Mikama - Nov 24, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Un fléau à éradiquer. Outre la surexploi­tation, la filière crabe est marquée par un taux de mortalité élevé. Une enquête du programme a démontré que du stockage au village à la commercialisation en passant par le transport vers l’usine ou les marchés locaux, ce taux est de 32% et peut atteindre les 40 à 50% en saison de grosses pluies. Selon les estimations, cette importance de la mortalité entraîne une perte annuelle de 1 300 tonnes soit une valeur commerciale de 4 500 000 euros. Face à la situation, le ministère chargé des Ressources halieutiques et de la Pêche et le programme Smartfish se sont fixés pour objectif de diminuer d’un tiers le taux de mortalité avant la fin de l’année 2015, et à moins de 10% vers fin 2017.

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Etait-ce un mauvais calcul de la part de l’État  Le projet d’augmenter de 10 à 15% le droit de douane sur le bondillon dans la loi de finance 2015 pourrait avoir des impacts négatifs importants sur des entreprises. C’est le cas, par exemple, de la savonnerie Soba qui utilise ce produit comme matière première de base pour sa production. D’après cette société, les 5% en plus représentent plus de la totalité de leur marge bénéficiaire. Si cette mesure est appliquée, elle devra donc vendre à perte ou décider de réviser à la hausse ses tarifs

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Seuls 6% des travailleurs ont un travail moderne et formel. Ce chiffre du Bureau international du travail (BIT) montre à quel point la qualité des offres d’emplois est plus qu’exécrable dans le pays.
Ainsi, l’informel règne en maître. S’il s’avère être une bouée de sauvetage pour bon nombre de ménages en période de crise, il génère des impacts négatifs dont les emplois précaires assortis de mauvaises conditions.

Jean – Claude STEVE dans Midi Madagasikara
Madagascar vient de ratifier la convention internationale sur la pollution par les hydrocarbures de soute et la convention internationale sur les substances nocives et potentiellement dangereuses. La première a comblé les lacunes dans le règlement international en matière de responsabilité liée à la pollution marine. La seconde quant à elle sur la responsabilité et l’indemnisation pour les dommages liés au transport par mer des substances nocives et potentiellement dangereuses.

Arh.  dans Newsmada
L’Etat congolais alloue 70% de son budget aux infrastructures publiques (environ 600 millions d’euros) contre 8% pour Madagascar (près de 3 millions d’euros). (..) Emile Ouosso [le ministre des Travaux publics du Congo Brazaville] a évoqué la necessité de la considération du cadre macroéconomique. « En 15 ans, nous avons bâti 3.000 km de routes bitumées. En cinq ans nous venons de revêtir plus 8.000 km de routes avec des materiaux spéciaux grâce auxquels on peut rouler en toute saison. Chaque chef lieu de département est actuellement connecté à la capitale par des routes bitumées et nous passons à la réhabilitation des routes reliant les villages », a-t-il fait savoir

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