Mikama - Dec 9, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar 
« Le secteur [privé] manque de visibilité et nous n’allons pas embarquer la BAD dans quelque chose qui n’est pas assuré. Plusieurs demandes dans divers secteurs sont à l’heure actuelle en attente », explique Abdelkrim Bendjeb­bour, représentant résident de la BAD lors d’une récente rencontre avec la presse.
La BAD appuie des entreprises dans divers secteurs dont les mines et l’énergie. A la fin de l’année 2013, sur dix opérations en cours à Madagascar, trois étaient en faveur du secteur privé. Ce qui représente 106 d’Unités de compte (UC) soit près de 161 millions de dollars contre  160 Unité de comptes, soit 243 millions de dollars, pour le secteur public.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
La Banque Africaine de Développement a déjà contribué à la mise en place de la centrale hydroélectrique de Sahanivohitry. Elle prévoit dans le futur de participer au financement d’une centrale combinée hydro-solaire.  Un nouvel outil de financement dont Madagascar pourrait bénéficier pour le financement de ce secteur ainsi que d’autres ont été présentés, hier au grand argentier. Il s’agit du fonds Africa50. (..) Si généralement, il faut en moyenne une dizaine d’années, de la conception à la réalisation des projets, avec ce fonds ce temps devrait réduit entre trois à quatre ans au maximum. Des conditions sont cependant requises pour en bénéficier. Il faut que les projets présentés soient économiquement viable, bien ficelés et bancables.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Autour de 3 000 sages-femmes sont actuellement en activité à Madagascar, dont 800 sont membres de l’Association nationale des sages-femmes de Madagascar. (..)  Parmi les plus grandes réalisations de l’association nationale des sages-femmes et des associations régionales, figure sans doute la construction de 5 centres de santé de base (CSB) de niveaux I et II, baptisés « Mitsimbina », toujours dans un objectif de faciliter l’accès aux services de santé maternelle, néonatale et infantile, et de réduire ainsi la mortalité maternelle et infantile.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
L’Union européenne a même offert 3,3 milliards d’ariary à la fin de l’année dernière afin de mettre en œuvre les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers, pour une durée de 8 mois. La haute intensité de main d’œuvre initiée par la présidence de la république cette année s’est également succédée dans les bas quartiers pour lutter contre la montée des eaux sans résultat probant. « Le changement de comportement constitue le principal défi dans l’assainissement de la capitale », a expliqué Jéssé Ran­dria­narisoa, chef de projet de l’ONG Làlana. Tandis que certains experts revendiquent une volonté politique de l’État pour démolir les maisons obstruant les canaux d’évacuation d’eau pour résoudre ce problème.

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Toutes les mesures annoncées pour lutter contre l’inondation dans la capitale n’ont pas ainsi résolu cet éternel problème, jusqu’à ce jour. L’Union européenne a même offert 3,3 milliards d’ariary à la fin de l’année dernière afin de mettre en œuvre les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers, pour une durée de 8 mois. La haute intensité de main d’œuvre initiée par la présidence de la république cette année s’est également succédée dans les bas quartiers pour lutter contre la montée des eaux sans résultat probant. « Le changement de comportement constitue le principal défi dans l’assainissement de la capitale », a expliqué Jéssé Ran­dria­narisoa, chef de projet de l’ONG Làlana. Tandis que certains experts revendiquent une volonté politique de l’État pour démolir les maisons obstruant les canaux d’évacuation d’eau pour résoudre ce problème.

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