Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Une nouvelle qui ravit vingt-et-une communes de la région Est et Alaotra Mangoro, impactées directement et indirectement par le projet d’exploitation d’Ambatovy. « Tenez-vous bien, quarante huit milliard huit cent sept millions d’ariary (48 807 000 000 ariary) seront versés par la compagnie minière Ambatovy aux communes touchées par cette exploitation de nickel et de cobalt, à titre de ristourne... pour cette année, exceptionnellement, 20% seront débloqués immédiatement afin de pouvoir faire démarrer les travaux de construction d’infrastructures. Sur les 2 % de redevances minières versées au budget général de l’État, 1,6 % de ristournes iront aux collectivités décentralisées, communes, régions, et provinces, 10% des ristournes pour le Fonds national de péréquation et 90% pour les Collectivités Décentralisées concernées »
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Aires protégées : Des pertes de revenus compensées. Près de quinze mille personnes bénéficient du Plan de sauvegarde sociale et environnementale, un projet soutenu par la Banque mondiale. Le projet a pour objectif de compenser les pertes des revenus engendrées par la création ou l’extension d'aires protégées. Des sous-projets de développement d'un montant total de 7,3 milliards d'ariary ont été ainsi octroyés pendant les deux années du projet. « Les sous-projets touchent différents types d'activités, dépendant des sites et en fonction des choix des populations affectées par le projet, telles que l'aviculture, la pisciculture, la pêche, la culture maraîchère, sèche ou la culture de maïs », explique le directeur exécutif de la fondation pour les Aires protégées de Madagascar (FAPBM), Gérard Rambeloarisoa.</p>
<p>Ces populations affectées concernent les dix aires protégées, gérées par Madagascar National Park, le parc naturel de Makira, la plus grande zone protégée de la Grande île, à cheval entre Analanjirofo, Sava et Sofia avec ses quelque 372000 ha.
R.Edmond dans Midi Madagasikara
On rappelle en effet qu’en 2016-2017, Madagascar a produit 1300 à 1500 tonnes de vanille exportable. La production malgache est estimée à 82% de la production mondiale. Les autres pays producteurs montent de plus en plus avec 5% de la production mondiale pour l’Indonésie, 4% pour l’Ouganda, 3% pour la Papouasie Nouvelle Guinée, 2% pour l’Inde. Bref, la vanille malgache qui a été longtemps estimée sur le marché mondial se présente actuellement sous des perspectives de développement plus limitées. La crise continue de miner la filière qui a connu des hauts et des bas et la vanille malgache perd de plus en plus en crédibilité.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Parmi les projets exposés durant le salon, la transformation du « Moringa » ou « Ananambo » qui est une plante à plusieurs vertus en poudre, était à l’honneur. Tsiferana Sata Andrianina, ayant obtenu son licence en Marketing en 2016, a pu fabriquer des cookies, des cakes et des krackers à base de ce produit. (..) Quant à Jacky Andriarimalala, étudiant en 3e Année, filière « Finances & Comptabilité », il se lance à fond dans la production de poudre de soja instantané parfumé au chocolat et de poudre de lait de soja présentés également dans de beaux emballages. (..) Pour Laha Nambinina, étudiante en 5e Année, filière « Administration & Management agroalimentaire », elle exploite les produits de son terroir, en tant qu’originaire d’Amboasary Atsimo, et ce, depuis un an déjà. « Je fabrique des confitures de cactus et de jujube ainsi que de l’huile de ricin, et ce avec une méthode artisanale... Et s’agissant du jeune étudiant diplômé de licence en Création d’Entreprise en 2016, nommé Fy pour ses intimes, son projet a connu un stade plus avancé qui a été concocté en deux ans. « Je produits des huiles essentielles à base de cyprès, de gingembre, de girofle, de romarin, de « Rambiazina » et de « Ravintsara », entre autres. Je dispose d’un alambic d’une capacité de 1 500 litres avec l’appui de mes parents. J’ai pu percer un marché via facebook où il y avait une demande de 10kg de l’huile essentielle.... nous avons lancé un fonds de garantie en partenariat avec la banque BFV pour soutenir financièrement les projets de ces étudiants. Ceux-ci n’ont qu’à faire un dépôt de 200 000 Ar pour pouvoir en bénéficier, tout en présentant des projets viables et bancables.
... Malagasy - First Cup in the Moaning - Pôse Café du Mâtin - Madagascar ...
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Mikama - Jul 9, 2018
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Des recommandations ont été émises par toutes les parties prenantes lors d’un atelier de formation organisée par l’EITI-Madagascar, durant cinq jours, au Motel Anosy, suite à la validation de Madagascar à un niveau de progrès significatif par le Conseil d’Administration international à Berlin. Il s’agit entre autres, de la mise en place des cellules d’informations dans toutes les directions et départements concernés, et de l’anticipation de la collecte d’informations, ainsi que les transferts des Frais d’Administration minière et des ristournes aux communes bénéficiaires et la bonne gouvernance. Les cas du projet Ambatovy et de QMM ont été cités. A cet effet, les ristournes d’Ambatovy seront bientôt transférées aux communes bénéficiaires.
Dans Global Voices
Since the Convention on the Rights of the Child was signed in 1991, Madagascar has been multiplying its efforts to implement policies that protect child rights and created more than 750 child protection networks within the country since 2004. Despite this progress, abuse, violence, sexual exploitation and forced labor are still a tragic reality which silently occurs behind closed doors. According to a report released by the Malagasy State and UNICEF, every second young Malagasy claims to have been the victim of violence at school, and nine kids out of ten have been beaten by their family. (..) 89% of children report having suffered from physical domestic abuse at least once. Nonetheless, 72% of them say they feel safe at home. (..) Violence is considered as a means of education, whether it is at home or at school. (..) 40% of young Malagasy's report having worked before the age of 18.(..) Young girls are even more vulnerable to this violence. Early marriage is part of the Malagasy tradition and is a problem for minors. More than one-third of girls between the ages of 15 and 19-years-old are already married or in a relationship. Very few teenagers use contraceptive methods (less than 8%) which considerably increases the number of unwanted pregnancies. In fact, 30% of the minors in the island have a child, as reported by a rating from the World Atlas 2015. This number reaches up to 50% in some areas of the capital. Another alarming statistic is the rising rate of sexual exploitation of girls for commercial purposes, particularly near petroleum and mining sites.
Des recommandations ont été émises par toutes les parties prenantes lors d’un atelier de formation organisée par l’EITI-Madagascar, durant cinq jours, au Motel Anosy, suite à la validation de Madagascar à un niveau de progrès significatif par le Conseil d’Administration international à Berlin. Il s’agit entre autres, de la mise en place des cellules d’informations dans toutes les directions et départements concernés, et de l’anticipation de la collecte d’informations, ainsi que les transferts des Frais d’Administration minière et des ristournes aux communes bénéficiaires et la bonne gouvernance. Les cas du projet Ambatovy et de QMM ont été cités. A cet effet, les ristournes d’Ambatovy seront bientôt transférées aux communes bénéficiaires.
Dans Global Voices
Since the Convention on the Rights of the Child was signed in 1991, Madagascar has been multiplying its efforts to implement policies that protect child rights and created more than 750 child protection networks within the country since 2004. Despite this progress, abuse, violence, sexual exploitation and forced labor are still a tragic reality which silently occurs behind closed doors. According to a report released by the Malagasy State and UNICEF, every second young Malagasy claims to have been the victim of violence at school, and nine kids out of ten have been beaten by their family. (..) 89% of children report having suffered from physical domestic abuse at least once. Nonetheless, 72% of them say they feel safe at home. (..) Violence is considered as a means of education, whether it is at home or at school. (..) 40% of young Malagasy's report having worked before the age of 18.(..) Young girls are even more vulnerable to this violence. Early marriage is part of the Malagasy tradition and is a problem for minors. More than one-third of girls between the ages of 15 and 19-years-old are already married or in a relationship. Very few teenagers use contraceptive methods (less than 8%) which considerably increases the number of unwanted pregnancies. In fact, 30% of the minors in the island have a child, as reported by a rating from the World Atlas 2015. This number reaches up to 50% in some areas of the capital. Another alarming statistic is the rising rate of sexual exploitation of girls for commercial purposes, particularly near petroleum and mining sites.
Mikama - Jul 4, 2018
Dans Digital Journal
DNI Metals Inc. (OTC PINK: DMNKF) (CSE: DNI) ("DNI" or the "Company"), is pleased to provide an update on the status of Environmental Licenses for its 100%-owned Vohitsara and Marofody graphite projects in Madagascar. The "Cahier des Charges Minières" (see explanation below) were delivered to the Company on May 18, 2018 and June 11, 2018 for Vohitsara and Marofody, respectively. As a result, the environmental licenses are expected to be received shortly. DNI owns two permitted, saprolite-hosted graphite deposits in Madagascar; located 50kms from the country's main seaport. The deposits are located less than two (2) kms from the paved national highway. DNI intends to develop the Vohitsara project, should the economic viability and technical feasibility be established. DNI has not yet established mineral resources or mineral reserves supported by a PEA or mining study (PFS or FS). DNI has a graphite wholesale business, in which it buys and sells high quality graphite.
Dans Pasadena Business Now
Tetra Tech Inc., a global provider of consulting and engineering services based in Pasadena, has been awarded a $22 million, single-award contract by the U.S. Agency for International Development (USAID) to support biodiversity protection and enhance livelihoods in Madagascar, a company press release said Thursday. The contract involves a five-year USAID project, called the Mikajy activity, which is part of the agency’s Conservation and Communities Project in Madagascar. Mikajy, in Madagascar’s national language Malagasay, means “taking good care of.” Under the contract, Tetra Tech will support critical biodiversity conservation efforts in forested and coastal ecosystems in Madagascar, and empower local communities in these regions to manage their natural resources; the company will also provide new economic opportunities and support for natural resource tenure and property rights.
Dans APO Group Mena Newsroom
Madagascar a été déclaré officiellement « Polio Free », ou Pays libéré de la poliomyélite, par la Commission Régionale de Certification de l'Éradication de la Poliomyélite en Afrique, le 21 juin 2018, à Abuja, au Nigéria... si les critères de performance déclinent, dont les systèmes de surveillance des paralysies flasques aiguës et la couverture vaccinale, il y a toujours un risque que la Commission Régionale retire le statut...
DNI Metals Inc. (OTC PINK: DMNKF) (CSE: DNI) ("DNI" or the "Company"), is pleased to provide an update on the status of Environmental Licenses for its 100%-owned Vohitsara and Marofody graphite projects in Madagascar. The "Cahier des Charges Minières" (see explanation below) were delivered to the Company on May 18, 2018 and June 11, 2018 for Vohitsara and Marofody, respectively. As a result, the environmental licenses are expected to be received shortly. DNI owns two permitted, saprolite-hosted graphite deposits in Madagascar; located 50kms from the country's main seaport. The deposits are located less than two (2) kms from the paved national highway. DNI intends to develop the Vohitsara project, should the economic viability and technical feasibility be established. DNI has not yet established mineral resources or mineral reserves supported by a PEA or mining study (PFS or FS). DNI has a graphite wholesale business, in which it buys and sells high quality graphite.
Dans Pasadena Business Now
Tetra Tech Inc., a global provider of consulting and engineering services based in Pasadena, has been awarded a $22 million, single-award contract by the U.S. Agency for International Development (USAID) to support biodiversity protection and enhance livelihoods in Madagascar, a company press release said Thursday. The contract involves a five-year USAID project, called the Mikajy activity, which is part of the agency’s Conservation and Communities Project in Madagascar. Mikajy, in Madagascar’s national language Malagasay, means “taking good care of.” Under the contract, Tetra Tech will support critical biodiversity conservation efforts in forested and coastal ecosystems in Madagascar, and empower local communities in these regions to manage their natural resources; the company will also provide new economic opportunities and support for natural resource tenure and property rights.
Dans APO Group Mena Newsroom
Madagascar a été déclaré officiellement « Polio Free », ou Pays libéré de la poliomyélite, par la Commission Régionale de Certification de l'Éradication de la Poliomyélite en Afrique, le 21 juin 2018, à Abuja, au Nigéria... si les critères de performance déclinent, dont les systèmes de surveillance des paralysies flasques aiguës et la couverture vaccinale, il y a toujours un risque que la Commission Régionale retire le statut...
Mikama - Jun 27, 2018
Navalona R. dans Midi Madagasikara
... il y a encore de nombreuses réserves largement inexploitées pour ne citer que les sites de Bemanevika et d’Ankazotaolana qui disposent chacun d’un gisement de plus d’un million de tonnes de chrome lors de ma première visite dans un chantier d’une compagnie minière malgache .En outre, des retombées économiques positives se font déjà sentir car cette exploitation minière génère près de 1 200 emplois dont la moitié des emplois directs. (..) Notons que la société KRAOMA produit 850 tonnes de chrome par jour sans compter les déchets de chrome en grande quantité qui peuvent être encore recyclés.
Riana R. dans NewsMada
L’Agence japonaise de développement international (Jica) compte prévenir les risques de corruption, liés aux marchés publics, dans le cadre du projet d’élargissement du port de Toamasina. L’accompagnement de toutes les parties prenantes dans cette démarche a été lancé. (..) Avec un investissement de 639 millions d’USD, l’extension du port de Toamasina est l’un des plus grands projets réalisés dans le pays depuis le retour de l’Indépendance. Sur ce fonds, 411 millions d’USD sont issus d’un emprunt concessionnel accordé par le gouvernement japonais, à travers la Jica. Comme il a été déjà indiqué dans les mêmes colonnes, il s’agit d’un prêt à taux de remboursement de 0,01% sur 40 ans, dont dix différés. C’est-à-dire que l’Etat malgache ne paiera l’intérêt et le capital qu’à partir de la onzième année de remboursement du prêt. Seuls les intérêts seront remboursés durant les dix premières années. Les 227 millions USD qui restent pour le financement du projet sont fournis par l’Etat malgache.
... il y a encore de nombreuses réserves largement inexploitées pour ne citer que les sites de Bemanevika et d’Ankazotaolana qui disposent chacun d’un gisement de plus d’un million de tonnes de chrome lors de ma première visite dans un chantier d’une compagnie minière malgache .En outre, des retombées économiques positives se font déjà sentir car cette exploitation minière génère près de 1 200 emplois dont la moitié des emplois directs. (..) Notons que la société KRAOMA produit 850 tonnes de chrome par jour sans compter les déchets de chrome en grande quantité qui peuvent être encore recyclés.
Riana R. dans NewsMada
L’Agence japonaise de développement international (Jica) compte prévenir les risques de corruption, liés aux marchés publics, dans le cadre du projet d’élargissement du port de Toamasina. L’accompagnement de toutes les parties prenantes dans cette démarche a été lancé. (..) Avec un investissement de 639 millions d’USD, l’extension du port de Toamasina est l’un des plus grands projets réalisés dans le pays depuis le retour de l’Indépendance. Sur ce fonds, 411 millions d’USD sont issus d’un emprunt concessionnel accordé par le gouvernement japonais, à travers la Jica. Comme il a été déjà indiqué dans les mêmes colonnes, il s’agit d’un prêt à taux de remboursement de 0,01% sur 40 ans, dont dix différés. C’est-à-dire que l’Etat malgache ne paiera l’intérêt et le capital qu’à partir de la onzième année de remboursement du prêt. Seuls les intérêts seront remboursés durant les dix premières années. Les 227 millions USD qui restent pour le financement du projet sont fournis par l’Etat malgache.
Mikama - Jun 14, 2018
Adelson RAZAFY dans La Gazette de la Grande Ile
En premier lieu, la Russie et le ministère des Mines de Madagascar conviennent d’un accord sur la recherche et l’exploration des gisements minéraux de l’île : étude géologique, évaluation de l’état des réserves, exploration des gisements minéraux existants… Dans le cadre de ces travaux, une carte sera établie sur la prévision métallogénique et l’évaluation des gisements notamment sur les minerais solides et les hydrocarbures. Selon le vis-à-vis russe des autorités malgaches, Rosgeologiya (Géologie de Russie) « Madagascar est un domaine prometteur pour une grande variété de minéraux ». En annexe de la convention, le volet militaire comporte des escales de navires de guerre russes dans nos ports et, autant qu’on le sache, une dotation d’hélicoptères russes, mais aussi des échanges de délégations militaires, la formation du personnel militaire malgache ainsi que des visites de navires de guerre et d’avions militaires russes.
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Drépanocytose: Deux millions de Malgaches touchés... C’est une maladie du sang peu connue, due à une anomalie de l’hémoglobine, provoquant une dégénérescence des globules rouges. Le traitement de cette maladie génétique héréditaire est complexe nécessitant l’implication de manière confondue de toutes les spécialités médicales. Actuellement, elle touche près de 2% de la population malgache qui sont atteinte de la drépanocytose. Le pourcentage (18,5%) d’enfants susceptibles d’être atteints par cette maladie est particulièrement élevée dans la région Atsimo Atsinanana. D’après les dernières statistiques, sur les 50 millions de personnes drépanocytaires dans le monde, 11% sont des Malgaches.
Arh. dans NewsMada
Le Guichet unique à l’exportation (GUE) de Madagascar, fonctionnel depuis juillet 2016, réunit dans un même endroit les départements concernés par les procédures à l’exportation, afin de réduire les coûts et le délai de traitement des dossiers. (..) Les questions soulevées, lors de cette séance d’information, tournaient souvent autour des procédures d’exportation et des dossiers à fournir pour chaque type de produit. En effet, les procédures diffèrent d’un produit à l’autre. Les autorités et les exportateurs ont en outre constaté diverses incohérences dans les textes existants. Comme dans les filières vanille et girofle par exemple, à la différence de certains autres produits de rente, ceux qui veulent exporter doivent obligatoirement figurer dans la liste des exportateurs agréés. (..) Lors de l’inauguration de ce guichet unique, il a été évoqué qu’il évoluera par la suite en Agence nationale à l’exportation, laquelle sera une réelle plateforme de collaboration public-privé.
En premier lieu, la Russie et le ministère des Mines de Madagascar conviennent d’un accord sur la recherche et l’exploration des gisements minéraux de l’île : étude géologique, évaluation de l’état des réserves, exploration des gisements minéraux existants… Dans le cadre de ces travaux, une carte sera établie sur la prévision métallogénique et l’évaluation des gisements notamment sur les minerais solides et les hydrocarbures. Selon le vis-à-vis russe des autorités malgaches, Rosgeologiya (Géologie de Russie) « Madagascar est un domaine prometteur pour une grande variété de minéraux ». En annexe de la convention, le volet militaire comporte des escales de navires de guerre russes dans nos ports et, autant qu’on le sache, une dotation d’hélicoptères russes, mais aussi des échanges de délégations militaires, la formation du personnel militaire malgache ainsi que des visites de navires de guerre et d’avions militaires russes.
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Drépanocytose: Deux millions de Malgaches touchés... C’est une maladie du sang peu connue, due à une anomalie de l’hémoglobine, provoquant une dégénérescence des globules rouges. Le traitement de cette maladie génétique héréditaire est complexe nécessitant l’implication de manière confondue de toutes les spécialités médicales. Actuellement, elle touche près de 2% de la population malgache qui sont atteinte de la drépanocytose. Le pourcentage (18,5%) d’enfants susceptibles d’être atteints par cette maladie est particulièrement élevée dans la région Atsimo Atsinanana. D’après les dernières statistiques, sur les 50 millions de personnes drépanocytaires dans le monde, 11% sont des Malgaches.
Arh. dans NewsMada
Le Guichet unique à l’exportation (GUE) de Madagascar, fonctionnel depuis juillet 2016, réunit dans un même endroit les départements concernés par les procédures à l’exportation, afin de réduire les coûts et le délai de traitement des dossiers. (..) Les questions soulevées, lors de cette séance d’information, tournaient souvent autour des procédures d’exportation et des dossiers à fournir pour chaque type de produit. En effet, les procédures diffèrent d’un produit à l’autre. Les autorités et les exportateurs ont en outre constaté diverses incohérences dans les textes existants. Comme dans les filières vanille et girofle par exemple, à la différence de certains autres produits de rente, ceux qui veulent exporter doivent obligatoirement figurer dans la liste des exportateurs agréés. (..) Lors de l’inauguration de ce guichet unique, il a été évoqué qu’il évoluera par la suite en Agence nationale à l’exportation, laquelle sera une réelle plateforme de collaboration public-privé.
Mikama - Jun 13, 2018
Navalona R. dans Midi Madagasikara
« Le problème juridique constitue une des principales raisons. En effet, le système « premier venu, premier servi » est appliqué. Et nous sommes le seul pays à ne pas entamer des négociations dans le cadre de l’attribution de permis. D’autant plus, les surfaces attribuées aux détenteurs de permis sont énormes. Ce qui nécessite la révision du Code minier », a évoqué le ministre Zafilahy Ying Vah, son prédécesseur. Par ailleurs, il a saisi cette occasion pour dresser un bilan durant ses deux ans au poste de ce ministère. « Près de 2 833 kg d’or ont été déclarés à l’exportation l’an dernier. C’est la première tonne et la meilleure production enregistrée depuis l’Indépendance de Madagascar...
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Des mesures qui ont permis de stabiliser, au premier temps les prix du riz. (..) En matière de consommation plus particulièrement, les mesures de contrôle de la qualité des produits de consommation courantes ont été prises et les destructions de marchandises périmées se sont multipliées. Mais le commerce extérieur n’était pas en reste, puisque ce département affiche également un bilan positif. En effet, ces derniers temps, la balance commerciale avec l’Union européenne a été positive pour Madagascar, avec une exportation qui totalise 1,6 milliards d’euros en 2017.
Dans ScienceMag
In 2014, a toxic invasive species—the Asian common toad—was spotted in Madagascar’s largest seaport. Conservation biologists quickly sounded an urgent alarm, warning that the invader could devastate the African island’s unique biodiversity, which includes lemurs and hundreds of other animals found nowhere else in the world. Now, scientists have confirmed that the toad’s toxic slime will likely kill nearly everything in Madagascar that tries to eat it, according to a study that surveyed the susceptibility of 88 species.
Dans Earther
The team analyzed sequences of the ion pump gene in 77 Malagasy species that might prey upon the invasive toads, including 27 species of snake and eight mammals. Unfortunately, only a single native predator—a rodent called the white-tailed antsangy—showed any genetic evidence of toxin resistance. The seventy-six other species all appear vulnerable to the invaders’ poison. This list includes some of Madagascar’s most unique endemic wildlife, like the strange feline fossa and the neon-striped tenrec—a prickly animal that’s more closely related to elephants than to the hedgehogs it resembles.
More in Science Daily
« Le problème juridique constitue une des principales raisons. En effet, le système « premier venu, premier servi » est appliqué. Et nous sommes le seul pays à ne pas entamer des négociations dans le cadre de l’attribution de permis. D’autant plus, les surfaces attribuées aux détenteurs de permis sont énormes. Ce qui nécessite la révision du Code minier », a évoqué le ministre Zafilahy Ying Vah, son prédécesseur. Par ailleurs, il a saisi cette occasion pour dresser un bilan durant ses deux ans au poste de ce ministère. « Près de 2 833 kg d’or ont été déclarés à l’exportation l’an dernier. C’est la première tonne et la meilleure production enregistrée depuis l’Indépendance de Madagascar...
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Des mesures qui ont permis de stabiliser, au premier temps les prix du riz. (..) En matière de consommation plus particulièrement, les mesures de contrôle de la qualité des produits de consommation courantes ont été prises et les destructions de marchandises périmées se sont multipliées. Mais le commerce extérieur n’était pas en reste, puisque ce département affiche également un bilan positif. En effet, ces derniers temps, la balance commerciale avec l’Union européenne a été positive pour Madagascar, avec une exportation qui totalise 1,6 milliards d’euros en 2017.
Dans ScienceMag
In 2014, a toxic invasive species—the Asian common toad—was spotted in Madagascar’s largest seaport. Conservation biologists quickly sounded an urgent alarm, warning that the invader could devastate the African island’s unique biodiversity, which includes lemurs and hundreds of other animals found nowhere else in the world. Now, scientists have confirmed that the toad’s toxic slime will likely kill nearly everything in Madagascar that tries to eat it, according to a study that surveyed the susceptibility of 88 species.
Dans Earther
The team analyzed sequences of the ion pump gene in 77 Malagasy species that might prey upon the invasive toads, including 27 species of snake and eight mammals. Unfortunately, only a single native predator—a rodent called the white-tailed antsangy—showed any genetic evidence of toxin resistance. The seventy-six other species all appear vulnerable to the invaders’ poison. This list includes some of Madagascar’s most unique endemic wildlife, like the strange feline fossa and the neon-striped tenrec—a prickly animal that’s more closely related to elephants than to the hedgehogs it resembles.
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Mikama - Jun 11, 2018
Dans L'Express de Madagascar
La lutte contre la concurrence déloyale avance. Encore à petits pas, mais au moins des mesures pertinentes sont annoncées. Des mesures de sauvegarde, contre les importations massives notamment, seront appliquées par l’Autorité nationale chargée des mesures correctives commerciales (ANMCC), l’organe sous tutelle du ministère du Commerce et de la consommation (MCC), créé en 2014, mais mis en place officiellement en 2017. « Dans la conduite des enquêtes en matière de défense commerciale, une majoration des droits de douane sur les produits visés peut être appliquée à un taux équivalent à la marge de dumping, ou de la subvention pour une durée de cinq ans prorogeables. Des restrictions quantitatives ou autres mesures jugées pertinentes peuvent également être prises », relate un communiqué du MCC. (..) Par ailleurs, selon les dispositions de la règlementation nationale, l’instauration d’une mesure de défense commerciale implique une surveillance rigoureuse des importations..
Dans L'Express de Madagascar
Détecté depuis 1909 dans le bassin lacustre d’Antsirabe, l’uranium est encore en phase de recherche et d’études. Celles menées jusqu’ici ont démontré que les gisements d’uranium se localisent dans le socle de Tranomaro, district d’Amboasary, région Anosy, à Folakara dans le Menabe-Melaky et dans la région Antsirabe Vinaninkarena.(..) Des études géochimiques, minéralogiques, sédimentologiques et structurales des formations sédimentaires uranifères du bassin de Makay de Morondava sont spécifiquement menées avec la coopération technique de l’AIEA.
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
A Madagascar, deux millions d’enfants de moins de 15 ans vont travailler (carrières de pierres, domestiques…) tous les jours au lieu d’aller à l’école, selon une étude publiée en 2016 par le Bureau international du travail (BIT), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et l’Institut national des statistiques de Madagascar (INSTAT). Cette même étude a révélé qu’environ 1,8 million d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont obligés de travailler, et la plupart exercent des métiers dangereux,
Riana R. dans NewsMada
Lancé au mois de décembre 2013, le projet Asara-Aina, mis en œuvre dans l’Anosy, particulièrement dans les communes d’Ifarantsa, de Mandiso et de Soanierana, arrive à son terme cette année. Les réalisations relatives à ce projet ont été présentées mercredi dernier. Avec un financement de 36 millions d’euros de l’Union européenne, réparti sur quatre ans, les objectifs portaient sur l’appui à la production, le soutien aux chaînes de valeur, la finance rurale et les infrastructures rurales. (..) Et l’économie locale commence à décoller. Aux moins 1.000 ménages ont bénéficié directement et indirectement des retombées du projet.
La lutte contre la concurrence déloyale avance. Encore à petits pas, mais au moins des mesures pertinentes sont annoncées. Des mesures de sauvegarde, contre les importations massives notamment, seront appliquées par l’Autorité nationale chargée des mesures correctives commerciales (ANMCC), l’organe sous tutelle du ministère du Commerce et de la consommation (MCC), créé en 2014, mais mis en place officiellement en 2017. « Dans la conduite des enquêtes en matière de défense commerciale, une majoration des droits de douane sur les produits visés peut être appliquée à un taux équivalent à la marge de dumping, ou de la subvention pour une durée de cinq ans prorogeables. Des restrictions quantitatives ou autres mesures jugées pertinentes peuvent également être prises », relate un communiqué du MCC. (..) Par ailleurs, selon les dispositions de la règlementation nationale, l’instauration d’une mesure de défense commerciale implique une surveillance rigoureuse des importations..
Dans L'Express de Madagascar
Détecté depuis 1909 dans le bassin lacustre d’Antsirabe, l’uranium est encore en phase de recherche et d’études. Celles menées jusqu’ici ont démontré que les gisements d’uranium se localisent dans le socle de Tranomaro, district d’Amboasary, région Anosy, à Folakara dans le Menabe-Melaky et dans la région Antsirabe Vinaninkarena.(..) Des études géochimiques, minéralogiques, sédimentologiques et structurales des formations sédimentaires uranifères du bassin de Makay de Morondava sont spécifiquement menées avec la coopération technique de l’AIEA.
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
A Madagascar, deux millions d’enfants de moins de 15 ans vont travailler (carrières de pierres, domestiques…) tous les jours au lieu d’aller à l’école, selon une étude publiée en 2016 par le Bureau international du travail (BIT), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et l’Institut national des statistiques de Madagascar (INSTAT). Cette même étude a révélé qu’environ 1,8 million d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont obligés de travailler, et la plupart exercent des métiers dangereux,
Riana R. dans NewsMada
Lancé au mois de décembre 2013, le projet Asara-Aina, mis en œuvre dans l’Anosy, particulièrement dans les communes d’Ifarantsa, de Mandiso et de Soanierana, arrive à son terme cette année. Les réalisations relatives à ce projet ont été présentées mercredi dernier. Avec un financement de 36 millions d’euros de l’Union européenne, réparti sur quatre ans, les objectifs portaient sur l’appui à la production, le soutien aux chaînes de valeur, la finance rurale et les infrastructures rurales. (..) Et l’économie locale commence à décoller. Aux moins 1.000 ménages ont bénéficié directement et indirectement des retombées du projet.
Mikama - Jun 4, 2018
Dans L'Express de Madagascar
La présence australienne dans le secteur minier à Madagascar est à lier à Graphmada, exploitant de graphite dans la région Est, Toliara Sands, exploitant d’ilménite ou encore l’australo-anglais Rio Tinto. Le centre de formation en gemmologie simplifiée à Sakaraha est en partenariat avec les Australiens. (..) La gouvernance minière, le suivi environnemental, le décret MECIE, les investissements et les impacts environnementaux, le contenu des cahiers de charge, et même la gestion de l’eau et de l’air ont été partagés à ces responsables locaux », fait savoir le président de l’A3MADA (Association des Alumni Australien).
Mirana Ihariliva dans NewsMada
La Star, en partenariat avec le Consulat de Monaco, soutient cette année deux projets pour venir en aide aux enfants et familles des quartiers défavorisés. .. Le premier projet consiste à distribuer 1000 couvertures aux enfants de moins de cinq ans dans dix fokontany de la capitale... le second projet contribue à la scolarisation des élèves méritants issus des familles démunies. Ces derniers ont été présentés à la presse. Lors des deux prochaines années scolaires consécutives (2017-2018 et 2018-2019), la Star contribuera à la scolarisation de 17 lycéens, pour une valeur totale de 20 millions d’ariary.
Arh. dans NewsMada
La consommation de lait et de produits laitiers est estimée à 15 kg par habitant par an pour Madagascar, contre une moyenne mondiale de 20 kg/hab/an. Le défi pour la Grande île est de maintenir la consommation nationale à 10,55 kg par habitant par an, pour une population estimée à 25 millions d’habitants, en réduisant de moitié le volume des importations pendant cinq ans. Sur ces 15 kg de consommation annuelle, 9 kg proviennent des importations et plus de 5 kg sortent de la production nationale. Les chiffres du ministère en charge de l’Elevage montrent que Madagascar a importé 32.811 tonnes de lait et de produits laitiers en 2017. (..) Une vache laitière de 2 ans coûte entre 3,6 millions et 4 millions d’ariary et fournit 15 à 20 litres de lait par jour. (..) il reste à combler un gap local de près de 80.000 tonnes de lait pour un objectif total de 263.000 tonnes de production laitière, 27.000 vaches en plus, soit 2.700 fermes de 10 têtes à créer et enfin, 54.000 hectares de besoin en superficie de cultures fourragères. Et ce, en tenant compte de la moyenne de production laitière par vache : 2.600 à 3.000 l/an en 10 mois de lactation, avec un coût de production de 0,43 dollars (environ 1.400 Ar) par litre de lait frais.
La présence australienne dans le secteur minier à Madagascar est à lier à Graphmada, exploitant de graphite dans la région Est, Toliara Sands, exploitant d’ilménite ou encore l’australo-anglais Rio Tinto. Le centre de formation en gemmologie simplifiée à Sakaraha est en partenariat avec les Australiens. (..) La gouvernance minière, le suivi environnemental, le décret MECIE, les investissements et les impacts environnementaux, le contenu des cahiers de charge, et même la gestion de l’eau et de l’air ont été partagés à ces responsables locaux », fait savoir le président de l’A3MADA (Association des Alumni Australien).
Mirana Ihariliva dans NewsMada
La Star, en partenariat avec le Consulat de Monaco, soutient cette année deux projets pour venir en aide aux enfants et familles des quartiers défavorisés. .. Le premier projet consiste à distribuer 1000 couvertures aux enfants de moins de cinq ans dans dix fokontany de la capitale... le second projet contribue à la scolarisation des élèves méritants issus des familles démunies. Ces derniers ont été présentés à la presse. Lors des deux prochaines années scolaires consécutives (2017-2018 et 2018-2019), la Star contribuera à la scolarisation de 17 lycéens, pour une valeur totale de 20 millions d’ariary.
Arh. dans NewsMada
La consommation de lait et de produits laitiers est estimée à 15 kg par habitant par an pour Madagascar, contre une moyenne mondiale de 20 kg/hab/an. Le défi pour la Grande île est de maintenir la consommation nationale à 10,55 kg par habitant par an, pour une population estimée à 25 millions d’habitants, en réduisant de moitié le volume des importations pendant cinq ans. Sur ces 15 kg de consommation annuelle, 9 kg proviennent des importations et plus de 5 kg sortent de la production nationale. Les chiffres du ministère en charge de l’Elevage montrent que Madagascar a importé 32.811 tonnes de lait et de produits laitiers en 2017. (..) Une vache laitière de 2 ans coûte entre 3,6 millions et 4 millions d’ariary et fournit 15 à 20 litres de lait par jour. (..) il reste à combler un gap local de près de 80.000 tonnes de lait pour un objectif total de 263.000 tonnes de production laitière, 27.000 vaches en plus, soit 2.700 fermes de 10 têtes à créer et enfin, 54.000 hectares de besoin en superficie de cultures fourragères. Et ce, en tenant compte de la moyenne de production laitière par vache : 2.600 à 3.000 l/an en 10 mois de lactation, avec un coût de production de 0,43 dollars (environ 1.400 Ar) par litre de lait frais.
Mikama - May 24, 2018
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Des chercheurs ont exposé des résultats de leurs récents travaux tels que des phytomédicaments testés et en attente de l’Autorisation de Mise sur le Marché, laquelle est requise pour toute forme de commercialisation des produits issus des recherches menées au sein du CNARP. L’inventaire des plantes médicinales à Madagascar a été réalisé, faisant suite à la mise en disponibilité de la Pharmacopée de l’Alaotra, et à celle de l’Ambongo. Le CNARP a un herbier de références, très important pour les recherches pharmaceutiques, avec 15 246 spécimens répartis en 4 236 espèces, 1 326 genres et 233 Familles. « Cependant, beaucoup reste encore à faire, vu l’immense biodiversité de Madagascar », reconnaît Michel Alain Ratsimbason, directeur du CNARP.
Luz Razafimbelo dans Midi Madagasikara
Ambatovy en quelques chiffres
Huit milliards de dollars d’investissement, ce qui fait d’Ambatovy le plus grand IDE (investissement directe étranger à Madagascar.
320 ha : c’est la superficie de l’Usine d’Ambatovy à Toamasina. Utilisant la technologie hydrométallurgie ; celle-ci comprend trois (3) grandes catégories d’usines : l’usine de lixiviation acide sous pression et la raffinerie.
Ambatovy est un grand contributeur à l’économie nationale grâce surtout aux valeurs ajoutées économiques apportées par le raffinage des métaux à Toamasina :
9 000 emplois directs et des milliers d’emplois induits
240 millions de dollars d’achats locaux en 2017
Plus de 3,3 milliards de dollars de contrats et d’achats locaux depuis 2007
Plus de 550PME locales ont collaboré avec Ambatovy en 2017.
32 %. Les produits miniers d’Ambatovy (nickel et cobalt), représentent 32% des recettes d’exportation de Madagascar.
1er .Ambatovy est le premier pourvoyeur de devises étrangères à Madagascar.
V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Les travaux de recherche ne visaient pas particulièrement un besoin réel de la communauté dans le domaine du travail ou pouvant engendrer des investissements entrepreneuriaux, ils étaient effectués pour marquer la fin d’un cycle d’études. Fort heureusement, certaines recherches répondent au besoin du chercheur d’assouvir ses curiosités intellectuelles et cela peut, par ailleurs, correspondre à un besoin d’une communauté et d’une entreprise. (..) Outre la valorisation de la recherche, l’enseignement de base reste un problème de taille. Le défi est-il possible à relever lorsque 14% des jeunes ne sont pas scolarisés (d’après l’Institut National de la Statistique) et que près de 70% ne dépassent pas le niveau primaire ?
Des chercheurs ont exposé des résultats de leurs récents travaux tels que des phytomédicaments testés et en attente de l’Autorisation de Mise sur le Marché, laquelle est requise pour toute forme de commercialisation des produits issus des recherches menées au sein du CNARP. L’inventaire des plantes médicinales à Madagascar a été réalisé, faisant suite à la mise en disponibilité de la Pharmacopée de l’Alaotra, et à celle de l’Ambongo. Le CNARP a un herbier de références, très important pour les recherches pharmaceutiques, avec 15 246 spécimens répartis en 4 236 espèces, 1 326 genres et 233 Familles. « Cependant, beaucoup reste encore à faire, vu l’immense biodiversité de Madagascar », reconnaît Michel Alain Ratsimbason, directeur du CNARP.
Luz Razafimbelo dans Midi Madagasikara
Ambatovy en quelques chiffres
Huit milliards de dollars d’investissement, ce qui fait d’Ambatovy le plus grand IDE (investissement directe étranger à Madagascar.
320 ha : c’est la superficie de l’Usine d’Ambatovy à Toamasina. Utilisant la technologie hydrométallurgie ; celle-ci comprend trois (3) grandes catégories d’usines : l’usine de lixiviation acide sous pression et la raffinerie.
Ambatovy est un grand contributeur à l’économie nationale grâce surtout aux valeurs ajoutées économiques apportées par le raffinage des métaux à Toamasina :
9 000 emplois directs et des milliers d’emplois induits
240 millions de dollars d’achats locaux en 2017
Plus de 3,3 milliards de dollars de contrats et d’achats locaux depuis 2007
Plus de 550PME locales ont collaboré avec Ambatovy en 2017.
32 %. Les produits miniers d’Ambatovy (nickel et cobalt), représentent 32% des recettes d’exportation de Madagascar.
1er .Ambatovy est le premier pourvoyeur de devises étrangères à Madagascar.
V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Les travaux de recherche ne visaient pas particulièrement un besoin réel de la communauté dans le domaine du travail ou pouvant engendrer des investissements entrepreneuriaux, ils étaient effectués pour marquer la fin d’un cycle d’études. Fort heureusement, certaines recherches répondent au besoin du chercheur d’assouvir ses curiosités intellectuelles et cela peut, par ailleurs, correspondre à un besoin d’une communauté et d’une entreprise. (..) Outre la valorisation de la recherche, l’enseignement de base reste un problème de taille. Le défi est-il possible à relever lorsque 14% des jeunes ne sont pas scolarisés (d’après l’Institut National de la Statistique) et que près de 70% ne dépassent pas le niveau primaire ?
Mikama - May 7, 2018
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Depuis la création de la société « Kraomita Malagasy » en 1966 et qui a pour activité principale l’extraction des chromites dans les gisements qui sont situées à Brieville, une réserve de six millions de tonnes de déchets de chrome sortis de ses unités d’exploitation est estimée. Afin de les valoriser, cinq usines de traitement et de rejet de ces déchets viennent d’être implantées à Ambohidronono, dans la commune rurale d’Ambakireny, situé à peu près à 35 km de Brieville. « Ces usines ont une capacité de traitement de 1 800 tonnes de déchets de chrome par jour. Et sept tonnes de déchets traités permettent d’obtenir une tonne de chrome réutilisable ...
Dans La Gazette de la Grande Ile
Selon le ministre Roland Ratsiraka, le secteur du Tourisme a rapporté 5,9% au PIB avec 255 460 arrivées de touristes en 2017. A noter que Madagascar fait partie des 10 destinations touristiques les plus joyeuses l’année dernière. Dans ce classement des destinations touristiques les plus heureuses pour 2017, basé sur le Joy Index, Madagascar se situe en 4ème position. Le classement ne néglige cependant pas les conditions de vie de la population malgache, notamment la pauvreté ainsi que la corruption.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Depuis 2014, les pluies ont été très limitées dans le sud de Madagascar. Au cours des trois dernières années, la sécheresse a réduit la production végétale ce qui a entraîné des pertes successives et des niveaux alarmants d’insécurité alimentaire. En 2015, le phénomène climatique El-Niño a aggravé encore la situation en réduisant à néant les efforts de relèvement de l’agriculture, et les pertes de récolte ont été estimées à 95 %. En octobre 2016, le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un instrument d’alerte rapide qui mesure les niveaux de l’insécurité alimentaire, a estimé que plus de 1,2 million de personnes vivant dans le sud de Madagascar avaient encore besoin d’une aide d’urgence. (..) En réponse à ces alertes, la FAO fournit un appui à 8 400 ménages vulnérables en situation d’insécurité alimentaire – sous la forme de semences, de petits systèmes d’irrigation et d’un appui technique, notamment d’une formation sur la diversification agricole et les techniques agricoles améliorées – pour leur permettre de faire face rapidement aux effets cumulés des sécheresses prolongées.
Depuis la création de la société « Kraomita Malagasy » en 1966 et qui a pour activité principale l’extraction des chromites dans les gisements qui sont situées à Brieville, une réserve de six millions de tonnes de déchets de chrome sortis de ses unités d’exploitation est estimée. Afin de les valoriser, cinq usines de traitement et de rejet de ces déchets viennent d’être implantées à Ambohidronono, dans la commune rurale d’Ambakireny, situé à peu près à 35 km de Brieville. « Ces usines ont une capacité de traitement de 1 800 tonnes de déchets de chrome par jour. Et sept tonnes de déchets traités permettent d’obtenir une tonne de chrome réutilisable ...
Dans La Gazette de la Grande Ile
Selon le ministre Roland Ratsiraka, le secteur du Tourisme a rapporté 5,9% au PIB avec 255 460 arrivées de touristes en 2017. A noter que Madagascar fait partie des 10 destinations touristiques les plus joyeuses l’année dernière. Dans ce classement des destinations touristiques les plus heureuses pour 2017, basé sur le Joy Index, Madagascar se situe en 4ème position. Le classement ne néglige cependant pas les conditions de vie de la population malgache, notamment la pauvreté ainsi que la corruption.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Depuis 2014, les pluies ont été très limitées dans le sud de Madagascar. Au cours des trois dernières années, la sécheresse a réduit la production végétale ce qui a entraîné des pertes successives et des niveaux alarmants d’insécurité alimentaire. En 2015, le phénomène climatique El-Niño a aggravé encore la situation en réduisant à néant les efforts de relèvement de l’agriculture, et les pertes de récolte ont été estimées à 95 %. En octobre 2016, le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), un instrument d’alerte rapide qui mesure les niveaux de l’insécurité alimentaire, a estimé que plus de 1,2 million de personnes vivant dans le sud de Madagascar avaient encore besoin d’une aide d’urgence. (..) En réponse à ces alertes, la FAO fournit un appui à 8 400 ménages vulnérables en situation d’insécurité alimentaire – sous la forme de semences, de petits systèmes d’irrigation et d’un appui technique, notamment d’une formation sur la diversification agricole et les techniques agricoles améliorées – pour leur permettre de faire face rapidement aux effets cumulés des sécheresses prolongées.
Mikama - Apr 5, 2018
Dans Small Caps
Bass Metals (ASX: BSM) has re-joined graphite producer ranks after recommissioning its wholly-owned Graphmada large flake graphite mine in Madagascar following several months of downtime for process plant expansion and refurbishment. (..) Under stage one, Graphmada will produce 6,000tpa of graphite concentrate, with all 2018 production pre-sold to offtake parties. (..) Additionally, Bass is debt-free and has a secured an offtake agreement with Europe-based Possehl Erzkontor GmbH &Co. Possehl will purchase 3,000 tonnes per annum of graphite concentrate from Graphmada until 2020.
Dans Student Newspaper
Madagascar itself was once part of the African continent. It split from Africa as part of the Indian landmass 135 million years ago. Around 88 million years ago, the Indo-Madagascar plate then split further into their modern day equivalents. The length of time Madagascar has been isolated from the mainland means that its flora and fauna has evolved into a variety of species unique to the island.
Dans Ecofin Agency
Last March 29, World Bank Group and Global Partnership for Education (GPE) approved a $100 million financing to support Madagascar to implement reforms in its Sectoral Education Plan 2018-22. This financial aid, out of which $55 million is provided by World Bank’s International Development Association (IDA) and $45.7 million from GPE is the highest ever granted to support education in Madagascar. It mainly aims to improve learning in the first two grades of primary in public schools. The idea behind this is to increase the number of words correctly read by these students from 24 to 35 per minute and reduce the repetition rate to less than or equal to 12% of students per year. (..) Let’s note that another $29 million will be granted in the framework of this project if the projected goals are achieved in participating schools, school districts, and regional education offices. A survey carried out in 2016 on indicators of educational service delivery in Madagascar, revealed that 4 out of 10 children leave school before last grade of primary. Repetition rate in first grade is one of the highest in sub-Saharan Africa. Also, about 80% of teachers (80 000) did not receive any vocational training. The survey also reveals that primary school teachers do not have required teaching skills.
Bass Metals (ASX: BSM) has re-joined graphite producer ranks after recommissioning its wholly-owned Graphmada large flake graphite mine in Madagascar following several months of downtime for process plant expansion and refurbishment. (..) Under stage one, Graphmada will produce 6,000tpa of graphite concentrate, with all 2018 production pre-sold to offtake parties. (..) Additionally, Bass is debt-free and has a secured an offtake agreement with Europe-based Possehl Erzkontor GmbH &Co. Possehl will purchase 3,000 tonnes per annum of graphite concentrate from Graphmada until 2020.
Dans Student Newspaper
Madagascar itself was once part of the African continent. It split from Africa as part of the Indian landmass 135 million years ago. Around 88 million years ago, the Indo-Madagascar plate then split further into their modern day equivalents. The length of time Madagascar has been isolated from the mainland means that its flora and fauna has evolved into a variety of species unique to the island.
Dans Ecofin Agency
Last March 29, World Bank Group and Global Partnership for Education (GPE) approved a $100 million financing to support Madagascar to implement reforms in its Sectoral Education Plan 2018-22. This financial aid, out of which $55 million is provided by World Bank’s International Development Association (IDA) and $45.7 million from GPE is the highest ever granted to support education in Madagascar. It mainly aims to improve learning in the first two grades of primary in public schools. The idea behind this is to increase the number of words correctly read by these students from 24 to 35 per minute and reduce the repetition rate to less than or equal to 12% of students per year. (..) Let’s note that another $29 million will be granted in the framework of this project if the projected goals are achieved in participating schools, school districts, and regional education offices. A survey carried out in 2016 on indicators of educational service delivery in Madagascar, revealed that 4 out of 10 children leave school before last grade of primary. Repetition rate in first grade is one of the highest in sub-Saharan Africa. Also, about 80% of teachers (80 000) did not receive any vocational training. The survey also reveals that primary school teachers do not have required teaching skills.
Mikama - Feb 13, 2018
V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
A côté des 500 000 jeunes qui arrivent annuellement sur le marché du travail à Madagascar, des milliers perdent leur travail. ... D’après les derniers résultats de l’enquête sur la transition des jeunes vers la vie active, en 2013, la proportion des jeunes occupants un emploi régulier était de 9,5% ; en 2015, elle était de 8,2%. 8 jeunes seulement sur 100 ont donc un emploi irrégulier. Des solutions sont à trouver pour les 75% de main d’œuvre jeune sous-utilisée et pour les 83% occupant un emploi vulnérable. (..) En 2016, les investissements de l’Etat en éducation ne représentaient que 6% (10% pour la santé) du budget général de l’Etat.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Le code minier stipule en effet que les redevances minières équivalentes à 2% du chiffre d’affaires pour les sociétés appartenant à l’exploitation du groupe des métaux de base et autres substances métalliques entre autres. 1, 4% de ces redevances deviennent des ristournes pour les collectivités décentralisées, dont 10% du montant des 1,4% rejoignent le Fonds national de péréquation, et 60% pour les communes, 30% pour les régions et 10% pour les provinces. « Les 60% pour les communes ne sont pas assez clarifiés. Quelles communes précisément L’équipe du ministère est déjà descendue dans les localités pour des enquêtes approfondies pour la faisabilité de ce reclassement des communes en commençant par celles situées entre Moramanga et Toamasina qui en seront les pilotes »
James Patrick dans Vice
In Madagascar’s vast, roadless expanses, bandits rob and murder with impunity. Armed with axes, hunting shotguns and AK-47s, outlaw gangs target the herds of zebu – humped cattle – that are the last vestige of the region’s wealth. (..) The malaso strongholds of the south and western plains cover an area the size of the UK. Operating in gangs and travelling by foot, these bushmen raid isolated towns and villages before disappearing into the wilderness with the stolen cattle. (..) So difficult is Madagascar to police that a third of the Indian ocean nation is designated a "red zone" – an area acknowledged as being outside the control of effective law enforcement. (..) Disappointingly, the bandit camp is no mountain fortress, just a few reed shelters under a scraggy tree. Between cattle raids the malaso live here with their wives, girlfriends and children. (..) Ammunition is expensive and bandits reuse shell casings up to five times, forging new shot from the lead in old car batteries and mixing gunpowder from black market potassium nitrate, charcoal and dried zebu shit.
A côté des 500 000 jeunes qui arrivent annuellement sur le marché du travail à Madagascar, des milliers perdent leur travail. ... D’après les derniers résultats de l’enquête sur la transition des jeunes vers la vie active, en 2013, la proportion des jeunes occupants un emploi régulier était de 9,5% ; en 2015, elle était de 8,2%. 8 jeunes seulement sur 100 ont donc un emploi irrégulier. Des solutions sont à trouver pour les 75% de main d’œuvre jeune sous-utilisée et pour les 83% occupant un emploi vulnérable. (..) En 2016, les investissements de l’Etat en éducation ne représentaient que 6% (10% pour la santé) du budget général de l’Etat.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Le code minier stipule en effet que les redevances minières équivalentes à 2% du chiffre d’affaires pour les sociétés appartenant à l’exploitation du groupe des métaux de base et autres substances métalliques entre autres. 1, 4% de ces redevances deviennent des ristournes pour les collectivités décentralisées, dont 10% du montant des 1,4% rejoignent le Fonds national de péréquation, et 60% pour les communes, 30% pour les régions et 10% pour les provinces. « Les 60% pour les communes ne sont pas assez clarifiés. Quelles communes précisément L’équipe du ministère est déjà descendue dans les localités pour des enquêtes approfondies pour la faisabilité de ce reclassement des communes en commençant par celles situées entre Moramanga et Toamasina qui en seront les pilotes »
James Patrick dans Vice
In Madagascar’s vast, roadless expanses, bandits rob and murder with impunity. Armed with axes, hunting shotguns and AK-47s, outlaw gangs target the herds of zebu – humped cattle – that are the last vestige of the region’s wealth. (..) The malaso strongholds of the south and western plains cover an area the size of the UK. Operating in gangs and travelling by foot, these bushmen raid isolated towns and villages before disappearing into the wilderness with the stolen cattle. (..) So difficult is Madagascar to police that a third of the Indian ocean nation is designated a "red zone" – an area acknowledged as being outside the control of effective law enforcement. (..) Disappointingly, the bandit camp is no mountain fortress, just a few reed shelters under a scraggy tree. Between cattle raids the malaso live here with their wives, girlfriends and children. (..) Ammunition is expensive and bandits reuse shell casings up to five times, forging new shot from the lead in old car batteries and mixing gunpowder from black market potassium nitrate, charcoal and dried zebu shit.
Mikama - Jan 8, 2018
Arh. dans NewsMada
Les pays asiatiques comme la Chine ou l’Inde … s’imposent comme les principaux concurrents de la Grande île. Madagascar est classé parmi les pays affichant les plus bas salaires dans le monde. Néanmoins, Madagascar a l’avantage d’être une référence en matière de qualité. Les produits textiles ont généré, selon les données de l’Instat, plus 1.645 milliards d’ariary en valeur FOB en 2016, et plus de 1.772 milliards d’ariary de janvier jusqu’au mois de septembre de l’année dernière.
Dans BZ weekly
NextSource Materials Inc. acquires, explores for, and develops mineral properties in Madagascar and Canada. The company has market cap of $22.66 million. It explores for graphite, vanadium, and other minerals. It currently has negative earnings. The firm holds 100% interest in the Molo graphite property that includes 2,119 permits covering an area of 827.7 square kilometers located in Southern Madagascar Region, Madagascar.
Dans Relief Web
As of 31 October 2017, UNICEF had US$10.4 million available against the US$31 million appeal (33 per cent funded).
Although significant results were achieved, urgent needs remain for 2018 and vulnerability is high, with 90 per cent of the population living under the poverty line. In 2017, 1 1,700 children under 5 with SAM received treatment, accounting for 33 per cent of the sector target. More than 512,000 children under 5 received treatment for common childhood illnesses and disease outbreaks through health/nutrition outreach services in disaster-af fected areas, the provision of essential supplies, technical support and C4D. Through UNICEF support, more than 400,000 people gained access to safe water . Some 12,000 drought-af fected children facing protection concerns were identified and reached with case management support, including family psychosocial support and referral to medical care. More than 46,500 cyclone-af fected children were able to access education through school rehabilitation and the provision of learning spaces and catch-up classes through programmes supported by UNICEF and the Ministry of Education. An estimated 2.5 million people were reached with prevention messages related to plague identification and treatment; and 15,300 vulnerable households received monthly cash transfers to support them to reestablish their livelihoods and access social service
Les pays asiatiques comme la Chine ou l’Inde … s’imposent comme les principaux concurrents de la Grande île. Madagascar est classé parmi les pays affichant les plus bas salaires dans le monde. Néanmoins, Madagascar a l’avantage d’être une référence en matière de qualité. Les produits textiles ont généré, selon les données de l’Instat, plus 1.645 milliards d’ariary en valeur FOB en 2016, et plus de 1.772 milliards d’ariary de janvier jusqu’au mois de septembre de l’année dernière.
Dans BZ weekly
NextSource Materials Inc. acquires, explores for, and develops mineral properties in Madagascar and Canada. The company has market cap of $22.66 million. It explores for graphite, vanadium, and other minerals. It currently has negative earnings. The firm holds 100% interest in the Molo graphite property that includes 2,119 permits covering an area of 827.7 square kilometers located in Southern Madagascar Region, Madagascar.
Dans Relief Web
As of 31 October 2017, UNICEF had US$10.4 million available against the US$31 million appeal (33 per cent funded).
Although significant results were achieved, urgent needs remain for 2018 and vulnerability is high, with 90 per cent of the population living under the poverty line. In 2017, 1 1,700 children under 5 with SAM received treatment, accounting for 33 per cent of the sector target. More than 512,000 children under 5 received treatment for common childhood illnesses and disease outbreaks through health/nutrition outreach services in disaster-af fected areas, the provision of essential supplies, technical support and C4D. Through UNICEF support, more than 400,000 people gained access to safe water . Some 12,000 drought-af fected children facing protection concerns were identified and reached with case management support, including family psychosocial support and referral to medical care. More than 46,500 cyclone-af fected children were able to access education through school rehabilitation and the provision of learning spaces and catch-up classes through programmes supported by UNICEF and the Ministry of Education. An estimated 2.5 million people were reached with prevention messages related to plague identification and treatment; and 15,300 vulnerable households received monthly cash transfers to support them to reestablish their livelihoods and access social service
Mikama - Dec 20, 2017
R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Base Resources investira 75 millions USD pour une participation initiale de 85% dans le projet Ilménite de Ranobe. (..) « Base Resources peut rééditer à Madagascar l’expérience réussie qu’elle est en train de réaliser au Kenya » selon toujours Phil Murphy. Projet phare. En effet, Base Resources a réalisé avec succès la construction et la mise en opération de Kwale Mineral Sands Operations (Projet Kwale) au Kenya. Il s’agit d’un investissement de 330 millions USD qui emploie 925 personnes dont 97% sont des Kenyans et qui a créé 3500 emplois supplémentaires. Base Ressources qui est gérée par une solide équipe technique, dispose de pratiques d’exploitation exceptionnelles à tel point que le gouvernement kenyan a décerné au Projet Kwale, le statut officiel de « Flagship Project » (projet phare).
Dans La Gazette de la Grande Ile
Une croissance économique soutenue positive au cours des trois dernières années : 3,1% en 2015, 4,2% en 2016 et 4,1% en 2017... Secteur primaire en recul (1,6% en 2016 à -1,8% en 2017) : Agriculture (-5,9%) pénalisée par des conditions climatiques moins favorables de sécheresse et de cyclone ; Elevage et Pêche (+2,1%) grâce à la relance de la filière crevettière. Secteur secondaire en progression (5,5% en 2016 à 7,7% en 2017) : rebond de la production minière (-1,6% en 2016 à 9,5% en 2017) par la relance des filières : titane, chrome et or ... Développement humain, une amélioration des indicateurs développement humain (IDH) de 4,7% au cours de cinq dernières années (0,518 en 2016 contre 0,495 en 2011)
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le service oncologique de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) enregistre environ 1.500 nouveaux cas de cancer par an, touchant de plus en plus la population jeune. Près de la moitié des malades ont moins de 45 ans. (..) Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, 80 % des causes de décès dans les pays pauvres sont dus au cancer, Madagascar n’y échappe pas avec ses près de 25.000 malades par an.
Base Resources investira 75 millions USD pour une participation initiale de 85% dans le projet Ilménite de Ranobe. (..) « Base Resources peut rééditer à Madagascar l’expérience réussie qu’elle est en train de réaliser au Kenya » selon toujours Phil Murphy. Projet phare. En effet, Base Resources a réalisé avec succès la construction et la mise en opération de Kwale Mineral Sands Operations (Projet Kwale) au Kenya. Il s’agit d’un investissement de 330 millions USD qui emploie 925 personnes dont 97% sont des Kenyans et qui a créé 3500 emplois supplémentaires. Base Ressources qui est gérée par une solide équipe technique, dispose de pratiques d’exploitation exceptionnelles à tel point que le gouvernement kenyan a décerné au Projet Kwale, le statut officiel de « Flagship Project » (projet phare).
Dans La Gazette de la Grande Ile
Une croissance économique soutenue positive au cours des trois dernières années : 3,1% en 2015, 4,2% en 2016 et 4,1% en 2017... Secteur primaire en recul (1,6% en 2016 à -1,8% en 2017) : Agriculture (-5,9%) pénalisée par des conditions climatiques moins favorables de sécheresse et de cyclone ; Elevage et Pêche (+2,1%) grâce à la relance de la filière crevettière. Secteur secondaire en progression (5,5% en 2016 à 7,7% en 2017) : rebond de la production minière (-1,6% en 2016 à 9,5% en 2017) par la relance des filières : titane, chrome et or ... Développement humain, une amélioration des indicateurs développement humain (IDH) de 4,7% au cours de cinq dernières années (0,518 en 2016 contre 0,495 en 2011)
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le service oncologique de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) enregistre environ 1.500 nouveaux cas de cancer par an, touchant de plus en plus la population jeune. Près de la moitié des malades ont moins de 45 ans. (..) Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, 80 % des causes de décès dans les pays pauvres sont dus au cancer, Madagascar n’y échappe pas avec ses près de 25.000 malades par an.
Mikama - Dec 5, 2017
Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Concrètement, c’est l’inexistence d’une véritable concurrence entre les banques primaires, des institutions financières actuellement en surliquidité, qui module le système financier malgache et rend très difficile, voire impossible, la mise en œuvre de la politique monétaire de la BCM. Du fait de cette carence, les établissements bancaires ne jouent pas leur vrai rôle dans la transmission de la politique monétaire de la BCM ».
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
En Afrique comme à Madagascar, 80% de la population ont recours à la médecine traditionnelle, regroupant en particulier de la population rurale. Dans les pays industrialisés, la médecine traditionnelle est d’un usage équivalent à la médecine « complémentaire » ou « parallèle ». Ces derniers temps, le marché mondial des plantes médicinales est en expansion rapide avec plus de 60 milliards de dollars par an. Cependant, dans les actions liées à la thérapie, l’innocuité, la sécurité d’emploi et l’efficacité sont à vérifier, notamment à Madagascar. « Les médicaments traditionnels sont à la fois efficaces, naturels, et abordables, seulement une certaine dose devrait être respectée… »
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Les gisements d’uranium de Madagascar se trouvent à Tranomaro Amboasary, dans la région Anosy, à Vinaninakarena Antsirabe dans le Vakinankaratra et à Folakara Tsimiroro dans le Menabe.
« Concrètement, c’est l’inexistence d’une véritable concurrence entre les banques primaires, des institutions financières actuellement en surliquidité, qui module le système financier malgache et rend très difficile, voire impossible, la mise en œuvre de la politique monétaire de la BCM. Du fait de cette carence, les établissements bancaires ne jouent pas leur vrai rôle dans la transmission de la politique monétaire de la BCM ».
Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
En Afrique comme à Madagascar, 80% de la population ont recours à la médecine traditionnelle, regroupant en particulier de la population rurale. Dans les pays industrialisés, la médecine traditionnelle est d’un usage équivalent à la médecine « complémentaire » ou « parallèle ». Ces derniers temps, le marché mondial des plantes médicinales est en expansion rapide avec plus de 60 milliards de dollars par an. Cependant, dans les actions liées à la thérapie, l’innocuité, la sécurité d’emploi et l’efficacité sont à vérifier, notamment à Madagascar. « Les médicaments traditionnels sont à la fois efficaces, naturels, et abordables, seulement une certaine dose devrait être respectée… »
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Les gisements d’uranium de Madagascar se trouvent à Tranomaro Amboasary, dans la région Anosy, à Vinaninakarena Antsirabe dans le Vakinankaratra et à Folakara Tsimiroro dans le Menabe.
Mikama - Oct 23, 2017
R.Edmond. dans Midi-Madagasikara
L’Afrique compte la population la plus jeune au monde, avec 60 % de jeunes de moins de 35 ans. 420 millions sont âgés de 15 à 35 ans, et ce segment de la population devrait doubler pour atteindre 840 millions d’ici à 2040. Dans le cadre de son programme ENABLE Youth (Empowering Novel Agri-Business-Leded Employment) et en collaboration avec l’IITA, la Banque africaine de développement œuvre en faveur des jeunes agriculteurs.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
L’extraction proprement dite commencera en 2020. Selon le chronogramme présenté hier dans les locaux de Toliara Sands au Bazar be de Toliara, la construction de la jetée à La Batery à Andaboly Toliara, pour transporter les minerais vers les bateaux, durera deux ans. De nouvelles routes, parallèle à la RN9 au départ de Ranobe jusqu’à Toliara seront construites pour supporter les camions wagons de 100 000 tonnes. « La phase d’exploration avec le démarrage des exploitations aura duré en tout vingt ans », explique Jules Le Clezio, représentant de la compagnie australienne World Titanium Resources, porteur du projet Toliara Sands. (..) Le gisement s’étend sur 15 km et le projet est passé de 8 millions de tonnes à 12 millions de tonnes de minerais à exploiter. La durée de l’exploitation peut aller jusqu’à 60 ans au lieu des 20 prévus. La prévision reste dans le cap des six cent milles tonnes de production par an. La qualité de sable noir à exploiter dans cette localité est dite de type « lourd » avec 8,2% de sable minéralisé. Deux bateaux de 30 000 tonnes par mois sont prévus accoster à la jetée de La Batery
L’Afrique compte la population la plus jeune au monde, avec 60 % de jeunes de moins de 35 ans. 420 millions sont âgés de 15 à 35 ans, et ce segment de la population devrait doubler pour atteindre 840 millions d’ici à 2040. Dans le cadre de son programme ENABLE Youth (Empowering Novel Agri-Business-Leded Employment) et en collaboration avec l’IITA, la Banque africaine de développement œuvre en faveur des jeunes agriculteurs.
Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
L’extraction proprement dite commencera en 2020. Selon le chronogramme présenté hier dans les locaux de Toliara Sands au Bazar be de Toliara, la construction de la jetée à La Batery à Andaboly Toliara, pour transporter les minerais vers les bateaux, durera deux ans. De nouvelles routes, parallèle à la RN9 au départ de Ranobe jusqu’à Toliara seront construites pour supporter les camions wagons de 100 000 tonnes. « La phase d’exploration avec le démarrage des exploitations aura duré en tout vingt ans », explique Jules Le Clezio, représentant de la compagnie australienne World Titanium Resources, porteur du projet Toliara Sands. (..) Le gisement s’étend sur 15 km et le projet est passé de 8 millions de tonnes à 12 millions de tonnes de minerais à exploiter. La durée de l’exploitation peut aller jusqu’à 60 ans au lieu des 20 prévus. La prévision reste dans le cap des six cent milles tonnes de production par an. La qualité de sable noir à exploiter dans cette localité est dite de type « lourd » avec 8,2% de sable minéralisé. Deux bateaux de 30 000 tonnes par mois sont prévus accoster à la jetée de La Batery
Dans PV Magazine
Madagascar tenders 25 MW of solar. The 25 MW (AC) solar PV project will be located near the capital of Antananarivo and will be supported by the World Bank’s Scaling Solar group program. (..) Interested developers must submit their applications by 10 January 2018. Pre-selected bidders will then have access to the Request for Proposal (RfP) phase. Madagascar’s government recently announced it has introduced a VAT and custom duty exemption for the imports of PV components and 50% reduction on the tax it imposes on the revenue generated by residential and commercial PV systems. The country aims to grant access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share, with around 75%.
Madagascar tenders 25 MW of solar. The 25 MW (AC) solar PV project will be located near the capital of Antananarivo and will be supported by the World Bank’s Scaling Solar group program. (..) Interested developers must submit their applications by 10 January 2018. Pre-selected bidders will then have access to the Request for Proposal (RfP) phase. Madagascar’s government recently announced it has introduced a VAT and custom duty exemption for the imports of PV components and 50% reduction on the tax it imposes on the revenue generated by residential and commercial PV systems. The country aims to grant access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share, with around 75%.
Mikama - Oct 19, 2017
Antsa R. dans Midi-Madagasikara
Le Cluster CHESE entend appuyer les filières de Madagascar intéressées par le domaine de la cosmétique à travers une convention de partenariat avec Cosmetic Valley et y associer les Universités malgaches et le CNARP, Centre National d’Application de Recherches Pharmaceutiques dans toutes les démarches de la recherche scientifique. Dans le secteur de la cosmétique, Madagascar a sa place parmi les cinq premiers pays disposant de biodiversité et de richesses en plantes endémiques avec plus de 11 000 espèces recensées dont les applications en matière de cosmétique doivent être découvertes et appliquées.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Investissement – Le Textile City s’installe à Moramanga. D’après l’Economic development board of Madagascar (EDBM), les développeurs apporteront 160 millions de dollars d’investissement pour huit cent mille mètres carrés de construction. Les investisseurs, quant à eux, débourseront 40 millions de dollars pour le matériel et les équipements. « 40 à 70 milliards ariary de salaire seront honorés mensuellement aux deux cent mille nouveaux employés, lesquels, à leur tour, contribueront à développer les zones environnantes par leurs dépenses ...
Dans InvestorIntel
... Sherritt’s Ambartovy nickel/cobalt mine and Rio Tinto’s mineral sands mine near Fort-Dauphin at the south-east tip of Madagascar. QIT Madagascar Minerals, which is 80% owned by Rio Tinto and 20% owned by the Government of Madagascar, is extracting ilmenite and zircon from heavy mineral sands over an area of about 6,000 hectares along the coast over the next 40 years.
Long term denizens of InvestorIntel need little introduction to this company’s graphite deposit at Molo but they probably do need reminding of its name change that was precipitated by the need to differentiate itself from a certain infamous bunny. While Molo moves towards production at a swift clip with the project having been reconfigured to a modular, more bite-sized format with a capex at a fraction of previous plans (and almost all competitors) it is easy to forget that the company’s original raison d’etre. This was the Green Giant Vanadium deposit which shares the same land block as the graphite but is distinct. In fact the “energizing” that was originally foreseen was Vanadium Redox batteries, not the graphite component in Lithium Ion batteries.
Le Cluster CHESE entend appuyer les filières de Madagascar intéressées par le domaine de la cosmétique à travers une convention de partenariat avec Cosmetic Valley et y associer les Universités malgaches et le CNARP, Centre National d’Application de Recherches Pharmaceutiques dans toutes les démarches de la recherche scientifique. Dans le secteur de la cosmétique, Madagascar a sa place parmi les cinq premiers pays disposant de biodiversité et de richesses en plantes endémiques avec plus de 11 000 espèces recensées dont les applications en matière de cosmétique doivent être découvertes et appliquées.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Investissement – Le Textile City s’installe à Moramanga. D’après l’Economic development board of Madagascar (EDBM), les développeurs apporteront 160 millions de dollars d’investissement pour huit cent mille mètres carrés de construction. Les investisseurs, quant à eux, débourseront 40 millions de dollars pour le matériel et les équipements. « 40 à 70 milliards ariary de salaire seront honorés mensuellement aux deux cent mille nouveaux employés, lesquels, à leur tour, contribueront à développer les zones environnantes par leurs dépenses ...
Dans InvestorIntel
... Sherritt’s Ambartovy nickel/cobalt mine and Rio Tinto’s mineral sands mine near Fort-Dauphin at the south-east tip of Madagascar. QIT Madagascar Minerals, which is 80% owned by Rio Tinto and 20% owned by the Government of Madagascar, is extracting ilmenite and zircon from heavy mineral sands over an area of about 6,000 hectares along the coast over the next 40 years.
Long term denizens of InvestorIntel need little introduction to this company’s graphite deposit at Molo but they probably do need reminding of its name change that was precipitated by the need to differentiate itself from a certain infamous bunny. While Molo moves towards production at a swift clip with the project having been reconfigured to a modular, more bite-sized format with a capex at a fraction of previous plans (and almost all competitors) it is easy to forget that the company’s original raison d’etre. This was the Green Giant Vanadium deposit which shares the same land block as the graphite but is distinct. In fact the “energizing” that was originally foreseen was Vanadium Redox batteries, not the graphite component in Lithium Ion batteries.
Mikama - Sep 29, 2017
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Malgré le fait que la société canadienne DNI Metals est encore en phase de recherche de minérai que le graphite dans le fokontany d’Ambatolampy, commune rurale d’Ambinaninony, dans le district de Brickaville, elle a réalisé de nombreux investisseurs sociaux au profit de la population locale. A titre d’illustration, cette compagnie minière a construit des routes desservant plusieurs localités allant de la RN2 vers son site d’intervention. (..) En outre, elle a alloué 10 millions Ar pour la construction de huit puits servant à assurer l’adduction en eau potable. Quatre puits seront ainsi installés à Ambatolampy, un autre pour l’école et le reste pour la population locale. (..) Quant aux mesures de compensations à une trentaine de ménages affectés par le projet, « 27 ménages ont déjà reçu leurs compensations qui peuvent aller de 300 000 Ar à 2 millions Ar.
Arh. dans NewsMada
La valeur des exportations de Madagascar vers l’Italie était de 22,9 millions de dollars l’année dernière. Dix principales lignes de produits sont disponibles sur le marché italien (vêtements et accessoires, produits halieutiques, huiles minérales, gemmes métaux précieux…). Le fait que les produits malgaches passent en France avant d’être expédiés en Italie réduit la compétitivité des produits.
Dans Investing News
About the Malagasy Graphite Property. The three mining exploitation licenses that comprise the Project are located in the vicinity of Andasibe in Toamasina Province in Madagascar, 20 km to the southwest of Sheritt’s Ambatovy nickel/cobalt laterite open pit mine, and 200km via road from the seaport of Toamasina, Madagascar’s main port. The licenses total 4,375 hectares (10,811 acres). Graphite was produced on the licenses for roughly a century from 1910. The production to date has been free digging of lateritic ore and open pit mining, providing low cost exploitation without need for blasting.
Malgré le fait que la société canadienne DNI Metals est encore en phase de recherche de minérai que le graphite dans le fokontany d’Ambatolampy, commune rurale d’Ambinaninony, dans le district de Brickaville, elle a réalisé de nombreux investisseurs sociaux au profit de la population locale. A titre d’illustration, cette compagnie minière a construit des routes desservant plusieurs localités allant de la RN2 vers son site d’intervention. (..) En outre, elle a alloué 10 millions Ar pour la construction de huit puits servant à assurer l’adduction en eau potable. Quatre puits seront ainsi installés à Ambatolampy, un autre pour l’école et le reste pour la population locale. (..) Quant aux mesures de compensations à une trentaine de ménages affectés par le projet, « 27 ménages ont déjà reçu leurs compensations qui peuvent aller de 300 000 Ar à 2 millions Ar.
Arh. dans NewsMada
La valeur des exportations de Madagascar vers l’Italie était de 22,9 millions de dollars l’année dernière. Dix principales lignes de produits sont disponibles sur le marché italien (vêtements et accessoires, produits halieutiques, huiles minérales, gemmes métaux précieux…). Le fait que les produits malgaches passent en France avant d’être expédiés en Italie réduit la compétitivité des produits.
Dans Investing News
About the Malagasy Graphite Property. The three mining exploitation licenses that comprise the Project are located in the vicinity of Andasibe in Toamasina Province in Madagascar, 20 km to the southwest of Sheritt’s Ambatovy nickel/cobalt laterite open pit mine, and 200km via road from the seaport of Toamasina, Madagascar’s main port. The licenses total 4,375 hectares (10,811 acres). Graphite was produced on the licenses for roughly a century from 1910. The production to date has been free digging of lateritic ore and open pit mining, providing low cost exploitation without need for blasting.
Mikama - Sep 19, 2017
R.Edmond dans Midi Madagasikara
Nous n’avons pas encore eu la possibilité de verser la part des ristournes minières qui doit revenir aux collectivités locales affectées par le projet. La loi prévoit en effet que 60% des ristournes doivent aller aux collectivités locales. Néanmoins, il faut un décret qui définit quelles sont les collectivités qui vont bénéficier de ces ristournes et ce que sera la part de chacune pour chaque exploitation minière. (..) Sinon, Ambatovy s’acquitte normalement des autres taxes, impôts et autres droits prévus par les lois et réglementations en vigueur. A titre indicatif, la compagnie a versé environ 20,5 millions de dollars en 2016 au titre de ces diverses taxes et impôts à l’Etat Malagasy. (..) outre la création de plus de 7 000 emplois stables, Ambatovy a acheté depuis le début de ses activités plus de 3,3 milliards de dollars de biens et services à Madagascar, contribuant de manière extrêmement importante à l’économie du pays... Grâce à notre politique d’achat local et d’emploi local pour maximiser nos impacts sur l’économie du pays, nous continuons à dépenser autour de 1 million de dollars par jour dans l’économie nationale.Sur un autre point, le nickel est devenu le premier produit d’exportation de Madagascar, le plus grand pourvoyeur de devises étrangères, dépassant de loin les produits traditionnels. Les exportations d’Ambatovy, nickel et cobalt combinés, représentent plus de 30% des recettes d’exportation de Madagascar. Ambatovy est bien un des contributeurs économiques les plus importants à Madagascar...
Dans African Intelligence
Actionnaire à 40% de la mine de nickel d'Ambatovy, Sherritt International tente depuis de longs mois de renégocier son accord de participation financière. L'objectif est de réduire son exposition à présent que l'exploitation tourne à 80% de sa capacité et génère des revenus substantiels. Dans le cadre de l'arrangement actuel, Sherritt reverse 70% des revenus tirés de sa participation pour rembourser la dette de 1,6 milliard de dollars d'Ambatovy. Or, du fait du plongeon du cours du nickel, Sherritt a enregistré pour l'exercice 2015 une dépréciation d'actif de 1,6 milliard $ sur l'exploitation. Pour préserver son bilan, la société cherche donc à définir un nouvel arrangement avec ses partenaires Sumitomo Corp et Korea Resources Corp (Kores). Aussi n'a-t-elle pas honoré le dernier appel de fonds, en janvier, pour lequel elle aurait dû verser 20 millions $. Ses partenaires, qui ont contribué à hauteur de 50 millions $ en tout, ne considèrent pour l'instant pas Sherritt comme ayant fait défaut.
(...)
Le gouvernement semble ainsi s'éloigner de la Nouvelle Politique de l'énergie (NPE) qu'il avait élaborée en 2015, selon laquelle les nouvelles centrales devront produire de l'électricité provenant à 75 % de l'hydroélectricité, 5 % de l'éolien, 5 % du solaire et 15 % du thermique. En limitant les centrales thermiques, dont le coût est plus élevé que celui de l'électricité issue des énergies propres, l'objectif était notamment de renflouer les caisses de la Jirama, l'opérateur électrique national. Or le redressement de cette dernière, en pleine déroute économique, est l'une des conditions fixées par les bailleurs internationaux pour le décaissement de leur aide budgétaire (LOI nº1437), tout comme l'arrêt des contrats passés de gré-à-gré (AEI nº772).
Nous n’avons pas encore eu la possibilité de verser la part des ristournes minières qui doit revenir aux collectivités locales affectées par le projet. La loi prévoit en effet que 60% des ristournes doivent aller aux collectivités locales. Néanmoins, il faut un décret qui définit quelles sont les collectivités qui vont bénéficier de ces ristournes et ce que sera la part de chacune pour chaque exploitation minière. (..) Sinon, Ambatovy s’acquitte normalement des autres taxes, impôts et autres droits prévus par les lois et réglementations en vigueur. A titre indicatif, la compagnie a versé environ 20,5 millions de dollars en 2016 au titre de ces diverses taxes et impôts à l’Etat Malagasy. (..) outre la création de plus de 7 000 emplois stables, Ambatovy a acheté depuis le début de ses activités plus de 3,3 milliards de dollars de biens et services à Madagascar, contribuant de manière extrêmement importante à l’économie du pays... Grâce à notre politique d’achat local et d’emploi local pour maximiser nos impacts sur l’économie du pays, nous continuons à dépenser autour de 1 million de dollars par jour dans l’économie nationale.Sur un autre point, le nickel est devenu le premier produit d’exportation de Madagascar, le plus grand pourvoyeur de devises étrangères, dépassant de loin les produits traditionnels. Les exportations d’Ambatovy, nickel et cobalt combinés, représentent plus de 30% des recettes d’exportation de Madagascar. Ambatovy est bien un des contributeurs économiques les plus importants à Madagascar...
Dans African Intelligence
Actionnaire à 40% de la mine de nickel d'Ambatovy, Sherritt International tente depuis de longs mois de renégocier son accord de participation financière. L'objectif est de réduire son exposition à présent que l'exploitation tourne à 80% de sa capacité et génère des revenus substantiels. Dans le cadre de l'arrangement actuel, Sherritt reverse 70% des revenus tirés de sa participation pour rembourser la dette de 1,6 milliard de dollars d'Ambatovy. Or, du fait du plongeon du cours du nickel, Sherritt a enregistré pour l'exercice 2015 une dépréciation d'actif de 1,6 milliard $ sur l'exploitation. Pour préserver son bilan, la société cherche donc à définir un nouvel arrangement avec ses partenaires Sumitomo Corp et Korea Resources Corp (Kores). Aussi n'a-t-elle pas honoré le dernier appel de fonds, en janvier, pour lequel elle aurait dû verser 20 millions $. Ses partenaires, qui ont contribué à hauteur de 50 millions $ en tout, ne considèrent pour l'instant pas Sherritt comme ayant fait défaut.
(...)
Le gouvernement semble ainsi s'éloigner de la Nouvelle Politique de l'énergie (NPE) qu'il avait élaborée en 2015, selon laquelle les nouvelles centrales devront produire de l'électricité provenant à 75 % de l'hydroélectricité, 5 % de l'éolien, 5 % du solaire et 15 % du thermique. En limitant les centrales thermiques, dont le coût est plus élevé que celui de l'électricité issue des énergies propres, l'objectif était notamment de renflouer les caisses de la Jirama, l'opérateur électrique national. Or le redressement de cette dernière, en pleine déroute économique, est l'une des conditions fixées par les bailleurs internationaux pour le décaissement de leur aide budgétaire (LOI nº1437), tout comme l'arrêt des contrats passés de gré-à-gré (AEI nº772).
Mikama - Sep 12, 2017
Hanitra R. dans Midi-Madagasikara
« Aujourd’hui, il y a beaucoup plus de vents en mer et moins de poissons », confie-t-il. « Les conditions climatiques ont vraiment changé. Pêcher en haute mer est devenu plus difficile pour les petits pêcheurs comme moi ». La situation l’a amené à s’adapter en produisant du miel de mangroves. D’autres lui ont emboîté le pas. Son groupement compte aujourd’hui 18 membres et bénéficie de formations en apiculture depuis 2012, dispensées par la fédération des paysans de la région Menabe FITAME (Firaisantsoan’ny Tantsaha Menabe) avec l’appui de WWF.
Navalona R. dans Midi-Madagasikara
Rappelons que ce complexe sucrier a été détruit et fermé depuis décembre 2014 suite à un conflit entre les employés et les dirigeants. Ce qui a provoqué la ruine de l’économie sucrière et la destruction du seul outil industriel de la région, sans oublier la perte des milliers d’emplois. En 2012, cette industrie sucrière a produit quelque 34 000 tonnes de sucre et a occupe près de 3 000 emplois directs, saisonniers et permanents. Tout le monde a ainsi intérêt à ce que les activités de la SUCOMA reprennent. On attend ainsi l’aboutissement des négociations entre les deux parties.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La mine d’or de Dabolava a attiré la compagnie Prophecy Development Corporation. Elle vient de conclure un accord avec une importante société minière de charbon qui a acquis la société Pan African Mining Corporation pour l’exploitation de ce gisement d’or dans le district de Miandrivazo. (..) En plus, la compagnie canadienne s’engage après à débloquer 2 dollars par once d’or découvert, avant extraction, avec un minimum de découverte d’un million d’once d’or dans les sites miniers du projet Dabolava. Le site de Dabolava est un gisement d’or. Le métal jaune a été extrait dans cette zone depuis 1900 et continue d’être exploité à très faible échelle. La société Pan African Mining avait mené des travaux dans cette zone minière et l’a abandonné en 2008. Les études faites par cette société démontrent les potentiels de ce gisement minier. « Les travaux précédents sur Dabolava avaient montré plus de 10 km de tendances aurifères mises en évidence par des interceptions de forage à l’or de quartz de plus de 100 g / t d’or », a déclaré John Lee, président de Prophecy.
Le projet Dabolava couvre une surface totale de 375km² pour ces six permis miniers.
Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Les mouvements Liberty 32 ainsi que Wake Up Madagascar ont organisé un sondage dans le cadre de la campagne « Tsaboy ny Gasy », destiné à évaluer l’état du secteur santé à Madagascar et connaitre les perceptions de la population à ce sujet. (..) 22% seulement des 192 interrogés font confiance aux hôpitaux et autres infrastructures de santé publique, alors que 71% d’entre eux préfèrent se tourner vers les établissements privées malgré les coûts plus élevés. (..) Un budget (alloué à la santé publique) qui n’est que de 5,6% du budget de l’Etat comme l’indique la loi de finance 2017, alors que le ministère des finances lui accapare les 41,5% et la Présidence de la République les 13,9%.
« Aujourd’hui, il y a beaucoup plus de vents en mer et moins de poissons », confie-t-il. « Les conditions climatiques ont vraiment changé. Pêcher en haute mer est devenu plus difficile pour les petits pêcheurs comme moi ». La situation l’a amené à s’adapter en produisant du miel de mangroves. D’autres lui ont emboîté le pas. Son groupement compte aujourd’hui 18 membres et bénéficie de formations en apiculture depuis 2012, dispensées par la fédération des paysans de la région Menabe FITAME (Firaisantsoan’ny Tantsaha Menabe) avec l’appui de WWF.
Navalona R. dans Midi-Madagasikara
Rappelons que ce complexe sucrier a été détruit et fermé depuis décembre 2014 suite à un conflit entre les employés et les dirigeants. Ce qui a provoqué la ruine de l’économie sucrière et la destruction du seul outil industriel de la région, sans oublier la perte des milliers d’emplois. En 2012, cette industrie sucrière a produit quelque 34 000 tonnes de sucre et a occupe près de 3 000 emplois directs, saisonniers et permanents. Tout le monde a ainsi intérêt à ce que les activités de la SUCOMA reprennent. On attend ainsi l’aboutissement des négociations entre les deux parties.
Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La mine d’or de Dabolava a attiré la compagnie Prophecy Development Corporation. Elle vient de conclure un accord avec une importante société minière de charbon qui a acquis la société Pan African Mining Corporation pour l’exploitation de ce gisement d’or dans le district de Miandrivazo. (..) En plus, la compagnie canadienne s’engage après à débloquer 2 dollars par once d’or découvert, avant extraction, avec un minimum de découverte d’un million d’once d’or dans les sites miniers du projet Dabolava. Le site de Dabolava est un gisement d’or. Le métal jaune a été extrait dans cette zone depuis 1900 et continue d’être exploité à très faible échelle. La société Pan African Mining avait mené des travaux dans cette zone minière et l’a abandonné en 2008. Les études faites par cette société démontrent les potentiels de ce gisement minier. « Les travaux précédents sur Dabolava avaient montré plus de 10 km de tendances aurifères mises en évidence par des interceptions de forage à l’or de quartz de plus de 100 g / t d’or », a déclaré John Lee, président de Prophecy.
Le projet Dabolava couvre une surface totale de 375km² pour ces six permis miniers.
Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Les mouvements Liberty 32 ainsi que Wake Up Madagascar ont organisé un sondage dans le cadre de la campagne « Tsaboy ny Gasy », destiné à évaluer l’état du secteur santé à Madagascar et connaitre les perceptions de la population à ce sujet. (..) 22% seulement des 192 interrogés font confiance aux hôpitaux et autres infrastructures de santé publique, alors que 71% d’entre eux préfèrent se tourner vers les établissements privées malgré les coûts plus élevés. (..) Un budget (alloué à la santé publique) qui n’est que de 5,6% du budget de l’Etat comme l’indique la loi de finance 2017, alors que le ministère des finances lui accapare les 41,5% et la Présidence de la République les 13,9%.
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