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Mikama - Jun 27, 2018

Navalona R. dans Midi Madagasikara
... il y a encore de nombreuses réserves largement inexploitées pour ne citer que les sites de Bemanevika et d’Ankazotaolana qui disposent chacun d’un gisement de plus d’un million de tonnes de chrome lors de ma première visite dans un chantier d’une compagnie minière malgache .En outre, des retombées économiques positives se font déjà sentir car cette exploitation minière génère près de 1 200 emplois dont la moitié des emplois directs. (..) Notons que la société KRAOMA produit 850 tonnes de chrome par jour sans compter les déchets de chrome en grande quantité qui peuvent être encore recyclés.

Riana R. dans NewsMada
L’Agence japonaise de développement international (Jica) compte prévenir les risques de corruption, liés aux marchés publics, dans le cadre du projet d’élargissement du port de Toamasina. L’accompagnement de toutes les parties prenantes dans cette démarche a été lancé. (..) Avec un investissement de 639 millions d’USD, l’extension du port de Toamasina est l’un des plus grands projets réalisés dans le pays depuis le retour de l’Indépendance. Sur ce fonds, 411 millions d’USD sont issus d’un emprunt concessionnel accordé par le gouvernement japonais, à travers la Jica. Comme il a été déjà indiqué dans les mêmes colonnes, il s’agit d’un  prêt à taux de remboursement de 0,01% sur 40 ans, dont dix différés. C’est-à-dire que l’Etat malgache ne paiera l’intérêt et le capital qu’à partir de la onzième année de remboursement du prêt. Seuls les intérêts seront remboursés durant les dix premières années. Les 227 millions USD qui restent pour le financement du projet sont fournis par l’Etat malgache.

Mikama - Mar 19, 2018

Andry Rialintsalama  dans L'Express de Madagascar
Madagascar présentera son rapport sur la conformité des recommandations du Groupe d’action financière en avril. Faute de loi y afférente, la Grande île figurera automatiquement dans la catégorie des « pays à risques ». Imminent. Les opérateurs économiques devront se préparer à partir du 7 avril. Des contrôles supplémentaires seront nécessaires pour toutes transactions financières avec Madagascar. (..) D’après un communiqué du Samifin, le manque à gagner pour l’État est estimé à 233 milliards d’ariary contre 96 milliards en 2016.


GASPARD dans La Gazette de la Grande Ile
Côté pile, le Groupe STAR brille par ses actions sociales, ses promotions publicitaires et son sponsoring tous azimuts. Elle se permet même le luxe cynique de lutter contre le cancer, alors que sa bière et ses boissons gazeuses consommées à haute dose, sont néfastes pour la santé. Côté face, l’envers du décor du Groupe STAR est plus sombre, du moins pour les concurrents. A Madagascar, la concurrence est régie par une loi et son décret d’application. Pourtant, dans les faits, le Groupe STAR méprise ces textes. En effet, il dissuade certains grossistes et détaillants de vendre des boissons d’autres marques que celles distribuées par le Groupe STAR. (..)  Rien ni personne n’arrêtera donc l’insatiable appétit de pouvoir de Pierre Castel, le très riche et très sénile patron français du Groupe CASTEL qui a racheté le Groupe STAR ? La démarche néocolonialiste de Pierre Castel, qui veut étendre son emporium sur toute l’Afrique, s’inscrit dans la « Françafrique », décriée par le Président Emmanuel Macron en théorie, mais toujours vivace dans les faits.

Arh. dans NewsMada
Quatre femmes illettrées ou semi-illettrées de Belo sur Mer ont suivi une formation de six mois en Inde pour devenir des «ingénieurs solaires». Elles assureront l’électrification de leurs villages respectifs et mettront en place un système de gestion durable en faveur de 200 ménages. De retour au pays vendredi dernier, Nazemine, Nomeha, Malandia et Tsiampoiza, devenues ingénieurs solaires, assureront désormais l’électrification de leurs villages. (..) Pour la vulgarisation des acquis en Inde, elles assureront l’installation ainsi que l’entretien des équipements solaires pour les ménages. Mais en attendant, ces femmes commenceront d’abord l’installation électrique de la maison communautaire, composée d’un atelier destiné à l’apprentissage et la diffusion de la technologie acquise.

Mikama - Mar 5, 2018

Fano Deraniaina dans Madagascar Tribune
Devant les scores 24/100 et de 9/100 que Madagascar a obtenus selon respectivement l’IPC (Indice de Perception de la Corruption) 2017 réalisé par Transparency International - Initiative Madagascar ( TI-IM) et le résultat de l’enquête sur le budget ouvert 2017 co-réalisée par MSIS-tatao et International Budget Partenership, une conférence sur « l’OPEN DATA sur les finances publiques à Madagascar » ou données ouvertes sur les finances publiques, s’est tenue le 3 mars dernier à l’université d’Antananarivo sous l’initiative de TI-IM, du Bianco et du CRAAM ou Centre des Ressources des Arts Actuels de Madagascar. Cette conférence a été réalisée en marge de la célébration de l’Open data day 2018. Il s’agit d’un concept qui vise à rendre public des données claires, lisibles, simplifiées, accessibles, non-discriminatoires et réutilisables sur les finances publiques. C’est un gage de la transparence dans la gestion de l’argent public, de la bonne gouvernance et de la redevabilité. Le point focal de cette rencontre se situait sur la nécessité de divulguer au maximum les informations sur les finances publiques afin de réduire les risques de corruption.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Seulement 9% de la population possède: un compte bancaire. Parmi les résultats clés attendus du soutien de la Banque, on a l’intégration à l’horizon 2021, d’au moins 1.080 micros et petites entreprises (dont au moins 30% dirigées par des femmes), dans des activités productives à plus forte valeur ajoutée notamment les chaines de valeurs agroindustrielles et le textile. Ces micros et petites entreprises devraient ainsi contribuer à créer au moins 5.000 emplois salariés formels (dont au moins 40% pour les femmes) à l’horizon 2021.

Dans Modern Diplomacy
The World Bank approved today a $45 million International Development Association (IDA)* credit to promote the financial inclusion of individuals and micro, small and medium-sized enterprises in Madagascar. Madagascar Financial Inclusion project will specifically target women and women-owned enterprises, to reduce disparities in access to finance for women. The direct beneficiaries of the project will include teachers, students and taxpayers that will have the option to receive and make government payments through an e-money transaction account. Among other direct beneficiaries are also the microfinance institutions customers, particularly in rural areas. Mobile money operators will benefit from increased use of their e-money services as well as expansion of their agent network.

Mikama - Feb 23, 2018

Antsa R. dans Midi Madagasikara
L’enquête FinScop menée en 2016 a montré que 41% des adultes à Madagascar sont exclus des services financiers. 29% ont accès aux services formels, 17% ont recours aux nouveaux types de services comme le mobile-banking et 30% préfèrent opter pour les services financiers informels. (..)  Plusieurs actions ont déjà été menées pour l’amélioration de l’inclusion financière d’après le SG du Ministère des Finances et du Budget, qui a cité, entre autres, l’analyse de la demande et des offres financières, la promulgation de la loi sur la monnaie électronique qui vise la protection des consommateurs, la nouvelle loi sur la microfinance adoptée en décembre dernier, etc. En ce qui concerne la SNIM, cette stratégie nationale s’articule autours de trois axes principaux basés sur les cinq piliers de la feuille de route pour l’inclusion financière, élaborée avec les différents acteurs du secteur financier et de la promotion de l’inclusion financière. Celle-ci met en exergue l’amélioration de l’épargne, des offres de crédits, des systèmes de paiements, de l’assurance et surtout de la protection des consommateurs.

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
... le Black Eyes par exemple, la Grande Ile occupe actuellement la place de 3ème exportateur mondial avec une production annuelle d’environ 15 000 tonnes. Madagascar exporte notamment en  Inde, au Pakistan, en Europe, aux Etats-Unis, au Sri Lanka, ou encore en Colombie…Mais des problèmes se posent, pour ne citer que la dégénérescence des semences et la baisse de la production, mais également et surtout, la concurrence d’autres pays producteurs comme la Birmanie, le  Pérou et les Etats-Unis. Quant au haricot lingot d’or, Madagascar est réputé par son produit bio et se place au 48e rang mondial, parmi les pays exportateurs.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Pour le compte de l’année 2017,  quinze entreprises ont reçu leur agrément en Entreprises franches.  La totalité de leur investissement s’élève à 2,3 millions de dollars. 80% de ces entreprises évoluent dans l’industrie légère. Outre cela, dix-huit projets sont en cours de traitement au niveau de l’EDBM. Le montant de ces investissements atteint les 19,6 millions de dollars avec une création d’environ huit mille cinq cent emplois. (..) Lors du classement de la Banque mondiale sur la facilitation de faire des affaires, ou Doing Business, elle a gagné cinq points, c’est-à-dire 162ème sur 190 pays. «

Mikama - Oct 24, 2017

Dans Mongabay
Malagasy authorities have held Raleva, a 61-year-old farmer, in custody since September 27 after he asked to see a mining company’s permits to operate near his village. His arrest is at least the sixth such case of authorities targeting those opposed to wildlife trafficking or land grabs. Environmental activists say they face bribes and threats from traffickers on one side, and jail time and fines from the government on the other. (..) So it took some courage for Raleva, a 61-year-old farmer, to stand up and ask questions at a meeting in his village in southeast Madagascar on September 27. A Chinese-Malagasy company, previously expelled from the area, had come to announce that it would resume its gold-mining work. Company representatives had brought with them the “chef de district,” a powerful local official. The conflict began in August 2016, when the mining company, managed by (and named after) Gianna Mac Lai Sima, a Malagasy woman of Asian descent who lives in the nearby city of Mananjary, came to mine the area. (..) the company told the people of Vohilava, Raleva’s village, that the permits had been granted. When Raleva demanded to see them, he was arrested, and has been locked up ever since. (..) Several Malagasy people have recently run into trouble protecting their communities and their ecosystems. Clovis Razafimalala, perhaps the country’s best-known activist, is a case in point. He heads an environmental advocacy group based near Masoala National Park in northeast Madagascar — ground zero for the illegal rosewood trade. He’s lobbied the government to prosecute timber barons and to reopen a local customs office so that it will be harder for criminals to get rosewood and local wildlife out of the country. Almost all of the Malagasy rosewood (Dalbergia spp.), which is subject to a complete export ban under the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora, goes to China, where it is prized in the furniture industry for its deep red color. Traffickers have for years tried to silence Razafimalala with bribes and death threats, he told Mongabay. In September 2016, following a protest that he says he did not attend, Razafimalala was arrested and flown to a prison in Toamasina, some 386 kilometers (240 miles) from his hometown. He spent 10 months there awaiting trial. Because of rumors that he would be poisoned, his wife came for a time to prepare his food herself. In July of this year, a judge convicted him of destruction of public property and arson. He was fined about $1,800 and sentenced to five years in prison, but immediately released on parole, like many activists before him. Releasing him with a conviction and an unserved prison sentence that can be called in at any moment was an effort to to “shut him up.” (...) Armand Marozafy, a member of the same environmental group in Masoala, went through a similar process in 2015 after identifying two alleged rosewood traffickers in a private email. He was subsequently convicted of defamation and served five months in jail. (..) While Razafimalala and Marozafy insist on staying put in Madagascar despite the danger they face, fellow activist Augustin Sarovy, who worked as a guide in Masoala for 17 years, did not feel he had that option. In early 2012, after traffickers saw that he had cooperated with the Environmental Investigation Agency on a high-profile investigation into rosewood trafficking, he fled the area. (..) In the summer and fall of 2016, protests in Soamahamanina, a village in the central highlands, became the talk of Madagascar. The national mining ministry had given Chinese-owned Jiuxing Mines the rights to some 6,000 hectares (almost 15,000 acres) of land for a 40-year period, and the National Environment Office had begun issuing the company permits to mine there. The area includes native forests dominated by tapia trees (Uapaca bojeri), which are the only home for the worms used in silk production for Malagasy scarves and burial shrouds. Locals in Soamahamanina organized large protests each week. Six protesters were convicted and given suspended prison sentences. (..) Earlier this month, popular Malagasy musician Rah-Ckiky, who had just released a song in support of the protesters, was stabbed in a nighttime attack on his home. He suffered serious injuries to his head and upper body, but nothing was stolen. (..) In another mine-related case last month, Raymond Mandiny, an activist in Ambanja, a town in northwest Madagascar, was taken to court. Mandiny opposes a foreign-owned rare earth project that could, like similar mines in China, wreak havoc on the environment of the Ampasindava peninsula, near Ambanja. After an apparent argument about the project, the local representative of Madagascar’s environment ministry brought Mandiny to court on three charges, including defamation. (..) . Fernand Cello, a Malagasy journalist, has reported on illegal sapphire mining in Isalo National Park in southern Madagascar. Earlier this year, he was charged with seven crimes including defamation, endangering state security, and incitation to hatred. Some of those charges were dropped, but he was convicted of check theft and forgery — charges he maintains are bogus. Last month, he was sentenced to two years in prison and immediately released on parole. (..) Officially, Raleva is being held in prison for “usurping” the title of chef de district. “Usurpation de function” was also one of the charges levied against Raymond Mandiny in Ambanja. Both so-called usurpers, seen to be overstepping their bounds by challenging powerful interests, are members of local affiliates of RSCDA. The real chef de district in Mananjary, Timothée Roger Andriamihitsakisa, who locals say is directly responsible for Raleva’s imprisonment, declined to discuss the case with Mongabay when reached by telephone. The prosecutor in Mananjary could not be reached. The prime minister’s office did not respond to a request for comment for this article.

Mikama - Aug 23, 2017

Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le site web anti-corruption « Tsycoolkoly » a reçu plus de 800 témoignages de corruption, actuellement. Sur les 800 témoignages reçus par la base de données de « Tsycoolkoly », au moins 500 concernent des pots de vin à la justice. En général, ces dénonciations portent sur des pots de vin, des détournements de fonds, le secteur de la justice malgache, des combines grotesques au quotidien. Cette plateforme en ligne lancée depuis 2014 ... l’ong Tolotsoa propose une analyse crédible et facile à comprendre, basée sur les données du CSI, du BIANCO et du SAMIFIN. (..) 123ème sur 168, c'est le rang qu'occupe Madagascar dans le classement de Transparency international en termes de la corruption.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le complexe de « Loky Manambato » étalé sur une superficie de plus de 70 000 ha constitue une nouvelle aire protégée créée dans la partie nord-est de Madagascar, soit dans la région de SAVA. Cette aire protégée recèle une biodiversité exceptionnelle avec un taux d’endémicité atteignant les 84%. Elle est délimitée par les fleuves de Loky et de Manambato. Parmi ses espèces faunistiques phares, on peut citer entre autres, le lémurien à couronne dorée connu sous le nom scientifique « propithecus stattersalli ».

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
La précarité énergétique faisant état  de 4,7% de taux d’accès à de la population rurale à l’électricité a conduit des porteurs de projets  à contribuer à l’amélioration de la situation. Les objectifs et plans d’action respectifs des neuf porteurs de projets présentés, hier à l’hôtel Colbert, justifient cette détermination.  Les neuf projets sur les dix-sept retenus sont financés à hauteur de 4, 6 millions d’euros par la Commission de l’océan indien (COI) en partenariat avec l’Union européenne (UE). (..) Les neuf  projets des associations, pouvoirs publics et opérateurs privés  des régions Alaotra Mangoro, Menabe, Diana, Itasy, Atsimo Andrefana et Analamanga, développent l’exploitation des énergies renouvelables.

Mikama - Aug 7, 2017

Dans WORLD POLITICS REVIEW

While respected by international donors, Rakotoarimanana was not as beloved by other members of the government, and the private sector also viewed him warily. In an email interview, Richard R. Marcus, professor and director of the Global Studies Institute and the International Studies Program at California State University, Long Beach, describes the politics behind Rakotoarimanana’s resignation (..) Rakotoarimanana had some remarkable achievements as a result of his punctiliousness. He secured $304 million in International Monetary Fund Extended Credit Facility funding and a new World Bank Country Partnership Framework that provided $1.3 billion in spending between 2017 and 2021. (..) This is a tremendous challenge in Madagascar, where the private sector plays an important public sector role. While bribery and other overt forms of corruption do exist, the larger issues in Madagascar are challenges to regulatory and systemic norms such as the taxation of illicit goods, contracting and customs controls. Limiting activities disadvantages critical interlocutors. (..) The new finance minister, Vonintsalama Andriambololona, is appropriately trained and comes with a thick resume. However, she served as secretary-general of the Finance Ministry when President Rajaonarimampianina was finance minister during the transitional government of President Andry Rajoelina. With a few notable exceptions, international donors were critical of financial decision-making under the Rajoelina administration, cast doubt on the credibility of fiscal policy because of the government’s illegitimacy, and saw financial oversight as at best lax and at worst complicit in extracting rents from both legal and illegal sectors. As a result, the international community respects her training and work history—she sits on the board of the Central Bank of Madagascar—but questions her credibility. (..) However, core institutional reforms still have not been sufficiently addressed. Social sector institutions are feeble and lack vertical accountability. High-rent sectors such as mining have strong legal codes but weak enforcement and accountability. The justice system has continued to deteriorate and fails to serve the public interest or business. Police lack authority and are seen as corrupt. The National Assembly lacks public trust. Madagascar was once characterized by relatively high transparency but relatively low accountability. Today both transparency and accountability are deeply lacking, holding the potential to undermine fiscal policy, investment and political processes.  (..) However, core institutional reforms still have not been sufficiently addressed. Social sector institutions are feeble and lack vertical accountability. High-rent sectors such as mining have strong legal codes but weak enforcement and accountability. The justice system has continued to deteriorate and fails to serve the public interest or business. Police lack authority and are seen as corrupt. The National Assembly lacks public trust. Madagascar was once characterized by relatively high transparency but relatively low accountability. Today both transparency and accountability are deeply lacking, holding the potential to undermine fiscal policy, investment and political processes.

Mikama - Aug 2, 2017

Dans La Gazette de la Grande Ile
Intégration commerciale : Malgré un niveau de taxe peu élevé sur les importations en provenance de la SADC (0,32 %), celles-ci ne représentent que 3,6 % du PIB malgache, les exportations vers la SADC, comptant pour seulement 0,84 % dans le PIB, le niveau le plus faible des pays de la communauté.
Intégration productive : Madagascar est faiblement intégré aux chaînes de valeur régionales, cependant que près de 25 % des importations de la SADC vers Madagascar sont des produits intermédiaires.

Phil de Fer dans La Gazette de la Grande Ile
La France a tout fait pour détourner Madagascar de la Chine, mais les promesses de financements mineurs accompagnées de conditions drastiques des bailleurs traditionnels ont tardé à se réaliser. Madagascar a tout à gagner à prendre part à la « Nouvelle Route de la Soie » définie par le Président chinois Xi Jinping. La rencontre entre le Chef de l’Etat malgache et son homologue chinois en mars 2017 a réveillé de leur torpeur les bailleurs traditionnels, y compris la France. Face à la montée en puissance de la Chine, le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale essaient de rattraper leur retard à travers des décaissements à tout va. Cependant, le rouleau compresseur chinois est en marche et écrasera aisément ses concurrents. (..) le flux des investissements directs étrangers de la France à Madagascar s’élevait à 100 millions USD...

Dans Africa Newsroom
En termes de perspectives, Abdelkrim Bendjebbourt a indiqué que la BAD est actuellement en phase d'instruction de plusieurs projets qui viendront compléter et conforter les investissements déjà entamés. Il a ainsi fait part de deux importantes échéances : l’atteinte de l’autosuffisance en termes de production rizicole, vers la fin 2018 début 2019 ... La réalisation du Projet d'extension du port de Toliara viendra renforcer la chaîne de développement de la Région Atsimo-Andrefana, qui a le taux de pauvreté le plus important à Madagascar.  (..) Depuis l’intervention de la BAD à Madagascar, ses investissements s’élèvent à plus de 1,2 milliards USD. Pour l'année 2017, elle a engagé une première allocation d’environ 100 millions USD, et d'autres ressources sont actuellement sollicitées pour pouvoir compléter le portefeuille car les besoins sont importants. Durant les cinq prochaines années, la BAD compte engager 1 milliard USD, comme l’a confirmé le Président de la BAD lors de sa rencontre avec le Chef de l’Etat malgache, il y a une semaine, à Abidjan, avec l’agriculture et l’énergie en priorité.

Dans L'Express Maurice
« En bref, la corruption et l’insécurité règnent dans cette partie Sud de Madagascar », dénonce Emile Thomas Razafindremaka. Fort de près de trois mille mem­bres, l’association GTZ, si l’on s’en tient au communiqué de presse, est active dans les régions Atsimo-Andrefana, Anosy, Ihorombe et Haute Matsiatra... La Justice, les forces de l’ordre, les élus locaux, les parlementaires, le représentant de l’État, les responsables auprès des services de santé publi­que, de l’éducation nationale, les fonctionnaires, ou encore, les dépositaires des pactes villageois ou Dina, et même certaines OSC et des syndicats sont frontalement pointés du doigt dans le communiqué. « Il n’y a aucune inspection. Complicités, copinages et corporatismes ont pignon sur rue. Tous sont impliqués, aussi, personne n’ose dénoncer quoi, ou qui que ce soit » (..) par ailleurs les démagogies de certains politiciens, OSC, investisseurs, bailleurs de fonds, autorités religieuses qui ne tiennent pas compte de la redevabilité sociale, et ne recherchent que leurs intérêts.

Dans Christian Science Monitor
Rova, like nearly half of under-fives in Madagascar, was chronically malnourished as a baby.... Rova is a lively girl, but studies show that undersized children are not only weaker, but they tend to do less well in school – a slow start that can complicate adulthood. The UN Children’s Fund, UNICEF, estimates the cost of this barrier to development at $740 million a year, 7 percent of Madagascar’s GDP. (..) “If we are going to get rid of chronic malnutrition, kids’ food needs to be a priority,” she insists. “It isn’t for a lot of families, and that is not going to change in just a year or two.”

Mikama - July 20, 2017

Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Dans le cadre de l’amélioration du système éducatif, la direction de l’Éducation préscolaire et de l’alphabétisation (DEPA) a lancé l’application Gamela, hier à Manakara. Il s’agit d’une prise en main la plus pointue de l’alphabétisation, l’éducation inclusive, ainsi que l’éducation préscolaire.
Toutes les informations proviennent des régions, des districts et des communes afin de voir de plus près les cas qui se présentent dans chaque localité. « La modernisation du système éducatif ne peut se réduire à l’amélioration de la qualité de l’enseignement. Elle s’opère avec le renforcement de la performance de l’administration.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
« Entre 1973 et 2010, la couverture forestière de Menabe-Antimena, d’une superficie totale de 210.312 ha a été réduite de 71 390 ha, ce qui signifie un taux de déforestation annuel moyen de 631,6 ha », indique l’étude. Le taux de déforestation a connu son pic entre 1992 et 2010 avec 872.7ha de superficie qui disparaît annuellement.Pour cause, la région Menabe subit une migration massive augmentant la pression sur l'environnement. « La vague migratoire incessante engendre la perte de la couverture forestière dûe à la culture sur brulis de maïs et d’arachide. Ce qui a engendré une perte considérable allant de 3.295 ha/an en moyenne, de 2010 à 2014 », indique l’ONG Fanamby

Arh. dans NewsMada
Au niveau des entités centrales, le taux moyen de conformité est de 51,95% sur les 333 échantillons de marchés. Sur les 36 entités contrôlées, seules trois ont présenté un taux de 100% de procédures conformes sur les échantillons contrôlés (le ministère des Finances et du budget-DGB, le ministère de la Défense nationale et le ministère des Postes, des télécommunications et du développement numérique). Deux entités ont en outre présenté un taux 0% et deux autres n’ont pas pu soumettre les documents relatifs aux marchés objets de contrôle, faute d’archivage. (..) Au niveau régional, le taux moyen de conformité est de 41,57% sur les six régions contrôlées. L’Ihorombe réalise le meilleur score avec 100% de procédures conformes, suivi des régions Analamanga (66,42%), Boeny (44,44%) et Atsinanana (20,69%). Les plus faibles résultats sont pour l’Alaotra Mangoro (1,56%) et la Sofia (0%). Concernant le contrôle a priori, la CNM a contrôlé 119 entités totalisant 2.594 dossiers tous types confondus...  «Nous constatons chaque année une augmentation de 100% des marchés contrôlés depuis notre existence», a-t-elle souligné (Rindra Rabarinirinarison, présidente du CNM, Commission Nationale des Marchés)...

Mikama - June 9, 2017

Sera R. dans NewsMada
Cinq dollars. C’est le coût  journalier  du traitement d’un enfant de moins de cinq ans atteint de malnutrition chronique jusqu’à son rétablissement. En fait, il est difficile de prévoir à l’avance le nombre de jours ou de mois nécessaires pour le traitement, car cela dépend de l’état de chaque enfant. A titre d’information, 47% des enfants moins de 5 ans sont atteints de ce retard de croissance. Et Madagascar  lutte contre ce fléau dans le cadre du Plan national d’action pour la nutrition (Pnan) III.

Antsa R dans Midi Madagasikara
 Ce PADAP (Projet Agriculture Durable par une Approche Paysage) dispose d’un projet de 100 millions d’Euros, cofinancé par l’AFD à hauteur de 25 millions d’Euros, la Banque Mondiale avec un prêt souverain de 65 millions USD, le Fonds de l’Environnement Mondial avec un don de 13 millions USD et l’Etat Malagasy. « Ce projet bénéficie à 45 communes réparties dans 4 régions. Les cibles sont les agriculteurs, les fermiers, les organisations communautaires locales comme les associations des usagers, etc. L’objectif est d’améliorer la gestion des ressources naturelles et de promouvoir les activités génératrices de revenus », a indiqué le ministre Gervais Rakotoarimanana, dans son intervention. En ce qui concerne le PIAA  (Programme Intégré d’Assainissement d’Antananarivo), ce programme qui bénéficie de 2,815 millions d’Euros émanant de l’Union Européenne et géré par l’AFD est intimement lié à la convention de 25 millions d’Euros...

Miangaly Ralitera  dans L'Express de Madagascar
...  au centre Vonjy de la maternité de Befelatanana, les chiffres du premier semestre de l’année 2016 ont révélé que 8 % des viols enregistrés sont commis par des pères biologiques. (..) Sept cent soixante réseaux de protection de l’enfant sont implantés un peu partout dans le pays, pour signaler ces violences envers les enfants.

Johan R. dans La Gazette de la Grande Ile
Au cours du mois de juillet de l’année passée, la loi anti-corruption a été votée en bonne et due forme. Celle-ci impose à non moins de huit mille personnes de faire une déclaration de patrimoine. Plus précisément, il s’agit des fonctions telles que les membres du gouvernement, les parlementaires, les préfets, les chefs de région, les maires, les magistrats, les inspecteurs ou encore les officiers de la police judiciaire. Selon le bureau indépendant anti-corruption qui est en charge, entre autres, de la réception de ces dossiers, seulement 70 % des personnes concernées ont honoré cet engagement.

Bill dans Madagascar Tribune
Les responsables du tourisme notent une hausse constante de 20% des arrivées de touristes depuis 2015 et des recettes toujours en hausse. Si le tourisme a apporté 500 millions de dollars en 2015 selon le ministre Roland Ratsiraka, en 2016 les recettes du secteur sont de 750 millions de dollars.

Mikama - September 5, 2013

Christian News Wire
Full Report on CRS-Madagascar Released Today
Population Research Institute (PRI) today released its full report on the activities of Catholic Relief Services (CRS) in Madagascar. The 118-page report is based on a month-long investigation by a PRI investigator and includes lengthy interviews with over 40 interviewees. The report also includes recommendations for action from PRI's president, Mr. Steven W. Mosher.
"What constitutes Catholic charity?" continued Mosher. "Does it consist of simply administering huge grants from USAID and other government agencies, with all the compromises of faith and action that such an approach entails? Or does it require, as the Pope Emeritus' recent Motu Proprio demands, that all good works be accomplished in concert with the preaching of the Gospel and the administrations of the Sacraments? Quo vadis, Caritas?"
Note: Veuillez trouver ci-apres The PRI report et encore plus de media coverage
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Hade'nah dans La Nation
Fermeture des zones franches. L’artisanat comme succédané.
La fermeture de la plupart des zones franches durant la crise a favorisé la recrudescence de travailleurs manuels, notamment les artisans.