Noella Rakoto dans Newsmada
... selon MCI « <em>Pour l’heure, la contribution de ces dernières au PIB national oscille entre 0,5 et 1,5%. Comparé à d’autres secteurs d’activités comme le secteur agricole qui représente près de 25%, cela est encore très faible. Sur le plan fiscal, le secteur extractif est estimé avoir contribué à hauteur de 7,83% à l’ensemble des recettes fiscales à Madagascar
Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Selon le diplomate européen, dans son discours du 4 décembre, la fragilité du système juridique « est inquiétante et met à mal l’État de droit ». Hier, Omer Kalameu, conseiller au haut commissariat des Nations-Unies (NU), a renchéri en indiquant que « des mesures urgentes s’imposent pour certains aspects de droits fondamentaux ». Aux faits soulevés par Antonio Sanchez-Benedito Gaspar, le conseiller onusien a ajouté le droit à la vie par le biais de l’amélioration du niveau sécuritaire et le droit au développement qui nécessiterait la mise en place d’un climat politique sain et stable.
« L’histoire contemporaine en Afrique et ailleurs nous montre une relation directe entre la bonne gouvernance, la démocratie participative et le respect des droits de l’Homme avec le développement économique, la paix sociale et la stabilité » a-t-il souligné
Dans La Gazette de la Grande-Ile
La mise en œuvre des normes comptables contribue, entre autres, à la bonne gestion des entreprises et organisations, à la transparence et à la bonne gouvernance, à l’accès au financement, à la recherche de partenaires… Bref, les normes comptables sont indispensables au développement des entreprises. Mais pour optimiser le Plan comptable général (PCG 2005) en vigueur dans le pays ainsi que les réformes nécessaires suivant le contexte international, il faut disposer des moyens nécessaires.
Racl.R dans La Nation
Pas de loi rigide pour défendre les consommateurs en cas d’empoisonnement, de filouterie ou d’abus à Madagascar. L’exemple du délestage de la Jirama en est la preuve. Aucun consommateur ne peut réellement revendiquer ses droits pour bénéficier des services publics de fourniture d’électricité. Aucun organe indépendant n’a le pouvoir d’imposer à l’Etat de respecter les droits des consommateurs qui paient à chaque échéance ses factures alors que l’électricité n’est pas fournie normalement. Cette carence en matière légale, voire l’inexistence des lois sur la protection des consommateurs, est également visible à travers les marchandises périmées que des affairistes réussissent encore à faire entrer au pays et que l’on vend aux citoyens défavorisés.
Valis dans Tribune de Madagascar
L’enjeu de l’AGOA est de taille pour le pays, avoue-t-on du côté du gouvernement et des opérateurs car il représente 200 000 emplois et des revenus estimés à un milliard de dollars, rien que pour le textile ; or l’AGOA, c’est des milliers de produits exportables en franchise aux USA.
Racl.R dans La Nation
Sur les divers projets et politiques qui ont été appliqués à Madagascar, celle de la protection sociale semble la seule qui englobe l’ensemble de la population malagasy qui reste vulnérable à ce jour. Le président de la Banque mondiale Jim Kim parle à ce propos. « Nous sommes également convaincus que les filets de protection sociale, s’ils sont bien conçus, constituent l’un des meilleurs investissements que les pays en développement puissent réaliser ». (..) Ce programme a fait sa preuve au Mexique avec le projet « Oportunidades » initié en 2002 et repris par l’initiative « Prospera ». En seulement dix années, ce programme mexicain de filet de protection sociale a sorti des millions de personnes les plus démunis de la vulnérabilité et actuellement, ces gens commencent à vivre mieux.
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