Mikama - February 11, 2014

Racl.R dans La Nation
Madagascar exporte des produits vers le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA). Pour l’année 2013, les principaux produits sont les combustibles minéraux, les huiles minérales et produits de leur distillation, à hauteur de 9.849.000 USD. Il y aussi le thé, le café, matés et épices, allant jusqu’à 8.877.000 USD. Les minerais, scories et cendres (6.841.000 USD), le sucre et sucreries (6.041.000 USD), le coton (5.243.000 USD), les transactions spéciales commerciales (3.552.000 USD), le bois, le charbon de bois et ouvrages en bois (3.495.000 USD), le papier et cartons, ouvrages en pâte de cellulose, en papier ou en carton (3.303.000 USD), les poissons et crustacés, mollusques et autres invertébrés aquatiques (3.254.000 USD) et finalement les légumes, plantes, racines et tubercules alimentaires (2.887.000 USD).

Faly Randriamiarantsoa dans AoRaha
Tsy fahampian’ny fepetra mifehy ny fampidirana sakafo sy biby eto Madagasikara. Saika avy any ivelany ny ankamaroan’ ireo aretina mpahazo ny biby eto amintsika. «Tsy mbola voafehy araka ny tokony ho izy ny fidiran’ ireo vokatra samihafa mety mitondra ireny aretina ireny», araka ny fanamarihan’ny filohan’ ny sampam-pianarana fitsaboana biby, ny Profesora Rafatro Herintsoa... Ankoatra izany koa ny tsy fahampian’ny mpitsabo biby eto Madagasikara. «Manodidina ny 300 ny isan’ny mpitsabo biby eto Madagasikara amin’ izao fotoana raha maherin’ ny 700 no takian’ny tsena», hoy ihany ny fanazavany. Nanomboka tamin’ ny 2007 no nisokatra ity sekoly [DESMV, Ambatobe] ity ka mpianatra manodidina ny 30 isan-taona no mandranto fianarana ao.



Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
D’après le Tableau de bord de l’économie (TBE) publié par l’Institut national des statistiques (Instat), le nombre d’entreprises formelles créées dans la Grande île a accusé une baisse de 40,4% par rapport à l’année 2012. Ce qui représente au total 13 123 nouvelles entreprises contre 22 019 en 2012.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« Les Nations-Unies apportent une nouvelle vision concernant le respect des droits de l’Homme. À travers cette sensibilisation, il s’agit pour cette institution de donner des appuis pour faire respecter les droits économiques, socio-culturels du citoyen titulaire de droits », a avancé Hery Chan­doutis, professeur, directeur d’études auprès de l’IEP.
Le droit au travail, le droit au logement, le droit à la santé et le droit à l’éducation sont autant de droits que l’Etat doit respecter. Les projets prioritaires doivent être mis en évidence dans le cadre de la loi de finances.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
.... il est annoncé que la vision stratégique du SNU pour les cinq prochaines années serait d’opérer des changements dans le mode de gouvernance en prenant en compte les facteurs clés d’instabilité sociopolitique et certains déterminants de la croissance économique pour que le développement soit plus inclusif. Le pays devra s’appuyer sur ses richesses en ressources humaines constituées d’une grande majorité de jeunes pour transformer les  ressources naturelles et agricoles du pays en  richesses économiques qui contribueront à réduire significativement et dans un laps de temps raisonnable  le seuil d'extrême pauvreté (374 941 Ariary/ an) qui touche  56,5 % de la population.
Et la même source d’indiquer que les programmes de coopération des agences résidentes et non résidentes du Système des Nations Unies pour le cycle 2015-2019 seront élaborés à partir de l’UNDAF qui garantit la cohérence et la synergie entre les interventions des agences et celles des autres partenaires techniques et financiers. Les départements ministériels, les Organisations de la société civile et le secteur privé ainsi que les agences du SNU prennent part à la planification stratégique. Il s'agit plus précisément du BIT, la FAO, le FIDA, l’OMS, l’ONUDI, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNICEF, l’UNESCO, l’UNHABITAT, le Haut-Commissariat pour les Droits de l’Homme, OCHA, la CNUCED, l’ONUSIDA, le FENU, le CINU, ainsi que des organismes internationaux comme l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM).

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Les services ministériels présents ont pour leur part présenté les instruments rentrant dans le cadre de leurs stratégies de services. Parmi eux, le Fonds de Développement Agricole (FDA) financera les projets des organisations dans le secteur agriculture, élevage, pêche et forêt. Il est l’instrument financier qui accompagnera les appuis alloués par les Centres de Services Agricoles (CSA) au profit des organisations paysannes faîtières et qui, dans sa phase pilote, a déjà été précédé par les Fonds Régional de Développement Agricole (FRDA) dans diverses régions (Matsiatra, Ihorombe, Amoron’I Mania, Vakinankaratra, Analamanga, Boeny, Menabe, Vatovavy Fitovinany, Atsimo Andrefana) à travers les projets de développement financés par le FIDA, l’Union Européenne, l’AFD, la Coopération Suisse et le Ministère de l’Agriculture.
Et les mêmes  données de souligner que bientôt fonctionnel en 2014, ce Fonds sera financé par le budget national (Ministère de l’Agriculture, le Ministère de l’Elevage à travers le Fonds de l’Elevage (FEL), par le Ministère de la Pêche par le biais de l’Agence Malgache de la Pêche et de l’Aquaculture et par des taxes parafiscales) des Ministères du développement rural mais aussi par les taxes fiscales et des appuis extérieurs. Le FDA est un établissement public à caractère administratif mis en place dans le cadre de la Stratégie nationale de Services agricoles élaborée en 2006 -2007.
Toujours en 2014, il est mentionné que les trois secteurs clés du développement rural à Madagascar, notamment l’agriculture, l’élevage et la pêche bénéficieront de la mise en œuvre du PSAEP (Programme sectoriel Agriculture, Elevage et Pêche) dont le compact a été signé en octobre 2013.

Valis dans Tribune de Madagascar
Plus de 70 fokontany dépendent du Parc national d’Ankarafantsika sur la RN4 reliant Antananarivo à Mahajanga. (..) dans le rapport du directeur du parc qu’en 2013, 11 500 touristes y ont été enregistrés et ont généré plus de 200 millions d’ariary de recettes... En 2013, selon le directeur, le MNP a recensé 56 foyers de feux, ravageant quelque 85ha. Mais la sensibilisation à la lutte contre les feux de brousse a été fructueuse. En 2010, de graves incendies ont dévasté une partie du parc ; les feux ont commencé le mois d’août et n’ont été complètement éteints que le mois d’octobre 2010. Devant les moyens de lutte dérisoires des agents forestiers, plus de 500 volontaires issus des 70 fokontany sont actuellement en charge de protéger le parc d’Ankarafatsika, appuyés par des agents pompiers de la région Boeny qui sont affectés en permanence sur les lieux.



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