... les travailleurs se situant à l’extrémité la plus inférieure de l’échelle d’informalité gagnent seulement 328 Ar l’heure. En revanche, ceux se situant dans la catégorie la plus supérieure gagnent 1 443 Ar. Le salaire minimum fixé par le décret n° 2013-476 du 3 juillet 2013 applicable à compter du 1er janvier 2013, est de 108 019 Ar par mois, soit environ 623 Ar l’heure pour les travailleurs non agricoles, contre 547 Ar/heure pour les travailleurs agricoles. (..) Les travailleurs ne peuvent pas compter sur la stabilité de l’emploi. Ils peuvent être licenciés d’un jour à l’autre. Ils ne sont inscrits ni à la Cnaps ni auprès d’un établissement de santé. Ils ne bénéficient donc pas d’aucune protection sociale. (..) Sinon, des entreprises soustraient tous les mois sur le salaire de leurs employés la cotisation sociale destinée aux établissements censés assurer la protection sociale de leur personne. Mais elles ne la versent pas comme il se doit. Elles sont également peu nombreuses les entreprises à se conformer au décret fixant le salaire minimum. Ces différentes pratiques contraires au Code du travail ne datent pas d’aujourd’hui.
Tiaray R dans Ino Vaovao
FITRANDRAHANA SOLIKA : Tafiditra ho isan’ny tany afrikanina mpamokatra solika i Madagasikara.
.. misy kaompania miisa 15 eo ho eo manao ny fitrandrahana amin’ny faritra mahatratra 18 amin’ny 21 amin’ilay antsoina hoe « Onshore » ary faritra 6 amin’ny 228 amin’ny antsoina hoe « Offshore ». Raha tsy hiresaka afa-tsy ireo toeram-pitrandrahana any Tsimiroro sy Bemolanga fotsiny, ohatra, dia afaka miandrandra vokatra 2,7 milliara barika isan-taona i Madagasikara.
Manou dans NewsMada
Mahavokatra ronono hatrany amin’ny 100 tapitrisa litatra isan-taona any ho any i Madagasikara nefa tsy mahalany mihoatra ny 5litatra isan’olona isan-taona ny mponina tsirairay. Latsaka be io fatra io, hoy ireo teknisianina momba ny fanjarian-tsakafo, satria eo amin’ny 25 litatra isan-taona isan’olona eo no lany atsy Afrika ary avo folo heny amin’izay ny ronono sotroin’ny frantsay.
Dimisoa dans NewsMada
En effet, ce marché américain a eu un poids énorme sur l’économie du pays puisqu’il représentait une rentrée de devises de 300 millions de dollars à travers l’exportation de ces produits textiles. (...) une cinquantaine d’entreprises franches de la filière textile comptait sur ce marché avant la survenance de la crise en 2009 pour écouler leurs productions. Par ailleurs, selon les derniers statistiques, environ 100 000 d’emplois directs avaient été créés à cette époque dans le cadre de ce régime préférentiel, outre les quelque 300 000 emplois indirects. La suspension de Madagascar au sein de l’AGOA a provoqué le chômage de ces 400 000 personnes. (..) Par ailleurs, on devrait également diversifier nos produits à l’exportation qui est actuellement dominée par le textile, la crevette et la vanille, des produits qui constituent 44 % du total d’exportation en valeur avant 2009.
Racl.R dans La Nation
Les ressources [halieutiques] sont abondantes, pour ne pas dire que Madagascar n’exploite que seulement un tiers de son potentiel avec ses 325 000 ha de mangroves, représentant 20% des mangroves africaines avec les crabes. (..) Rien que pour le crabe par exemple, la Corée, la Malaisie, la Chine qui est un grand exportateur de crabe, le Japon et l’Europe sont des pays potentiels pour l’exportation de crabe. Le prix international pour la vente de crabe varie entre 3 à 18 dollars alors que les entreprises étrangères exportatrices de produits halieutiques n’achètent pas de crabes aux pêcheurs ni aux collecteurs au-delà de 3 dollars, souligne Josio d’où l’intérêt de se lancer et passer outre ces entreprises exportatrices.
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