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Mikama - Sept 14, 2018

Dans Xinhua
 Madagascar recorded its best rice output in 15 years, a government official said here Thursday. (..) "Madagascar harvested 4.3 million tons of rice in 2018, up from 3.1 million tons in 2017,"

Dans Relief Web
Madagascar a fait face à une épidémie de peste pulmonaire affectant plusieurs zones, en l’occurrence les grandes villes comme Antananarivo et Toamasina en 2017. Rappelons-le, la propagation rapide et la transmission de cette épidémie vers les zones non endémiques ont été favorisées par le déplacement et la mobilité des personnes à l’intérieur même du pays, voire au-delà des frontières. Actuellement, la Grande Île entre de nouveau dans la saison favorable à l’apparition de l’épidémie de peste. Par conséquent, la nécessité d’élaborer une Procédure Opérationnelle Standardisée (POS) pour la mise en place de Postes de Contrôle Sanitaire Terrestre dans certains lieux stratégiques en cas de flambée épidémique de peste ou autres maladies à potentiel épidémique a été identifiée parmi les priorités à court terme.

Dans All Africa
But despite their prominence, zebu herds have dwindled from 23 million in the early 1980s to about six million today. One Malagasy entrepreneur plans to rebuild the island's cattle industry and resurrect a zebu beef export market that faded decades ago due to chronic underinvestment and a lack of proper veterinary care. Backed by about N$95 million ($7 million), International Finance Corporation (IFC) loan and extensive advisory support from IFC and the World Bank, BoViMa-short for Bonne Viande de Madagascar-is building a modern feedlot and slaughterhouse close to Tolanaro in Madagascar's impoverished South. The feedlot will source zebu and animal feed from local breeders and farmers, supporting a wide network of jobs and trade. BoViMa, a member of the SMTP Group, plans to produce zebu meat for domestic and foreign consumption, including the fast-growing Gulf markets of the United Arab Emirates and Saudi Arabia. Danil Ismael, the company's founder and chief executive officer, expects it will provide a much-needed economic boost for Madagascar,

Mikama - Jun 25, 2018

Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Madagascar se dote de la plus grande centrale solaire de l’Océan Indien. Ambatolampy, sur une surface de 33 hectares, 73 008 panneaux solaires composent la plus grande ferme photovoltaïque sur le sol malgache. (..) Avec une puissance de 20 Mégawatts, cette centrale solaire permettra de couvrir les besoins annuels en électricité de près de 50 000 ménages à Antananarivo et à Antsirabe. (..) La mise en place de cette centrale photovoltaïque s’inscrit dans la ligne de la politique énergétique malgache et fait partie des objectifs fixés lors de la COP 21 à Paris. Madagascar économisera ainsi jusqu’à 25 000 tonnes de gaz carbonique par an. Le projet a vu le jour grâce à la coopération de l’entreprise Green Yellow et l’Etat malgache et a nécessité un investissement de 25 millions d’Euros. Selon les explications du président de la République, 30% de la production de cette centrale solaire fournira en électricité la région Vakinankaratra et ses industries. Les 70% restant approvisionneront notamment à Antananarivo et arriveront même dans la région Itasy et même Moramanga. (..) Avec les centrales thermiques fonctionnant au gazoil et fuel lourd, la Jirama produisait le kilowatt à 1 000 Ariary et le vendait à 640 Ariary entrainant une perte énorme dans les caisses de cette société. Avec cette nouvelle centrale solaire, la Jirama a conclu un contrat d’achat avec Green Yellow pour 25 ans, le kilowatt sera acheté à 480 Ariary par la société d’Etat.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Mille cinq cents semences de race de bovin Brahaman et Limousin seront inséminés gratuitement. Le lancement de ce projet ayant pour but daméliorer la race bovine a été initié dans la région Bongolava. « Cette amélioration de la race locale se fera au moyen de croisement génétique, et permettra daugmenter le poids des bovins, qui pourront ainsi atteindre 500 à 600 kg. (..) avec la troisième édition de la Foire agricole de la région Bongo­lava. Le chef de cette région, Heriniaina Rakotonin­drina salue linitiative qui contribuera au développement de la filière bovine dans la localité, qui occupe près de 75% des activités des exploitants agricoles de la région.

Mikama - Jun 18, 2018

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Rappelons que le projet PADAP s’étale sur une période de cinq ans. Il prévoit l’aménagement des périmètres irrigués d’une superficie totale de 14 000 ha et l’aménagement en terrasse de 6 000 ha. Le traitement des « lavaka » et la restauration de 7 000 ha de forêts. En plus, 12 500 agriculteurs devront adopter les techniques améliorées. Par ailleurs, le projet PADAP classifie plusieurs catégories de bénéficiaires. On peut citer, entre autres, les exploitants agricoles, les organisations communautaires locales, les organismes sous-tutelles et les collectivités territoriales décentralisées. Au total, le projet cible environ 38 200 bénéficiaires avec 1 000 agents d’institutions.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Le projet PAGOSE, lancé en 2017 est financé initialement à 65 millions de dollars. Une partie de ce finance- ment sert à l’amélioration de la planification et de la viabilité financière du secteur électricité en considérant des points tels que l'élaboration d’un Plan de développement à moindre coût (PDMC), la réalisation d’une étude tarifaire, l'élaboration d’une stratégie d’électrification ou encore le renforcement de capacité en matière de planification. 1.25 millions de dollars se rapportent à l'amélioration de la performance opérationnelle et de la gestion de la JIRAMA dans la mise en œuvre d'un programme de protection de revenu sur huit mille gros clients, représentant environ 60% des revenus de la JIRAMA. Le troisième volet de ce projet PAGOSE se chiffre à 48,62 millions de dollars et concerne les investissements dans l’amélioration de la fiabilité de la fourniture d’électricité dans les zones du projet. La Banque mondiale souligne dans le communiqué que « seulement 15% de la population avaient accès à l'électricité en 2016 (39% en milieu urbain et périurbain et environ 5% en milieu rural) et le rapport Doing Business 2017 indique que Madagascar est classé 185e sur 190 pays, avec des demandes qui attendent en moyenne quatre cent cinquante jours pour obtenir une connexion électrique ...

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
La disponibilité des statistiques sur le cheptel ovin, bovin, caprin et avicole de la région Androy est à prendre comme une aubaine de développement de l'élevage. Le cheptel caprin occupe la première place et le district d'Ambo­vombe est indiqué comme le principal éleveur dans toute la région. On y compte quelque trente six mille ménages d'éleveurs de chèvres sur les quelque quatre vingt mille enquêtés. Il y a un mâle pour vingt chèvres femelles. On y dénombre ensuite deux cent dix mille têtes d'ovins soit sept moutons par famille d'éleveurs. Le cheptel est exploité soit pour la viande, soit pour le commerce mais presque à 0.1% de transformation de la peau pour en faire de la laine.

Mikama - Jun 4, 2018

Dans L'Express de Madagascar
La présence australienne dans le secteur minier à Madagascar est à lier à Graphmada, exploitant de graphite dans la région Est, Toliara Sands, exploitant d’ilménite ou encore l’australo-anglais Rio Tinto. Le centre de formation en gemmologie simplifiée à Sakaraha est en partenariat avec les Australiens. (..) La gouvernance minière, le suivi environnemental, le décret MECIE, les investissements et les impacts environnementaux, le contenu des cahiers de charge, et même la gestion de l’eau et de l’air ont été partagés à ces responsables locaux », fait savoir le président de l’A3MADA (Association des Alumni Australien).

Mirana Ihariliva dans NewsMada
La Star, en partenariat avec le Consulat de Monaco, soutient cette année deux projets pour venir en aide aux enfants et familles des quartiers défavorisés. .. Le premier projet consiste à distribuer 1000 couvertures aux enfants de moins de cinq ans dans dix fokontany de la capitale... le second projet contribue à la scolarisation des élèves méritants issus des familles démunies. Ces derniers ont été présentés à la presse. Lors des deux prochaines années scolaires consécutives (2017-2018 et 2018-2019), la Star contribuera à la scolarisation de 17 lycéens, pour une valeur totale de 20 millions d’ariary.

Arh. dans NewsMada
La consommation de lait et de produits laitiers est estimée à 15 kg par habitant par an pour Madagascar, contre une moyenne mondiale de 20 kg/hab/an. Le défi pour la Grande île est de maintenir la consommation nationale à 10,55 kg par habitant par an, pour une population estimée à 25 millions d’habitants, en réduisant de moitié le volume des importations pendant cinq ans. Sur ces 15 kg de consommation annuelle, 9 kg proviennent des importations et plus de 5 kg sortent de la production nationale. Les chiffres du ministère en charge de l’Elevage montrent que Madagascar a importé 32.811 tonnes de lait et de produits laitiers en 2017. (..) Une vache laitière de 2 ans coûte entre 3,6 millions et 4 millions d’ariary et fournit 15 à 20 litres de lait par jour. (..) il reste à combler un gap local de près de 80.000 tonnes de lait pour un objectif total de 263.000 tonnes de production laitière, 27.000 vaches en plus, soit 2.700 fermes de 10 têtes à créer et enfin, 54.000 hectares de besoin en superficie de cultures fourragères. Et ce, en tenant compte de la moyenne de production laitière par vache : 2.600 à 3.000 l/an en 10 mois de lactation, avec un coût de production de 0,43 dollars (environ 1.400 Ar) par litre de lait frais.

Mikama - May 9, 2018

Antsa R. dans Midi Madagasikara
 Les indicateurs de résultats sont prometteurs pour le système de contrats de performances introduit au niveau des services des Douanes au Port de Toamasina. (..) Les délais de dédouanement des importations ont également baissé considérablement. Tout en ayant permis de limiter le nombre d’inspections physiques, la réforme a aussi eu des effets positifs sur la détection des fraudes et des sous-facturations, générant 12 milliards d’ariary de recettes supplémentaires (3 millions de dollars) en amendes douanières, entre 2015 et 2017, dont huit milliards (2 millions de dollars) entre 2016 et 2017. (..)  En deux ans, entre 2015 et 2017, les recettes douanières collectées au port de Toamasina ont ainsi augmenté considérablement, avec un gain de plus de 400 milliards d’ariary (environ 100 millions de dollars).

Riana R.  dans NewsMada
D’après les chiffres administrés par le Centre régional de l’artisanat malgache (Cenam), sur les 250 artisans formels recensés dans la Grande île, seuls 13% s’adonnent à l’exportation. Et malgré les potentialités de la Grande île dans ce secteur porteur, l’artisanat malgache fait encore face à plusieurs blocages.  85% des artisans répartis sur tout le territoire national travaillent encore dans l’irrégularité. Ce secteur concerne pourtant près de 2 millions de la population malgache et fournit ainsi des emplois directs à plus de 10% de la population, selon les données du Syndicat professionnel des artisans malgaches.

R. R. dans NewsMada
Les potentialités  économiques de la région reposent essentiellement sur l’élevage  (bovins et avicoles). On y recense près de 81 500 éleveurs. Il ressort aussi qu’une grande partie des éleveurs débutent avec l’élevage des poulets, avant de basculer dans celui d’ovin et caprin qui seront par la suite vendus pour acquérir des zébus. Généralement contemplatifs, peu d’élevages ont un but commercial. A Bekily par exemple, seuls 20% des éleveurs avicoles et 15% des éleveurs ovins ont une visée marchande.

Mikama - Dec 12, 2017

L.R.  dans L'Express de Madagascar
La société financière internationale (SFI) du groupe de la Banque mondiale a signé un contrat d’assistance technique pour une durée de quatre ans, hier à Anosy, avec la Bovima. Le contrat porte sur l’installation d’un parc d’engraissement et d’un abattoir moderne dans le sud du pays. Dans ce sens, la SFI lui accorde un financement à hauteur de 7 millions de dollars. Le projet global nécessite un investissement de 16 millions de dollars

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Le groupe SMTP avait  annoncé un investissement à hauteur de 11,5 millions de dollars. Bien qu’une partie de la production soit destinée au marché local, Bovima avait envisagé d’exporter vers le marché régional, plus particulièrement l’île de Mayotte. Le projet initial visait à abattre quotidiennement cinquante zébus et cent chèvres pendant les premières années. Au bout de cinq  années d’exploitation, la société prévoit le triple. Son objectif était de réaliser une production annuelle de 2 800 tonnes de viande au démarrage, avant de parvenir à un peu moins de 6 000 tonnes en phase de croisière.

Morasata Marc dans La Gazette de la Grande Ile
Les régions Androy, Anosy et Atsimo Atsinanana constituent sa zone d’intervention et la fin du projet est prévue pour décembre 2018 s’il a débuté en décembre 2013.  L’appui à la production touche à la fois les parcelles de démonstration, les champs d’expérimentation, les fermes écoles ou pilotes, les techniques améliorées sur la pêche et les transformations. En tout et pour tout, 2300 sites d’apprentissage sont mis en place de 2014 à 2017.  Les infrastructures en cours ou réceptionnées sont de 206 dont 111 en 2017. Plus d’une quinzaine de mille ménages ont bénéficié de 87 ouvrages soutenus financièrement par le FDAR, contre une surface en aménagements hydro-agricoles de moins de cinq mille hectares. Quant au financement du monde rural à travers les institutions de microfinance Cecam et Fivoy, le budget est de l’ordre de 10 450 000 000 ariary. Les montants demandés et accordés se chiffrent à 9 595 000 000 ariary, tandis que le montant décaissé s’affiche à 6 895 000 000 ariary. Il faut remarquer que le fonds du FDA Atsimo Atsinanana est revu à la baisse. Les bénéficiaires sont comptabilisés au nombre de 96 360.

Mikama - Aug 22, 2017

Navalona R. dans Midi Madagasikara
La situation démographique actuelle montre que près de 80,3% de la population malagasy sont majoritairement jeunes. Ils vivent sous la charge de près de 20% de la population qui restent faussement « producteurs ».  (..) « Il faut que chaque famille ou chaque ménage soit conscient qu’avoir enfant lui engage en retour une responsabilité de redevabilité pour le développement », a soulevé Ida Clément Rajaonera, le directeur général de l’INSTAT.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Toujours est-il que, l’offre et la demande ont regressé depuis quelques années. Antananarivo consomme actuellement. 400 têtes par jour alors que la consommation journalière avoisinait le double au début des années 2000. C’est tout le pays qui en consommerait près de 1000 têtes quotidiennement aux dernières nouvelles.

Mikama - Aug 3, 2017

Soa-Mihanta Andriamanantena dans L'Express de Madagascar
A ce sujet, « pour un besoin estimé autour de 200 tonnes de fourrage au quotidien, on enregistre un gap de 40 tonnes par jour en fourrage destiné à nourrir les vaches laitières dans la région Ana­lamanga », a avancé Andria­mapandry Rajoro, responsable technique en Zootechnie Projet Asalait auprès de Malagasy Dairy Board (MDB), une organisation regroupant les acteurs laitiers à Madagascar.

Arh. dans NewsMada
Le secteur tourisme a connu une augmentation de 20% des arrivées aux frontières l’année dernière (293.000 touristes) par rapport à la saison 2015. Cette évolution se traduit entre autres par des recettes touristiques de 748 millions d’ariary. (..) «L’effet tache d’huile devrait plus que jamais faire son effet et permettre à Madagascar d’atteindre son objectif de 500.000 visiteurs en 2019 avec une progression annuelle de 19,5% de touristes par an», projette l’EDBM.

Dans The Henry J. Kaiser Family Foundation
Christian Science Monitor: Madagascar fights the subtler side of hunger: chronic malnutrition
“…Droughts and famines tend to afflict countries in cyclical fashion. But where chronic malnutrition is endemic, such as Madagascar, they strike harder — sharply increasing the risks for already vulnerable children, according to research led by professors at Harvard University and Johns Hopkins University. … Intervention comes at a fairly low price: $400 million — not much more than one of the ‘Pirates of the Caribbean’ films — would pay for a 10-year program to iodize salt, fortify wheat flour and oil with micronutrients, and teach pregnant women and young mothers what to feed their babies, says UNICEF’s nutrition investment plan…” (Ford, 7/26).

Dans African Business Review
Madagascar, the world’s fourth largest island, is renovating its two international airports at the cost of €215 million ($245 million) with the help of the Emerging Africa Infrastructure Fund (EAIF). (..) Investec Asset Management (IAM), one of the largest third-party investors in private equity, credit, public equity and sovereign debt across the African continent manages EAIF. EAIF is also member of the Private Infrastructure Development Group (PIDG), which currently receives support from seven governments – including the UK, the Netherlands, Sweden and Switzerland – as well as private sector banks including the German development finance institution, KfW, and its Dutch equivalent, FMO. Additionally, a consortium of four international development banks have come together to support the development projects, including the World Bank's International Finance Corporation (IFC), Proparco Economic Cooperation (PPP), the Development Bank of Southern Africa (DBSA) and the OPEC Fund for International Development (OFID). Additionally, the projects are sponsored by the French companies Groupe Aéroports de Paris (ADP), Bouygues Bâtiment International and Colas Madagascar and Meridiam. Groupe ADP will provide support in the operation and maintenance of both airports throughout the term of the concession. Furthermore, ADP Ingénierie has been working on the design of the new Ivato Airport terminal. Having vast experience in the design and construction, Bouygues Bâtiment International is putting its expertise into use for building new airport terminals. Based in Madagascar for the past 60 years, Colas Madagascar will contribute to the airfield roadways. Both the companies have entered into a 50/50 “Design Construction” joint venture.

Dans Relief Web
Cassava harvests in Southern Madagascar (normally August-September) started in June 2017 due to farmers’ cash needs. Production in the south doubled compared to last year and is near the 5-year average. At the national level, production estimates remain around 3 million MT (near the 5-year average and 15 percent higher than last year). The second season rice harvest is complete and farmers in the central highlands are preparing fields for first season planting. National rice production estimates are still 20 percent lower than average with 50 percent production in the main producing areas. The maize harvest is complete, but, although production increased compared to last year, it remains below average.



Mikama - May 17, 2017

Dans Relief Web
· Preliminary results of SMART nutrition surveys in four districts in the South show GAM rates: below 10 per cent in Tsihombe and Toalagnaro districts and between 10 and 15 per cent in Beloha and Amboasary districts, just below the emergency threshold of 15 per cent. No excess child mortality was observed.
· Except Betioky and Tsihombe districts, severe food insecurity rates decreased significantly compared with both the situation in March 2016 and August 2016.

José Belalahy dans Midi Madagasikara
La période pesteuse 2016 affiche 326 cas de suspicions de peste. Ce qui constitue une grande avancée dans le cadre de la lutte contre ce fléau, malgré le taux de mortalité de 25%. Si Madagascar a été (est  connu comme étant le pays qui a enregistré le plus de cas dans le monde, il se définit également comme celui qui a développé des tests de diagnostics rapides.

Garry Fabrice Ranaivoson dans L'Express de Madagascar
Probléma­tique. Tel est le point de vue du département d’État américain sur le niveau d’impunité, à Madagascar. Cette entité a publié son rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans les pays du monde, pour l’année 2016. Selon le document de vingt-sept pages qui traite du respect des droits humains dans la Grande île, « parmi les abus des droits de l’Homme les plus importants, il y a l’incapacité du gouvernement à assurer un État de droit, résultant à la corruption et l’impunité ainsi que des abus venant des forces de l’ordre ». Le résumé analytique du rapport termine sur la note que « le gouvernement punissait ou poursuivait rarement les responsables de ces abus et l’impunité demeure un problème ».

RAzafy dans Madagascar Matin
Madagascar s’est doté d’une part d’un Programme national d’investissement agricole, élevage et de pêche (Pniaep) et prévoit de créer deux millions d’hectares de zones d’investissements agricoles  en 10 ans et du Programme national foncier (Pnf), d’autre part.
L’objectif global de ces deux Programmes est de réduire le taux de pauvreté de la population, vivant en dessous du seuil de 1,25 dollars par jour en passant de 82% à 20% en 2025, d’avoir un taux de croissance annuelle de 6% pour le secteur Aep s’il n’est que de 2,6% actuellement et de faire progresser les investissements privés dans les trois sous-secteurs.

Mikama - September 3, 2013

All Africa
In the former French colony of Madagascar, the French language continues to play an important role in education, particularly at university level. French and Malagasy are the official languages in the Indian Ocean Island. However, the local Malagasy language is much more widely spoken in the streets and at home. And English is fast becoming the foreign language of choice. "When job hunting today, you see that job vacancies are written in French and that a decent level of French is required as a minimum," said Frachet. "So people come here looking for professional training regarding the command of French language." While the French language appears to be in decline here, English is becoming ever more popular, especially among young people in urban areas and those wanting international careers.
    Labels: Education, France

Pela Ravalitera de l'Express de Madagascar
Le jeune paysan pratique le « mixed-farming », l’association agriculture-élevage. Ses champs sont  protégés par des haies de « raketa » épineuses. Il en plante aussi des inermes pour la nourriture de ses bêtes pendant la saison sèche. La ferme expérimentale de la FAO