Mikama - Dec 1, 2014

Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Arancha Gonzalez : « Madagascar doit rattraper le temps perdu ». Concrètement, nous leur apportons quatre choses. Premièrement, pour les entrepreneurs, l’intelligence commerciale. Où y a-t-il des opportunités pour exporter. Où peuvent-ils le faire et sous quelles conditions   Deuxième volet, nous aidons les entreprises à améliorer la compétitivité comme la qualité de la production, ou de l’étiquetage, s’ajuster au changement climatique, pour produire de la manière la plus économique possible tout en respectant la qualité. Ce sont ces sujets qui font la compétitivité d’une entreprise à l’exportation. Troisième volet, nous aidons les sociétés à accéder aux crédits, mais aussi les banques à mieux déterminer les risques des entrepreneurs car souvent, les banques ont tendance à ne voir que des risques dans les PME, sans même essayer d’examiner le bien de l’activité et du projet de la société. Quatrième volet, nous aidons les entreprises à se connecter à des marchés. Que ce soit par des rencontres B to B ou bien en ligne.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Mangroves: Viser 100 000 ha pour le Boeny. Une coopérative pour gérer les mangroves devrait bientôt voir le jour. (..) L’objectif est de porter à 100 000 ha ces espaces côtiers et de les protéger car ils sont utiles pour la protection des côtes, le développement des crabes des mangroves et d’autres espèces halieutiques…  Rappelons qu’avec environ 325 000 ha, les mangroves de Madagascar représentent 20% de ces couvertures côtières en Afrique et 2% au niveau mondial. Seulement, les mangroves subissent des pressions de plus en plus fortes à cause de la déforestation et autres utilisations qu’en font les ménages des zones voisines. Signalons que la loi n°32100/2014 du 10 novembre 2014 interdit l’exploitation des mangroves sur toutes les côtes de Madagascar.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
7,6%. C’est la croissance de l’exportation sur les 8 premiers mois de l’année 2014 d’après les données de la Banque mondiale. Seulement, cette augmentation a été tirée presque exclusivement par les produits miniers et les textiles.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
En fait, la décentralisation est une coquille vide sans un budget conséquent, des transferts budgétaires plus élevés, des transferts techniques et de ressources humaines. Jusqu’ici pourtant, l’Etat central gère 95% du budget public. Le peu qui reste est partagé par les 22 régions et les 1 549 communes. (..)  Le budget des ministères des Travaux publics et des Transports ainsi que celui du ministère d’Etat chargé des Infrastructures (un peu plus de 330 milliards Ar) est en-dessous de celui des 3 ministères censés lutter contre l’insécurité (plus de 455 milliards Ar). (..) Seulement, le ministère de l’Industrie, du Développement du secteur privé et des Petites et moyennes entreprises ne peut prétendre qu’à un maigre budget de 10,7 milliards Ar en 2015

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Les deux cent-dix « sapeurs sauveteurs » de l’Armée se déclarent prêts pour d’éventuels secours en cas de catastrophes naturelles. Selon la direction générale de la Météorologie, trois à quatre cyclones dont un ou deux seraient très intenses sont prévus toucher la Grande île. « Le Corps de protection civile possède des aptitudes particulières pour le déblaiement des axes vitaux, le dégagement des victimes isolées, l’hébergement d’urgence et la production d’eau potable pour les sinistrés, l’appui à la médicalisation d’urgence, au transport et au matériel de secours, ainsi que l’évacuation des victimes »

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Depuis 1985, le Bureau international du travail a mis en œuvre l’Himo structurée qui repose sur trois différents piliers. Il s’agit des formations, des investissements et des entretiens. (..) Selon les explications, l’ Himo structurée peut toucher de grands projets comme la construction de routes,
d’hôpital, de marchés et des domaines différents comme l’agriculture et l’exploitation minière. Mais des études de faisabilité socio-économiques et techniques doivent être réalisées au préalable.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar  
«Il est nécessaire que les enfants connaissent l’importance de la protection sociale dès leur bas-âge. Ainsi, tout le monde connaître les droits fondamentaux, car, la protection sociale est un devoir de tout un chacun», martèle Odon Georges Marie Raveloson, président du Conseil d’administration de la CnaPS. La couverture de la protection sociale aux travailleurs, est un combat de longue haleine, car, seulement 10% de la population active en bénéficie.

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