Arh. dans NewsMada
A noter que la filière ne représente que 0,2% du PIB national, selon les données de l’Organisation internationale du café (ICO). Un taux moindre par rapport à celui de la riziculture irriguée, dont la part dans le PIB est estimée à 15%. Le pays produit environ 45.000 tonnes de café par an et en exporte près de 10.000. (..) Selon les statistiques de la direction générale des Douanes, l’exportation de café a généré 11 millions de dollars en 2010, 6,7 millions en 2011, 5,3 millions en 2012, 19,7 millions en 2013 et 15 millions l’année dernière. (..) Selon les dernières statistiques disponibles, la production de café à Madagascar a baissé de plus de 60% de 1960 à 2010. Le café constitue pourtant l’un des principaux produits d’exportation de Madagascar. A l’apogée de la caféiculture, 80% des revenus des ménages de la partie Est de Madagascar provenaient de la vente du café.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Identité: 95% des Malagasy s’identifient comme Malagasy. C’est la plus forte proportion enregistrée par Afrobaromètre ou le réseau de recherche panafricain et non partisan qui mène des enquêtes d’opinion publique sur la démocratie. 34 pays ont fait l’objet de la même enquête qui a porté cette fois-ci sur l’identité. (..) A Madagascar, seuls 7% des Malagasy se sentent plus de leurs groupes ethniques que de leur nationalité. Comme quoi, il est illusoire de compter sur un éventuel conflit ethnique si on se réfère à certaines menées de partis et groupes politiques. De plus, 49% des citoyens se sentent uniquement Malagasy. 50% déclarent être fiers d’être appelés « Africains » si l’autre moitié ne l’est pas ou est indifférente à la question.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Si ailleurs, les bourses sont accordées aux étudiants les plus méritants, elles sont pour tout le monde dans les universités malagasy. Histoire de donner à tous ces jeunes les mêmes chances pour poursuivre leurs études. Et dans un pays très pauvre comme Madagascar, les bourses au niveau de l’enseignement supérieur sont une évidence, d’autant plus que moins de 5% des bacheliers ont la possibilité d’accéder à l’enseignement supérieur.
Jir dans L'Express de Madagascar
Humanitaire – « Médecins océan Indien » à Maroantsetra. 13 ans après, le docteur Firoze Koyt-cha et son équipe renouent avec une zone particulièrement enclavée au Nord-Est de Madagascar, avec un triple objectif de soigner, d’enseigner et d’informer. (..) Durant ces deux semaines, quelques 8 000 patients seront passés au crible. « Nos équipes seront à pied d’œuvre de 8 heures à 21 heures tous les jours, à l’exception du dimanche. En moyenne, chaque jour, chacun de nous consultera une soixantaine de personnes. »
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