Samy R. dans Newsmada
Les dernières statistiques avancent que la Grande île dispose de près de 5.700 km de routes nationales bitumées, de plus de 6.000 km de routes secondaires en terre battues et de 30.000 km de pistes. (..) Selon une étude de la Banque mondiale, le manque d’entretien et de maintenance des routes a entrainé le fait qu’entre 1970 et 2000, «<em> le pays a perdu en moyenne environ 1.000 km de routes par an ». Le linéaire routier qui était d’environ 50.000 km au début des années 60, n’est plus que de 38.000 km en 2010.
Bill, Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Le ministre des travaux publics Roland Ratsiraka informe que l’État a prévu 5 milliards d’ariary à repartir entre les communes pour la réhabilitation des infrastructures, notamment les routes. Dans cette rubrique, il reste une enveloppe de 600 millions d’ariary qui sera distribuée à travers un tirage au sort ; les heureuses communes élues seront connues ce 28 novembre.
Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
Concernant les amendements, le droit de douane sur le bondillon, matière première du savon, a été finalement maintenu à 10% alors que le projet prévoyait de l’augmenter à 15%. Par ailleurs, la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 20% sur le poussin d’un jour que la loi de finances rectificative 2014 avait instaurée est également supprimée. «Ces amendements auront évidement des incidences sur la recette douanière, mais elles seront moindres. Je précise que le droit de douane sur des produits comme le sucre et la farine est maintenu à 10% au lieu de 20% pour sauvegarder le pouvoir d’achat de la population», explique Hajarizaka Raminomanana, directeur général des douanes.
Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Selon la DG de la météo, la pratique fréquente des feux de brousse est la principale cause de ce retard de la pluie, car, cela réchaufferait la terre. « La température issue des feux de brousse est supérieure à 200° et donc les nuages ne se forment pas. Même s’il y en a, ils sont absorbés par l’atmosphère », explique la spécialiste en météorologie. La provocation de la pluie artificielle n’est pourtant pas facile pour les météorologues. Cela exige la présence de nuages, mais surtout, beaucoup d’argent. Le ministre des Transports et de la Météorologie, Ulrich Andriantina note qu’une séance de pluie artificielle coûterait environ 20 000 000 d’ariary, car, cela nécessiterait l’utilisation d’un aéronef dont la location serait de 5 000 000 d’ariary l’heure.
Bill dans Tribune de Madagascar
Environnement. Exploitation forestière. Dorénavant, le permis de gré à gré va être remplacé par le permis par voie d’adjudication; c’est ce qui a été suggéré par les participants à l’atelier sur le bois (..) Parallèlement à cet atelier, le GIZ a également été auprès des acteurs de la pêche et des ressources halieutiques et ceux de l’environnement, toujours dans le cadre du programme germano-malgache environnement pour la région Boeny. Les participants à cette rencontre ont décidé des structures et stratégies de préservation et de promotion des forêts de mangrove dans le Boeny. Des coopératives seront créées et leur première préoccupation sera d’accroître les champs de mangrove jusqu’à atteindre les superficies de 100 000 hectares comme précédemment.
Had'Nah dans La Nation
Si 10% de la population malgache sont des personnes handicapées d’après l’estimation des centres orthoprothésistes, 3% ont besoin d’appareillage, soit environ 660.000 personnes. Pourtant il n’existe que 67 techniciens orthoprothésistes dans toute l’île. Il faut 30.000 à 200.000 ariary pour l’achat d’un appareil orthopédique selon le cas du patient. « On compte huit centres d’appareillage à Madagascar.
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