Racl.R dans La Nation
Protection de la nature. L’invasion des prédateurs. A les entendre tous, ils sont les champions de la protection de l’environnement et de la nature. Or, les véritables prédateurs en puissance sont les groupes industriels du secteur crevettier qui ne pensent et raisonnent qu’en performances financières et en tonnages toujours en augmentation. Aujourd’hui, pour justifier les causes d’une (prétendue) chute vertigineuse de leurs chiffres d’affaires et les pertes financières fictives, ils ne trouvent rien de mieux que de pointer du doigt les pêcheurs traditionnels et de les accuser de tous les péchés sur la destruction du littoral et l’environnement. (..) S’ils se plaignent aujourd’hui de ne plus enregistrer que tout juste plus de 2.000 tonnes de capture, après avoir culminé à 8.105 tonnes en 2001, ils ne peuvent que s’en prendre à eux-mêmes et à leur ambition ravageuse d’entreprise toujours à la poursuite d’une crête de production en évolution permanente. (..) l semble qu’en moyenne 350 bateaux passent par le fameux port d’ « Ehoala park » par jour sans rien payer au pays ce droit de passage dans les eaux territoriales, selon des sources locales.
Dans NewsMada
Reflets...accès à l’éduction et formation agricole : enjeux majeurs du développement rural.
La grande caractéristique de cette population rurale est sa jeunesse : 56,6% de la population ont moins de 20 ans. Le principal défi à relever pour Madagascar est donc d’insérer annuellement un nombre croissant de jeunes dans la vie active. L’effectif pourrait atteindre plus de 700.000 par an en 2040.
R.Edmond dans Midi Madagasikara
L’arbitrage existe à Madagascar depuis 1998. Et pourtant, il n’y a pas encore beaucoup d’entreprises qui ont recours à ce système contractuel de règlement des litiges à Madagascar. La preuve, il n’y a actuellement que 3 cas d’arbitrages traités par le Centre d’Arbitrage et de Médiation de Madagascar (CAMM). (..) Depuis la réforme entreprise en 2012, en effet, les membres du CAMM ne sont plus désignés individuellement mais représentent des groupements des opérateurs économiques, des avocats, des notaires et des experts comptables. Ce sont ces représentants qui forment les arbitres qui doivent avoir une compétence particulière en matière d’arbitrage.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
le CAMM a signé un accord avec les centres d’arbitrage de la Réunion, de Maurice et des Comores. Cet accord prévoit un partenariat dans le règlement de litiges entre des entreprises de ces îles. Sinon, le CAMM dispose d’une liste d’arbitres internationaux.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour l’heure, le prêt immobilier fait partie des offres les plus prisées par les clients. La BOA est la seule banque à proposer un délai de remboursement allant jusqu’à 20 ans avec un taux fixe autour de 13%. Sinon, elle a enregistré des réalisations importantes en 5 ans et demi sous la direction de Jacques Dilet. Dans sa contribution à la bancarisation de l’économie, le nombre de comptes clientèle a augmenté de 83%, plaçant ainsi la BOA comme la 1ère banque malagasy en matière de collecte de ressources. En effet, l’encours dépôts a évolué de 49% sur la période. Les encours de crédits affichent une hausse de 55% avec une progression de 84% pour les crédits aux particuliers.
Quant au réseau, le nombre des agences est passé de 55 au 30 juin 2008 à 79 au 31 décembre 2013, plus 4 nouvelles agences qui seront opérationnelles avant la fin du 1er trimestre 2014. La part de marché de la banque est de 26% pour les crédits et 27% pour les dépôts.
Dans La Gazette de la Grande-Ile
Taux de bancarisation : faible à cause de la pauvreté. La bancarisation de l’économie demeure très faible à Madagascar et tourne autour de 5 à 8%. Cela veut dire que la population et entités ayant un compte en banque ne représentent que 5 à 8% de la population. Chez la BOA-Madagascar, la 1ère banque du pays en termes de collecte de ressources, le nombre de comptes n’atteint pas encore les 400 000.
Lanto Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Selon les informations émanant d’une société d’exportation, le volume est passé de 1200 tonnes lors de la récolte 2012 à 900 ou 1000 tonnes pour la nouvelle récolte 2013. La chute se maintient, ainsi. En 2011, la production était de 1500 tonnes, et de 1700 en 2010. (..) Côté prix, une amélioration a été constatée chez les producteurs. Le kilo de la vanille verte a débuté à 15 000 ariary pour dépasser les 22 000 ariary à la fin de la campagne au mois d’août. En 2012, le kilo de vanille verte a été proposé entre 2000 et 5000 ariary dans quelques zones de production.
R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
Depuis quelques semaines, on constate que le prix des brèdes ont monté. Il s’agit en effet de tous types de brèdes, comme les anamamy, les anantsonga, les tisames, les petsai, les salades, ...
De plus, elles sont devenues rares. En fait, selon Rasoa, vendeuse de brèdes, à chaque saison de pluies, on constate que les prix flambent, car les producteurs augmentent le prix à cause de la rareté de produits, et aussi à cause des pertes dues à la présence des fortes pluies. (..) A cet effet, selon elle, plusieurs ménages n’achètent pas les brèdes en ce moment. Car au lieu de 800 ariary pour un foyer de 5 personnes pour l’accompagnement du déjeuner, il faut en acheter le double, voir triple. A cet effet, selon ses clients, ils préfèrent acheter des légumes secs comme les haricots secs, les pois, ou les lentilles.
Noella Rakoto dans NewsMada
Le chef du service de la pêche continentale, Hanta Nirina Rasoamananjara témoigne « Les ressources du lac Alaotra sont les plus menacées d’extinction actuellement, tant la surexploitation y fait rage ». Elle ajoute, « La seule mesure que nous pouvons prendre est la suspension de la pêche ». (..) « Depuis toujours, nous n’avons jamais eu des statistiques exactes concernant les stocks de ressources halieutiques. Nous attendons que des partenaires techniques et financiers investissent dans ce projet car nous n’avons pas les fonds nécessaires pour le réaliser », déclare le chef du service de la Pêche continentale, Hanta Nirina Rasoamananjara.
La loi de Finances 2013 peut expliquer la situation. En effet, on peut constater que le budget alloué au département s’élevait à près de 26 milliards d’ariary. Cette année, celui-ci n’est plus que d’environ 14 milliards d’ariary.
Hade'nah dans La Nation
Le système LMD est une formation en trois grades dont la licence, le master et le doctorat. Le basculement vers ce système nécessite un fonds colossal et pour cette année universitaire 2013-2014, le budget alloué à cet effet tourne aux alentours de 63 milliards 402millions d’ariary selon la décision du conseil d’administration de la présidence de l’université d’Antananarivo du 19 décembre dernier.
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