Racl.R dans La Nation
Qui voudrait bien investir à Madagascar ? L’insécurité et le problème de fourniture d’énergie électrique, les mesures fiscales non incitatives, défavorable aux opérateurs économiques opérant déjà à Madagascar ainsi que la propagation de maladies qu’on croyait révolues, sont autant de facteurs qui découragent d’éventuels investisseurs à utiliser leurs argents à Madagascar.
Noella Rakoto dans Newsmada
Même si les aides budgétaires sont réduites pour l’année 2015, les investissements publics, quant à eux, sont en constante augmentation. La loi de finances 2015 prévoit environ 11 milliards d’ariary au titre des investissements publics dans l’ensemble de la Grande île. (..) En ce qui concerne le financement de ces collectivités territoriales décentralisées (CTD), le projet de loi de finances 2015 pour cette année prévoit que les transferts d’argent de l’administration centrale vers les CTD s’élèvent à 41 milliards d’ariary. Cependant, ces transferts de fonds ne sont pas la seule forme de financement des collectivités territoriales décentralisées. Il y a effectivement les programmes d’investissement public (PIP) dont bénéficient directement les régions, les communes… et qui demeureront les propriétés de ces CTD.
Léa Ratsiazo dans Tribune de Madagascar
Le BIT (Bureau international du travail) informe de manière officielle que près de 4 millions de la population active sont en chômage à Madagascar.
Mais la réalité dépasse le chiffre officiel dans la mesure où le sous-emploi et le secteur informel dominent le monde du travail. À peine 4% des employés disposent de travail formel, digne et respectant les normes internationales. Les femmes sont les plus actives dans le secteur informel, plus de 94,5% contre 91,7% pour les hommes et c’est le secteur agricole qui occupe la grande majorité de la population active. Entre 400 000 et 500 000 jeunes arrivent sur le marché de travail chaque année...
Racl.R dans La Nation
Cette institution rappelle que le réseau est vaste, de l’ordre de 32.000 km dont à peine 13% bitumé. Par rapport à la superficie du pays, la densité des routes est très faible. Mise à part la construction du port d’Ehoala en 2007, la réhabilitation de plus de la moitié de la RN6 en 2008, les améliorations au sein du port de Toamasina suite à la mise en concession du Terminal à Conteneur de Toamasina en 2005, et la réhabilitation et/ou le réaménagement des RN11A, RN1 bis, RN34, et RN35, il n’y a pas eu de nouveaux investissements d’envergure au cours des deux dernières décennies dans le secteur du transport, précise la Banque mondiale.
Hanitra R. dans Midi Madagasikara
La majorité des femmes qui en sont victimes, n’osent pas dénoncer. Certaines d’entre elles pensent même en être responsables, ou croient que l’homme a le droit de violenter sa conjointe dans certains cas. Ce que confirme l’enquête démographique de santé (EDSM) pour 2008-2009, selon laquelle 32% des femmes malgaches le croient. Une étude datant de 2007 sur la violence conjugale à Antananarivo (ELVICA), parle de 43% des femmes en couple et âgées de 15 à 59 ans, ont été victimes de violences conjugales durant les 12 mois précédant l’enquête. Les plus jeunes et les moins instruites sont les plus touchées. Par ailleurs, 11% des cas de violences sont des violences sexuelles en lien avec le viol, la prostitution conjugale et le mariage précoce forcé.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Ehoala park offre aux investisseurs des bonnes opportunités d’affaires. C’est le 1er parc industriel à Madagascar et il a l’avantage de se situer près du port en eau profonde. Il se trouve à 4 km de la ville et près de l’aéroport. Il est sécurisé et pré-viabilisé en eau et électricité de qualité grâce à la compagnie QMM. (..) Dans le secteur du tourisme, le port Ehoala est prévu accueillir 6 navires de croisière et 8 000 passagers pour la saison 2014-2015. La saison commence en décembre et se termine en mars. Pour 2015-2016, on prévoit 10 navires transportant 11 000 passagers.
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