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Mikama - May 9, 2018

Antsa R. dans Midi Madagasikara
 Les indicateurs de résultats sont prometteurs pour le système de contrats de performances introduit au niveau des services des Douanes au Port de Toamasina. (..) Les délais de dédouanement des importations ont également baissé considérablement. Tout en ayant permis de limiter le nombre d’inspections physiques, la réforme a aussi eu des effets positifs sur la détection des fraudes et des sous-facturations, générant 12 milliards d’ariary de recettes supplémentaires (3 millions de dollars) en amendes douanières, entre 2015 et 2017, dont huit milliards (2 millions de dollars) entre 2016 et 2017. (..)  En deux ans, entre 2015 et 2017, les recettes douanières collectées au port de Toamasina ont ainsi augmenté considérablement, avec un gain de plus de 400 milliards d’ariary (environ 100 millions de dollars).

Riana R.  dans NewsMada
D’après les chiffres administrés par le Centre régional de l’artisanat malgache (Cenam), sur les 250 artisans formels recensés dans la Grande île, seuls 13% s’adonnent à l’exportation. Et malgré les potentialités de la Grande île dans ce secteur porteur, l’artisanat malgache fait encore face à plusieurs blocages.  85% des artisans répartis sur tout le territoire national travaillent encore dans l’irrégularité. Ce secteur concerne pourtant près de 2 millions de la population malgache et fournit ainsi des emplois directs à plus de 10% de la population, selon les données du Syndicat professionnel des artisans malgaches.

R. R. dans NewsMada
Les potentialités  économiques de la région reposent essentiellement sur l’élevage  (bovins et avicoles). On y recense près de 81 500 éleveurs. Il ressort aussi qu’une grande partie des éleveurs débutent avec l’élevage des poulets, avant de basculer dans celui d’ovin et caprin qui seront par la suite vendus pour acquérir des zébus. Généralement contemplatifs, peu d’élevages ont un but commercial. A Bekily par exemple, seuls 20% des éleveurs avicoles et 15% des éleveurs ovins ont une visée marchande.

Mikama - Feb 12, 2018

Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
L’artisanat à Madagascar contribue à environ 15% du PIB (2008) et regroupe plus de 2.000.000 artisans dont une grande partie se compose de femmes et de jeunes filles. Chacune des 22 régions de Madagascar a sa spécificité en termes de matières, de produits, de savoir-faire et de technicité. Les entreprises artisanales sont petites et informelles, souvent familiales. Le savoir-faire s’acquiert par l’auto-apprentissage. (..) en 2014, ses exportations ont dépassé les 12,4 millions d’euros alors qu’elles étaient à 16,7 millions d’euros en 2013. Et en 2012, les exportations se sont estimées à 9,3% d’euros. (..)  Il faut tout de même noter qu’un peu plus de 4% (ou 476 000 euros) des exportations de produits artisanaux de Madagascar vont vers les îles de l’Océan Indien, si l’on se réfère à l’année 2015.

Riana R. dans NewsMada
Une cinquantaine d’investisseurs potentiels sont entrés en contact avec des opérateurs malgaches en 2017. Ces investisseurs viennent essentiellement de l’Asie, notamment de l’Inde, la Chine et le Japon. Mais aussi des pays africains et européens. Par ailleurs, leurs projets sont à différents stades et touchent plusieurs sous-secteurs, entre autres le call center, la Business Process Outsourcing (BPO), le Mobile Virtual Network Operator (MVNO), l’installation des pylônes, le textile, le manufacturing… De plus, parmi les 15 sociétés qui ont reçu leur agrément en Entreprises franches en 2017, 80% évoluent dans l’industrie légère. «Ces 15 sociétés œuvrent dans la fabrication de mobiliers, de voitures en miniature, dans le call-center et le traitement des données informatiques. Mais une grande partie œuvre dans le secteur du textile et l’habillement

Mikama - May 11, 2017

Arh.  dans NewsMada
Raphia, bois, cornes, cuirs … Les ressources artisanales de qualité se font de plus en plus rares sur le marché local. «L’exportation à l’état brut de ces ressources vers les pays étrangers constitue la principale cause de cette situation»... Ayant cette habitude de «cueillette» pour se procurer les matières premières, les artisans malgaches n’ont plus accès qu’à des produits de mauvaise qualité car ceux de bonne qualité sont destinés à l’exportation. La recommandation d’embargo de toutes les espèces de Madagascar inscrites dans les annexes I, II et III de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et flore sauvages menacées d’extinction (Cites) y est également pour quelque chose. (..) Le secteur de l’artisanat représente entre 10 et 15 % du Produit intérieur brut (PIB) du pays. Pourtant, les artisans malgaches se plaignent de la morosité de leur commerce face à la rude concurrence, notamment avec les produits chinois vendus à des prix nettement moins chers

Arh.  dans NewsMada
Vanille, café, girofle, grains secs… Nombre de ces filières ont du mal à rester compétitives sur le marché international. Les problèmes sociaux et environnementaux sont souvent cités comme sources de problèmes. (..) En citant quelques cas, cet opérateur laisse entrevoir les risques auxquelles s’exposent certaines filières jugées porteuses pour l’économie malgache. En plus de décourager les producteurs, les vols de vanille verte sur pied font baisser la qualité de la vanille malgache. La flambée du prix du pois de cap, faute de production suffisante, pousse certains consommateurs de l’océan Indien à changer leur habitude alimentaire. Une situation que cet exportateur qualifie de «danger» pour l’exportation malgache. A Miandrivazo, plusieurs producteurs de haricot, souvent victimes de bilharziose, sont contraints de dépenser leurs revenus pour se soigner. Du coup, ils n’ont plus les moyens de se procurer des semences ou encore payer le coût de la main-d’œuvre. Et comme certains n’ont plus le moyen de s’acheter des pesticides appropriés, nombreux de terrains se trouvent infestés par les insectes, diminuant en conséquence la qualité des produits.

Julie Razakarinaivo dans L'Express de Madagascar
Dans la capitale, seuls 24 % des ménages disposent d’un accès privatif à l’eau potable, les 76 % restants ont accès à des fontaines publiques. Faute d’eau potable à Madagascar, un appareil de purification d’eau vient d’être lancé, hier, à la commune rurale de Masindray. Une démonstration sur l’utilisation du purificateur s’ensuit grâce au partenariat de l’Association d’Aide Humanitaire (2AH) avec Sunwaterlife. e projet s’est fixé comme objectif d’apporter de l’eau potable dans les villages. Trois régions dont SAVA, Atsimo Andrefana et Atsinanana, ont été choisies pour le premier essai. Ces produits traitent et purifient de l’eau douce polluée, quelle que soit sa source (puits, mares, rivières, lacs).

Mikama - September 5, 2013

Christian News Wire
Full Report on CRS-Madagascar Released Today
Population Research Institute (PRI) today released its full report on the activities of Catholic Relief Services (CRS) in Madagascar. The 118-page report is based on a month-long investigation by a PRI investigator and includes lengthy interviews with over 40 interviewees. The report also includes recommendations for action from PRI's president, Mr. Steven W. Mosher.
"What constitutes Catholic charity?" continued Mosher. "Does it consist of simply administering huge grants from USAID and other government agencies, with all the compromises of faith and action that such an approach entails? Or does it require, as the Pope Emeritus' recent Motu Proprio demands, that all good works be accomplished in concert with the preaching of the Gospel and the administrations of the Sacraments? Quo vadis, Caritas?"
Note: Veuillez trouver ci-apres The PRI report et encore plus de media coverage
    Labels: Religion

Hade'nah dans La Nation
Fermeture des zones franches. L’artisanat comme succédané.
La fermeture de la plupart des zones franches durant la crise a favorisé la recrudescence de travailleurs manuels, notamment les artisans.