu en utilisant les images satellitaires. Les données ainsi recueillies sont ensuite transmises aux différents organismes et gouvernements pour leur permettre de mettre en œuvre des plans d’actions visant à faire face aux effets néfastes du changement climatique et élaborer une politique de développement rationnelle, en harmonie avec l’évolution globale et particulière de chaque pays.
Dans son allocution, Jean Omer Beriziky a mis l’accent sur les avancées de Madagascar dans le domaine de la télédétection, notamment 7 sur les 10 secteurs concernés par le GEO dont la biodiversité, l’écosystème et les feux de brousse, l’eau, la santé, les océans, les catastrophes naturelles et la météo.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
Un projet de plantation de coton à Madagascar sera lancé cette année par des investisseurs chinois. Ce projet qui nécessitera un investissement de 60 millions USD sera financé à hauteur de 12 millions USD par le fonds de développement Chine-Afrique, 20 millions USD par la Banque de développement de Chine, et le reste par la firme Shanxi Tianli Enterprise Group Corporation qui entreprendra l’exploitation.
Noella Rakoto dans NewsMada
L’académicien Celestin Tsiavaliky présage un avenir sombre de la population bovine. (..) « J’ai mené des études sur la filière bovine depuis une dizaine d’années. Au cours de mes recherches, j’ai pu établir qu’actuellement, à Madagascar, 1.200 bœufs par jour sont abattus. 400 d’entre ceux-ci sont pour le compte de la capitale, 50 autres meurent dans chacun des ex-chefs lieux de province, et 5 autres dans chacun des 119 districts de la Grande île. Ce qui fait qu’environ 86.400.000 kilos de bœuf par an sont ainsi consommés dans le pays (..) Les Malgaches ne consomment en réalité que 3,5 à 4kg par personne chaque année contre 30 à 40kg par personne durant la même période en Afrique et 80 kg par personne par an en Europe »... l’on compte près de 10 millions de bovidés à Madagascar. 5 millions d’entre eux sont des vaches, mais seule la moitié de cet effectif peut mettre à bas.
Hade'nah dans La Nation
Notons d’abord que le secteur formel regroupe en principe les entreprises ou sociétés qui paient des impôts. Le non versement de la cotisation patronale constitue un des problèmes le plus fréquent et qui a des répercussions sur les droits et avantages des employés, selon la confédération chrétienne des syndicats Malagasy ou Sekrima. Dans son rapport annuel, le médiateur de la République avait déjà évoqué ceci et que le Sekrima n’a fait que confirmer à son tour.
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