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Mikama - Aug 29, 2018

Dans Organized Crime and Corruption Reporting Project
Madagascar — sometimes known as the “world’s eighth continent” — is a naturalist’s paradise. More than 80 percent of the flora and fauna on the island can be found nowhere else on earth. (..) Said Gilbert, a former rosewood logger, says he earned between $2 and $3 cutting down two trees a day. Gilbert is just trying to get by. But while locals like him subsist on rice and bushmeat, the 300-year-old trees they fell generate thousands of dollars in profits for businessmen at home and abroad. Most loggers never meet the financiers, traders, and buyers who deal in the timber, which is so sought-after that it sells for $20,000 to $25,000 per ton. Nor are they likely to ever see the finished product — mostly high-end furniture for China’s growing elite. Logging rosewood in Madagascar is a big business. According to estimates from 2013, between $250 and $300 million in exotic timber, mostly rosewood, was illegally exported from the island that year... Between 2009 and 2010, more than 1,500 containers of wood, worth over $150 million, were authorized for export in contravention of international regulations.

Dans CGTN
Despite being an island, one of the biggest problems facing Madagascar is water shortage. About half the island’s approximately 25 million people struggle to find clean water for basic use. Now however, a massive project is underway to change that narrative.  The Chinese funded initiative seeks to drill about 200 boreholes – mainly in the southwest region – to ensure locals can access clean water. When complete, the project will enable more than 300,000 people to accesss clean water for their daily chores.

Mikama - Jul 24, 2018

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Près de 400 000 étudiants intègrent annuellement le marché du travail. Mais l’offre ne permet de recevoir que 35 000 jeunes. Et encore, à peu près 3.000 d’entre eux ont pu décrocher un travail à l’issue d’un entretien. L’exigence d’une expérience pendant deux à cinq ans par les entreprises constitue également une autre contrainte, ne leur permettant pas de trouver facilement de l’emploi.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Le programme Eaurizon, mis en œuvre par la région Haute Matsiatra et la Métropole de Lyon en France, résoudra le problème d’adduction en eau potable de la ville de Fianarantsoa. Quelques 725 millions d’ariary ont été engagés, dont 81% par ces deux régions partenaires, 14% par la Jirama et 6% par la commune urbaine de Fianarantsoa (..) Ce Programme Eaurizon en cours a commencé en 2016 et s’étale jusqu’en 2020. Il comprend des actions dans seize communes d’intervention, qui sont formées à la maîtrise d’ouvrage et des projets d’accès à l’eau potable pour près de quarante mille habitants. Sept cent quatre vingt dix points d’eau ont été réalisés. Cinquante bassins versants ont été aménagés pour la préservation des ressources

Dans Earth Touch News
For ring-tailed lemurs, scent is an important means of communication. The island primates are equipped with genital scent glands that produce a musky substance – perfect for smearing on branches and twigs if you’re a lemur wanting to send olfactory messages to your fellow primates. The pungent paste is made up of 200 to 300 chemicals that carry important messages like “I was here” or “let’s start a family”. Each lemur’s distinctive musk also reveals clues about its health. (..) In lemur land, social status is ranked by the quantity and quality of these smelly secretions. In addition to slathering their scent on trees and branches, males will also "re-mark" over the secretions of their rivals in an attempt to out-stink the competition. Males that leave behind a weak odour are more likely to have their scent smeared out by rivals, indicating that the over-marking males are able to detect a weaker competitor. “These animals constantly monitor the physical condition of their competitors and respond quickly to any opportunity to climb the social ladder,” says Rachel Harris, who conducted the research as a postdoctoral associate in evolutionary anthropology at Duke.

Mikama - May 30, 2018

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
L’objectif consiste à mettre en pratique une méthodologie mondialement reconnue afin de suivre les flux financiers de ce secteur au niveau national. Pour le cas de Madagascar, « un besoin de financement de l’ordre de 195 millions USD par an a été identifié pour développer le secteur EAH suite à la présentation des rapports sur les données financières entre 2013 et 2015 » (..) Cependant, le budget national consacré à ce secteur reste encore très faible, soit à peu près 24 millions USD en 2016, d’après les résultats du GLAAS (Global Analysis and Assessment of Sanitation and Drinking Water) publiés l’an dernier. En outre, 38% seulement des besoins en investissement pour ce secteur ont été financés. Le niveau de participation des usagers et des communautés dans la planification des programmes WASH est également faible.

Arh. dans NewsMada
Le coup d’envoi pour l’extension des interventions du Programme de lutte anti érosive, aujourd’hui à sa quatrième phase (PLAE IV), a été donné. Le PLAE IV vise à contribuer, de façon durable, à l’approvisionnement des ménages urbains et ruraux en bois énergie/charbon de bois, à la protection des sites agricoles contre l’érosion, à l’augmentation des revenus des groupes cibles et à la réduction des pressions sur les forêts naturelles.</p>
<p style="text-align: justify;">Pour la région Sofia, la mise en place de 2.000 hectares de reboisement et de dispositifs de lutte contre l’érosion est prévue sur une superficie de 450 hectares, avec l’implication de nombreux reboiseurs et paysans.

Arh. dans NewsMada
A Madagascar, le poisson issu de la pêche continentale est une denrée de moins en moins disponible du fait de la croissance démographique et de la forte diminution des captures qui variaient de 130.000 t en 2010 et 95.000 t en 2014, selon la FAO. Aussi, la consommation annuelle est faible (4,6 kg/habitant en 2014), toujours selon la FAO et le prix du poisson est élevé (entre 10.000 et 15.000 Ar/kg actuellement).

Riana R. dans NewsMada
La région d’Alaotra Mangoro s’est doté d’un Fonds de développement agricole régional (FDAR), qui a été inauguré les 24 et 25 mai. Il s’agit du 15e FDAR mis en place au niveau national. Le projet est financé à hauteur de 7 millions d’euros, par l’Agence française de développement (AFD), à travers le Projet d’amélioration de la productivité agricole à Madagascar (Papam). (..) Le Fonds de développement agricole s’étend aujourd’hui sur 15 régions de Madagascar, avec l’objectif de couvrir toutes les régions d’ici 2020. Il prévoit également de permettre à 30% des producteurs répartis au niveau national d’avoir accès aux services agricoles. Créée sous le statut d’Etablissement public administratif en 2012, la Direction générale du FDA a été mise en place en 2016. Mais entre 2009 et 2015, les  FDA régionaux pilotes ont reçu 35.000 demandes. Et plus de 75 % ont pu être satisfaites pour un montant d’environ 35 milliards ariary avec plus de 550.000 bénéficiaires.

Mikama - May 16, 2018

Dans Digital Journal
The event, related to the UN-sponsored World Water Day, held on the 22nd March annually, is part of USAID’s $30 million, RANO WASH project announced February 23, 2018. From the USAID website: "RANO WASH will increase access to clean water for vulnerable populations, including girls, women and people with disabilities. In total, over 600,000 people will benefit from the project. This includes 300,000 people who will get access to clean drinking water through 140 water supply systems. These systems will be managed by local businesses with training from the project. A further 375,000 people will have better sanitation options thanks to improvements and rehabilitation work to existing toilets and cleaning stations. 190 public facilities, including health centers and schools, are among the locations destined to receive improved sanitation facilities." (..) According to WaterAid: “11.7 million people in Madagascar don’t have access to safe water, 88% of the population of Madagascar don’t have access to improved sanitation, almost 4,000 children under five die every year from diarrheal diseases caused by unsafe water and poor sanitation.” USAID backs up these claims by stating: “more than 58 percent Madagascar's people lack access to safe drinking water and nearly half of all households live without sanitation facilities.”

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Si la production rizicole dans la région Alaotra Mangoro connaît cette année une augmentation de 10 à 15%, notamment en raison d'une bonne précipitation de la suite du passage de deux cyclones au début d'année. La région rizicole d'Ankililoaka, à la fois, productrice de coton, en revanche, connaît actuellement des difficultés d'irrigation... que trois grands projets se déroulent actuellement dans la région Sud-ouest. «Le projet Bas Mangoky phase 1 et phase 2 par la mise en effectivité du barrage de Bevoay et qui permet l'irrigation de quelques 5800 ha. Un autre à Taheza dans le district de Betioky sur la RNA 17 et un autre, dénommé PRIASO, réalisé à Manombo et Ankililoaka sont également en cours», détaille-t-il. Le Projet de réhabilitation des infrastructures agricoles de la région Sud-ouest (PRIASO) concerne le périmètre de Manombo Ranozaza et Ankililoaka. Il s'agit de mettre en valeur quelques 13 400ha, de construire 74 km de canaux, la réhabilitation de 40km de digue de protection et la réalisation de douze forages d'eau. La réhabilitation de la prise de Bevoay à Morombe vise une production de 60 000 tonnes par an et un rendement 6 tonnes à l'hectare dans l'ensemble du nord de la région Sud-ouest.

Mikama - Apr 26, 2018

Farah Raharijaona dans L'Express de Madagascar
La commune rurale d'Anosy Avaratra a accueilli, hier, le lancement d'un nouveau projet d'accès à l'eau, l'assainissement et l'hygiène. Il s'agit de Water and development alliance (WADA), le fruit d’une collaboration entre l'Usaid et la fondation Coca Cola qui confie l'exécution à Water &amp; sanitation for the urban poor (WSUP) dans les villes d'Antana­narivo, de Mahajanga et de Toliara. WADA, estimé à 5,3 mil­lions USD, ciblera plus de quatre cent cinquante mille person­nes pour que les résultats répondent à l'objectif d'accès universel et de la lutte contre la défécation à l'air libre. En dix ans, l'association de la fondation avec WSUP et Jirama a permis à dix-huit communes de jouir de l’accès à l'eau potable

Arh. dans NewsMada
Madagascar exporte près de 1200 tonnes d’huiles essentielles par an, selon les chiffres officiels. L’huile essentielle de girofle constitue 70% de la valeur des exportations en la matière pour Madagascar. Selon les dernières statistiques en date, la part d’exportation de 0,91 %, en 2008, sur la totalité des produits exportés de Madagascar, est arrivée à 2,91 % en 2011 (Instat). Malgré cette nouvelle donne, la Grande île n’arrive à satisfaire que seulement 1 % de la demande internationale. (..) La France, où Madagascar exporte près de 60% de ses huiles, se classe au 3e rang dans l’exportation de ce produit, derrière les Etats-Unis et l’Inde.

Sera R. dans NewsMada 
Un panneau solaire se vend actuellement entre 1.500 et 5.000 ariary, s’il y a trois ans de cela, un panneau de 20 watts ne s’obtient qu’à partir 500.000 ariary. Une chute de prix avoisinant un taux de 150%. (..) Le pack proposé comprend un panneau solaire de 100 W, une batterie de 65 ampères, un régulateur de 10 ampères, ainsi qu’un convertisseur de 500 W. (..) A noter que selon les dernières statistiques de la Banque mondiale, le taux d&rsquo;électrification à Madagascar est de l&rsquo;ordre de 25%, et seuls 7% de la population rurale en bénéficient.

Mikama - Apr 4, 2018

Sylvia R. dans La Gazette de la Grande Ile
Selon la réalité, les récoltes ainsi que les surfaces exploitées par les cultivateurs sont encore faibles, de l’ordre de 78% sur les 1,2 millions d’hectares occupés par 2 millions de ménages, et dont les récoltes sont en général destinées à l’autoconsommation. Sur ces 1,2 millions d’hectares, seuls 100 000ha bénéficient d’une irrigation normalisée et peuvent produire 6 tonnes à l’hectare. Les autres produisent 1,5 à 3 tonnes par hectare selon les données de la douane...

Arh. dans NewsMada
Madagascar occupe le 175e rang sur 180 pays au monde et se trouve à la 44e place sur 46 pays de la région Afrique subsaharienne dans le classement «Environnemental performance index 2018», publié vers la fin du mois dernier. (..) Selon ce rapport développé par l’Université de Yale et le Centre d’information sur les sciences de la Terre du Columbia, en collaboration avec le Forum économique mondial, la Grande île a obtenu une note de 33,73 sur 100 contre 37,1 en 2016. A titre d’information, l’indice de performance environnementale (IPE) note les pays de 0 à 100 (0 = pire, 100 = meilleure) et fournit, tous les deux ans, des indicateurs sur leur évolution pour se rapprocher des objectifs établis en matière de politique environnementale. Sur la plus haute marche du podium, la Suisse enregistre un score de 87,42.

Harilalaina Rakotobe dans L'Express de Madagascar
L’indus­trie malgache peine encore à s’imposer sur le plan continental malgré le fait que l’Union Africaine envisage la libéralisation des échanges commerciaux pour tous ses pays membres suivant les grandes lignes du projet de zone de libre-échange continentale ou ZLEC. (..)  Le but étant de créer un marché commun de 1,2 milliard d’habitants, dont le PIB cumulé avoisinerait 2 500 milliards de dollars d’ici l’année 2063. (..) Déjà, rien que sur le marché national, ces derniers ont du mal à se faire une place au soleil face au secteur informel, aux produits d’importation à moindre coût de fabrication ou encore à un environnement bancaire peu propice. « Rien que le taux de crédit bancaire atteignant près de 20%, peut facilement décourager les opérateurs dans la Grande île. En comparaison, ce taux à Maurice est de 6 %, en Europe, il gravite autour du 1 %. Sans parler de l’administration ou encore les infrastructures qui sont loin de nous faciliter la tâche », déplore Erick Rajaonary, président du Fivmpama.

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
Un taux d’accès à l’eau potable de 67%. Tel sera le défi lancé par le ministère en charge de l’Eau, de l’Energie et des Hydrocarbures pour l’année 2019 si ce taux s’élève actuellement à 24% au niveau national. (..) D’ici à 2030, la totalité de la population devrait avoir accès à l’eau potable selon l’ODD 6. Un investissement de 2,8 milliards d’Euros est indispensable pour y parvenir.

Mikama - Feb 26, 2018

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
C’est un projet de cinq ans en faveur de l’amélioration de l’accès à l’Eau, à l’Assainissement et à l’Hygiène à Madagascar, à mettre en œuvre dans la partie Est et sur les Hautes terres. Ce projet, baptisé RANO WASH (« Rural Access to New Opportunities in Water, Sanitation and Hygiene », signifiant « accès des zones Rurales à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène »), est un projet de l’Agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID), dont la mise en œuvre nécessitera un financement de 30 million de dollars. (..) Plus de 600.000 personnes au total, profiteront du projet, dont 300.000 auront accès à l’eau potable à travers 140 réseaux de distribution, gérés par des entreprises locales formées par le projet. 375.000 autres personnes pourront bénéficier d’un meilleur assainissement grâce aux travaux d’amélioration et de réhabilitation des blocs sanitaires. 190 structures publiques, dont des centres de santé et des écoles, figurent parmi celles qui recevront ces installations sanitaires améliorées.

Dans the Guardian
Toxic toad invasion puts ecology of Madagascar at risk. The Asian amphibians arrived just 10 years ago. Now in their millions, they threaten the island’s unique wildlife... They breed prodigiously. One female toad spawns an estimated 10,000 to 40,000 eggs – by comparison some indigenous frogs lay no more than 10. There are now said to be between 7 million and 21 million toads in Toamasina and their number and range grows every year. (..) With every day that passes, the cost rises. Calculations by the James Reardon, an eradication expert with New Zealand’s Department of Conservation, who co-authored a study on the subject, show the invasion could have been eradicated for $5,000 (£3,600) if the toads had been detected at the border a decade ago. Even a year or two later, they could have been destroyed for $500,000. Today, elimination is considered impossible and it would cost several million dollars even to control the spread.

Dans Relief Web
Fall Army Worm (FAW): FAW was first reported in Madagascar at the beginning of November 2017 in five municipalities of two districts (Tulear II and Morombe) in south-western regions. The crops at risks are maize, black eye peas, groundnuts. Under the leadership of the Ministry of Agriculture, a Task Force assigned to the fight against FAW proliferation was established in January 2018. To date, the presence of FAW is reported in 14 out of the 22 Regions of Madagascar. Most of them are major food crop producing areas. About 250,000 hectares of maize fields are at risk in the affected regions.

Mikama - Jan 17, 2018

Dans Cape times
According to the World Bank, incomes average $0.83 a day here, meaning people sometimes spend more than a third of this on water. The Indian Ocean has some of the saltiest waters in the world, especially in Madagascar’s zone - the belt between southern Africa and south-western Australia. And scientists say global warming is boosting salinity due to increased evaporation and reduced rainfall, especially in Africa.(..) To alleviate the current water shortages, Unicef and its partners are supporting the construction and rehabilitation of water and sanitation infrastructure in schools and communities. At schools Unicef provides filters and handwashing devices. In rural areas water points are being built to pump water powered by solar or gravity-led systems. One of these is the Mandrare pipeline, a $2million project set to benefit more than 46000 people in communities around the town of Amboasary. It is expected to be completed by the end of the year. . Madagascar ranks fourth worst in the world in sanitation, with only 12% of its people using an improved sanitation facility. And the country ranks sixth worst in the world in the use of safe water, with only half the national population of about 25 million having access to clean water. (..) The country’s human development index of 0.512 in 2016 ranked it 158 out of 181 countries surveyed by the UN Development Programme. And it had been for the past 20 years. Those statistics become more alarming when the focus shifts to children. Unicef says 47% of the country’s children are stunted - meaning they have suffered irreparable physical growth, and potentially mental development shortfalls - with the consequent impact reflected in the economy. A recent joint Unicef/National Office of Nutrition study found that reduced productivity attributable to chronic malnutrition costs Madagascar $740m annually. “It’s a slow, step-by-step slide into poverty,” says Jean-Benoit Manhes, the Unicef deputy representative in Madagascar.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Pour cette année 2018, la loi de finances initiale prévoit une modification du seuil d’assujettissement à l’IR (Impôt sur le revenu) à 100 millions Ariary, contre 20 millions Ariary auparavant. En outre, la déductibilité est également permise pour les dépenses liées à toute forme de couverture socio-sanitaire payées par l’employeur au profit de tous ses salariés, dans la limite de 5% de la masse salariale. (..)  Même pour les activités sous le régime de l’impôt synthétique (IS), des incitations sont également prévues. Le plafond d’assujettissement à ce régime est désormais à 100 millions d’Ariary de chiffre d’affaires. De même pour l’abattement accordé aux adhérents des centres de gestion agréés soumis à l’IS, qui a un nouveau plafond de 2 millions d’Ariary.  Pour les achats de biens et d’équipements faisant l’objet de factures réglementaires, une réduction d’impôt de 2% est appliquée pour cette année. Bref, la liste est longue. Selon l’Administration fiscale, l’objectif de ces mesures d’incitation est de mobiliser l’économie en favorisant les investissements et la création de nouvelles activités productives.

Mikama - Dec 4, 2017

Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Dans l’optique d’atteindre l’objectif de 67% d’accès à l’eau potable en 2019, la Jirama prévoit d’investir 700 milliards d’Ariary dans le secteur et ce sur les trois prochaines années. L’enveloppe sera répartie sur trois chantiers. Soit 200 milliards pour des travaux de réhabilitation à Antananarivo, 200 milliards également pour des réhabilitations dans les communes et localités déjà desservis par la Jirama actuellement. Les 300 milliards restant devront financer de nouveaux projets d’extension ... actuellement, le taux d’accès à l’eau potable à Madagascar n’est que de 24%. Soit une hausse de 43% d’accès à atteindre d’ici 2019 pour atteindre l’objectif fixé.

Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Cette année, il y aurait eu au moins une dizaine de décès répertoriés. C’est un chiffre provisoire qui pourrait bien augmenter jusqu’à ce que les données soient complètes à la fin de l’année. En 2016, le Secrétariat-exécutif du comité national de lutte contre le Sida (SE-CNLS) a fait état d’une cinquantaine de décès. Par ailleurs, il n’y aurait que mille huit cent quinze sur les deux mille cinq cent quatre-vingt sept malades dépistés qui suivent des traitements. (..) Le centre hospitalier universitaire Joseph Raseta Befelatanana (CHU JRB) a, par exemple, rapporté en août 2017, que 60% des porteurs du virus, pris en charge dans son service, n’ont été détectés que lors de leur hospitalisation, c’est-à-dire, lorsque leur état de santé s’est aggravé. (..) Le Fonds mondial, le principal bailleur, va baisser le financement alloué à cette lutte pour les 3 ans à venir. Il a octroyé 15 millions de dollars pour juillet 2016 à décembre 2017 et 12 millions de dollars pour janvier 2018 à décembre 2020...

Riana R. dans NewsMada
La production de riz à Ambatondrazaka s’élève à 260 000 tonnes cette année. Soit une baisse de plus de 50% par rapport à 2016 où la production a atteint plus de 500 000 tonnes. La mauvaise condition climatique en est la principale cause... L’Alaotra n’a plus de stock de riz actuellement et est contrainte d’en importer pour ravitailler les 1 500 000 habitants de la région. Il faut savoir également qu’une grande partie de la production dans la région est destinée à Toamasina et Antananarivo, c'est-à-dire, aux alentours de 200 000 tonne. (..) Mais à part la mauvaise condition climatique, la vétusté des infrastructures hydro-agricoles pose également problème dans  cette région. Le manque d’entretien du barrage de dérivation de Manamotana qui irrigue une grande partie des rizières à Ambatondrazaka, a beaucoup d’impact sur la culture du riz dans ce district. Cela en raison de la désorganisation des Associations des usagers de l’eau dans le district. Par ailleurs, force est de constater que la rivière de Sahavary qui alimente ce barrage, est de plus en plus ensablée à cause des pratiques des feu de brousse dans cette partie de l’île.

Mikama - Nov 10, 2017

Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Le Service de la Lutte contre la Fraude au niveau de la Direction Générale des Douanes a procédé à la signature du contrat de performance hier à l’Hôtel Colbert. Impliquant les trente quatre agents qui composent le service ... Ce concept a été initié au bureau des douanes de Toamasina en septembre 2016, pour les inspecteurs, dont la plupart ont renouvelé leur signature au mois de mai 2017. Les résultats ont été probants, avec un délai de dédouanement réduit à plus de 50% ; des amendes récoltées à hauteur de 300%, et surtout, à deux mois de la fin de l’année, un surplus de 53 milliards d’Ariary pour les recettes non pétrolières.

L.R. dans L'Express de Madagascar 
Vingt quatre groupes électropompes de trente sept kilowatts chacun peut aspirer de l’eau de débit de 100 m3 par heure, et les six autres motopompes de 7,5 kilowatts peuvent, chacun, aspirer de l’eau de débit de 40 m3 par heure. Cette donation permet ainsi d’apporter une solution d’urgence aux problèmes d’adduction d’eau potable rencontrés par la population. Actuellement, le taux d’accès à l’eau potable est encore très faible. D’après les explications du directeur général de l’Eau, Nirina Andriavelojaona, « 25% de la population seulement ont accès à l’eau potable ».

Navalona R. dans Midi-Madagasikara
Une puissance électrique de 60 Mégawatts. Telle est la production d’énergie fournie par la nouvelle centrale thermique fonctionnant à fuel lourd construite par AKSAF POWER à Ambohimanambola. C’est une production additionnelle permettant à la JIRAMA d’alimenter le Réseau Interconnecté d’Antananarivo. « Il s’agit d’un plus grand investissement turc à Madagascar. En effet, on a alloué plus de 80 millions USD pour la mise en place de cette nouvelle centrale thermique contenant onze groupes électrogènes... Sa production représente près de 24% de l’énergie consommée à Madagascar (..) Notons que cette centrale thermique fonctionne à fuel lourd qui sera fourni par la JIRAMA via la société Jovenna. (..) On a entre autres, répertorié plus de 2 000 sites hydrauliques servant à produire de l’électricité avec un potentiel de 7 800 Mégawatts alors que seuls 200 Mégawatts ont été pour l’heure exploités »

Mikama - Sep 18, 2017

Luis K. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
.. campagne de lutte contre la traite des personnes, dans la région DIANA. Cette initiative s'inscrit dans le cadres de la politique gouvernementale Malagasy, suite à sa ratification de la convention des Nations unies et de son adhésion à l’OIM, l'Organisation internationale de la Migration, L’OIM, créée en 1951, opère à Madagascar depuis 2004. Madagascar quant à lui, après avoir ratifié la convention en 2005, a renforcé en 2015 son arsenal juridique en matière de lutte contre la traite des personnes. Ainsi, le gouvernement de Madagascar a promulgué le 20 Janvier 2015, la loi N°2014-040, relative à la traite des êtres humains. Cette loi autonome et inclusive regroupe toutes les dispositions relatives à la traite. La loi 2014-040 prévoit entre autre des peines allant de 6 mois à 10 ans d’emprisonnement pour les auteurs et complices de la traite d’êtres humains, ainsi que des amendes allant de 500000 d’Ariary à 20 millions d’Ariary. (..) A Madagascar, la traite concerne l’exploitation pour le travail domestique, l'exploitation sexuelle ou encore la servitude pour dette civil. Les auteurs de traites de personne quant à eux ont différents profils, allant de l’individu isolé, mais avec un réseau de distribution, à une bande bien organisée et structurée. Parfois, les auteurs sont des membres de la famille, des connaissances, des propriétaires d’établissements, voire des politiciens et des hauts fonctionnaires corrompus qu'il est difficile de mettre en cause.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
20 techniciens malgaches ayant suivi un stage sur le Seikatsu Kaizen au Japon mettent en œuvre leurs plans d’action, pour la promotion de cette approche japonaise à Madagascar. Bien connue par les paysans dans les zones d’intervention de la JICA (Agence japonaise de coopération internationale), l’approche Seikatsu Kaizen a déjà apporté de grands changements dans  l’amélioration de la vie des bénéficiaires, d’après les témoignages. D’après ses promoteurs, cette approche vise le changement de comportement et de mentalité d’une personne, pour qu’elle devienne créative dans la recherche de solutions à tout problème identifié dans sa vie quotidienne et sociale. (..)  Des dizaines de milliers de ménages pratiquent déjà l’approche Seikatsu Kaizen dans les 4 régions d’interventions.  Certes, cela a éveillé la créativité des paysans qui ont trouvé divers innovations. Parmi les plus impressionnantes, on peut citer le fameux rice-cooker fonctionnant à l’énergie solaire, et bricolé, rien qu’avec du carton et des emballages de biscuits. Le charbon bozaka, le foyer amélioré Kamado, etc. sont également bien connus par les paysans dans les zones d’intervention.

José Belalahy dans Midi Madagasikara
Effectuée le 11 septembre dernier la signature de l’accord consiste en un appui technique de la part de l’Union Européenne à l’UNICEF. L’UE va prodiguer son expertise et ses moyens d’investigation en matière d’exploitation d’imagerie satellitaire. Ce qui devrait se faire par l’intermédiaire de son centre Commun de Recherche (Joint Research Center-JRC) afin d’améliorer la méthodologie de recherche des ressources en eau en complément aux études hydrogéologiques et géophysiques conventionnelles déjà menées sur le terrain. La part de l’Unicef quant à elle consiste en la gestion globale du programme d’étude.

Arh. dans NewsMada
Durant trois ans, de 2015 et 2017, les communautés de Melaky, dans le paysage de Manambolo Tsiribihina, ont restauré au total 140 hectares de mangroves dégradées. Ces hommes et ces femmes ont planté plus de 760.000 propagules, des petites pousses de mangroves, dans les forêts qu’ils gèrent au niveau local. Nous avons choisi de replanter des palétuviers jaunes (Ceriops tagal) et rouges (Rhizophora mucronata) avec les communautés...

Dans La Gazette de la Grande Ile
... le Groupe de la Banque africaine de développement a entrepris, dans le pays, d’importants travaux de réhabilitation sur plus de 600 km de canaux. Il a fourni des équipements et un réseau de drainage en vue de construire un nouveau système d’irrigation pour les riziculteurs. Dans ce cadre, il a également contribué à procurer 5 000 titres de propriété individuels à des agriculteurs, incitation importante pour qu’ils fassent bon usage de ce système d’irrigation. Cet investissement a été transformateur : la superficie de la zone de culture a été multipliée par quatre pour atteindre 5 000 hectares et les rendements sont passés de 2,5 à 6 tonnes par hectare, certains agriculteurs produisant même jusqu’à 8 tonnes par hectare. Plus de 245 agriculteurs sont devenus des entrepreneurs prospères.

Mikama - Aug 31, 2017

José Belalahy dans Midi Madagasikara
Communément connue comme « la maladie des personnes en manque de sang », l’anémie serait une des causes de la mortalité infantile et de celle des femmes enceintes. En effet, environ 35% des Malgaches souffriraient de cette maladie actuellement.  (..) « les enfants de moins de dix ans sont les premières victimes de cette maladie dans la Grande Ile ». Le chef de service d’ajouter que « les cas se concentrent le plus sur les Hautes Terres centrales et que la malnutrition chronique présente ainsi que la situation géographique de ces régions en sont les causes ». Le docteur Harimelina Randriamasiarijaona soutient sa thèse en avançant que « les crues des saisons de pluies privent les Hautes Terres centrales de leurs matières nutritivessi bien que les produits alimentaires de ces régions deviennent pauvres en valeur nutritive »

Soa-Mihanta Andriamanantena dans L'Express de Madagascar
« une diminution des stock halieutiques a été enregistrée à l’échelle mondiale  dont l’océan Indien », souligne t-elle. En outre, la  pêche illicite non-reportée, et non-règlementée ( INN) dans le Sud-Ouest de l’océan Indien, représente un manque à gagner annuel d’un milliard de dollars; et 20% des captures totales de thonidés dans la région finissent dans les filets des pêcheurs illégaux selon la FAO.(..)  « avec près de 5 000 km de côtes, d’immenses territoires maritimes, de longs fleuves,…Madagascar possède des potentiels...

Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le gouvernement chinois va financer la construction de 200 forages d’eau dans des régions de la Grande Ile telles Atsimo-Andrefana. Le financement pour la réalisation de ce projet s’élève à 5,4 millions de dollars (4,8 milliards d’euros). La mise en œuvre de ces forages permettra à une quarantaine de communes d’accéder à l’eau potable. (..) Ce projet vise en particulier à augmenter à 67% le taux d’accès à l’eau potable de la population d’ici 2030, selon les Objectifs de Développement Durable (ODD).

Arh. dans NewsMada
La « Foire Renala du Menabe» a débuté hier à Morondava. Elle vise à faire connaître cette région dans le domaine social, culturel et surtout économique, notamment la production d’arachides qui s’élève en moyenne à 30.000 tonnes par an sur le marché. Et la filière n’a cessé de se développer ces trois dernières années. Du coup, la région cherche ainsi à développer davantage la filière en proposant la transformation des produits. A ce sujet, grâce à l’initiative des gouvernements malgache et chinois, un projet d’installation d’une usine de production d’huile d’arachide est en cours dans la région Menabe. Et une société chinoise fait partie des exposants pour présenter ce projet. A part l’approvisionnement des régions périphériques, le Menabe exporte aussi une partie de sa production d’arachides. Les activités de collecte, de transport, de manutention, de conditionnement et de transformation autour de la filière ont généré plus de 35.000 emplois l’année dernière.

Mikama - Aug 21, 2017

Yvan Andriamanga dans Madagascar Tribune
En termes d’aide et financement international, Madagascar arrive juste derrière la Corée du Nord. Avec 24$ d’aide et financement international par tête d’habitant, la Grande Ile reçoit à peine le tiers des financements des pays africains du même niveau socio-économique. (..) Les défis en développement du pays sont immenses : près d’un enfant sur deux souffre de malnutrition chronique ; le pays est classé au 154ème rang sur 187 pays sur l’indice de développement humain 2015 et à la 167ème place sur 190 dans le classement Doing Business 2017. Madagascar est également un des dix pays les plus exposés aux effets du réchauffement climatique. (..) Le Groupe de la Banque mondiale a annoncé un appui financier de l’ordre de 1,3 milliard de dollars pour soutenir le développement de Madagascar au cours des trois prochaines années. Ce financement exceptionnel est constitué de près de 1 milliard de dollars de dons et prêts concessionnels qui appuieront le développement de l’agriculture, amélioreront la nutrition et l’accès des enfants à l’éducation, et connecteront les paysans et pêcheurs aux marchés en réhabilitant le réseau routier. L’engagement du Groupe de la Banque mondiale inclut également 330 millions de dollars de financement provenant de l’IFC, filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé.

Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
L’Empire du milieu va construire deux cents forages avec des pompes à motricité humaine dans les régions d’Atsimo Andrefana et du Menabe. Un don non remboursable à hauteur de 16 milliards d’ariary a été offert par ce pays .Une signature du protocole d’accord entre le ministère de l’Eau de l’énergie et des Hydrocar­bures et l’Agence de la Coopération Économique Internationale (AIECO) du ministère du Commerce de la République Populaire de  Chine sur le projet, a eu lieu hier au centre des conférences internationales d’Ivato. Le but est de résoudre la difficulté d’accès à l’eau potable dans les régions.(..) Le taux d’accès à l’eau potable pour la région d’Atsimo Andrefana est de 28% tandis que celui du Menabe est évalué à 30% selon les données du ministère de l’Eau de l’énergie et des Hydrocarbures. Combiné avec les autres régions de la Grande île, le taux d’accès à l’eau potable est de 24% en moyenne.

Mikama - June 12, 2017

Mamisoa Antonia dans L'Express de Madagascar
Le changement climatique apporte des effets néfastes à la santé de la population. Le nombre de personnes atteintes d’infection respiratoire, augmente. Le paludisme commence à atteindre la capitale : les moustiques préfèrent la ville. Les foyers de la peste se présentent dans de nouveaux endroits enclavés. Les maladies dues aux insectes se multiplient... Le changement climatique est lié au réchauffement de la mer. D’après Christoph Golden, Directeur associé de Planetary Health Alliance Research Scientist, la mer qui entoure Mada­gscar se réchauffe constamment. Les poissons fuient vers le pôle sud. En effet, la température normale de la mer varie de 20 à 26°. Pourtant, actuellement, ce chiffre est largement dépassé.

Sera R. dans NewsMada
La Plateforme humanitaire du secteur privé (PSHP), une association à but non lucratif regroupant des entreprises siégeant ou ayant un représentant à Madagascar... met ainsi dans sa perspective des projets d'adduction d'eau potable, notamment dans le Sud de Madagascar. Cela à l&rsquo;exemple de celle de la Commune rurale d'Andranohinaly, district de Toliary II, région Atsimo Andrefana au bénéfice de ses 2 000 habitants qui doivent s'approvisionner en eau à 13 km de leur village pour un prix de 200 Ariary le bidon de 20 litres. Un projet énorme qui nécessite un financement de plus de 80 millions d'Ariary.

Mikama - May 23, 2017

Harilalaina Rakotobe dans L'Express de Madagascar
 C’est dans un contexte délicat où le taux d’accès à l’eau potable avoisine seulement les 30 % à 35% de la population que le concept Réservoir d’Eau Enterré Plein de Sable (REEPS) a été présenté, samedi, à la foire internationale de Madagascar. Le REEPS est, tout bonnement, une technique pour récupérer l’eau de pluie, et la rendre réutilisable. Avec cette technique, un investissement de base de 600 euros permettra à toute une population d’avoir accès à l’eau potable pour une durée garantie de 50 ans.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Production d’énergie solaire, stockage d’énergie, assainissement de l’eau et source de lumière … Ce sont les utilités de l’arbre solaire baptisé ALTES (Autonomous Life Tree Electric System), lancé par la fondation MANENTENA à Madagascar. 25.000 habitants du village d’Andralanitra, dans le domaine du Père Pedro, sont les premiers bénéficiaires de ces arbres solaires plantés samedi dernier. « Nous avons mis en place deux arbres ALTES qui comportent chacun quatre panneaux solaires. Ces fruits de nos dernières innovations fournissent aux bénéficiaires à Andralanitra, 2,24KW d’électricité, 12KW de stockage, 70 spots d’éclairage, ainsi que de l’eau potable. Ce système permet de fournir cinq à dix jours d’éclairage, sans ensoleillement », ont expliqué Gilles Garcia de la société Solstice

Antsa R.  dans Midi Madagasikara
Par ailleurs, le contexte social reste marqué par la pauvreté, la malnutrition et les inégalités croissantes, elles-mêmes attisées par une croissance démographique de 2.8 % par an. La population est relativement jeune, avec 76.2 % de moins de 35 ans. Selon le rapport, le marché du travail est dominé par le sous-emploi et la précarité de l’emploi. Quatre travailleurs sur cinq ont un emploi fragile (faiblement rémunéré, ou/et précaire), alors que 400 000 jeunes arrivent chaque année sur le marché du travail. Industrialisation. Avec une part de 14.8 % dans le PIB, l’industrie malgache est très en retard par rapport à de nombreux pays africains. Cependant, le pays regorge d’entreprises de très petite taille, dont la majorité évolue dans le secteur informel.

Nomena E. dans La Gazette de la Grande Ile
Placer l’argent dans des banques, demander crédit, ou gérer l’argent via les téléphones portables, les Malgaches hésitent encore. Les chiffres parlent de 37% de taux de pénétration à Madagascar pour l’accès aux micro-finances en 2017, et 34% pour le mobile banking. Pour ce dernier, l’objectif de 37% pour 2017 fixé en 2013 n’est pas atteint. C

Jean Riana dans La Gazette de la Grande Ile
Effectivement, seule une faible proportion des 500 000 jeunes qui arrivent annuellement sur le marché du travail arrive à accéder à l’emploi à cause de leurs inexpériences. (..) une hausse du taux de chômage surtout au niveau des jeunes de 15 à 24 ans qui est passé de 2,9 % en 2015 à 3,4 % en 2016.

Mikama - May 11, 2017

Arh.  dans NewsMada
Raphia, bois, cornes, cuirs … Les ressources artisanales de qualité se font de plus en plus rares sur le marché local. «L’exportation à l’état brut de ces ressources vers les pays étrangers constitue la principale cause de cette situation»... Ayant cette habitude de «cueillette» pour se procurer les matières premières, les artisans malgaches n’ont plus accès qu’à des produits de mauvaise qualité car ceux de bonne qualité sont destinés à l’exportation. La recommandation d’embargo de toutes les espèces de Madagascar inscrites dans les annexes I, II et III de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et flore sauvages menacées d’extinction (Cites) y est également pour quelque chose. (..) Le secteur de l’artisanat représente entre 10 et 15 % du Produit intérieur brut (PIB) du pays. Pourtant, les artisans malgaches se plaignent de la morosité de leur commerce face à la rude concurrence, notamment avec les produits chinois vendus à des prix nettement moins chers

Arh.  dans NewsMada
Vanille, café, girofle, grains secs… Nombre de ces filières ont du mal à rester compétitives sur le marché international. Les problèmes sociaux et environnementaux sont souvent cités comme sources de problèmes. (..) En citant quelques cas, cet opérateur laisse entrevoir les risques auxquelles s’exposent certaines filières jugées porteuses pour l’économie malgache. En plus de décourager les producteurs, les vols de vanille verte sur pied font baisser la qualité de la vanille malgache. La flambée du prix du pois de cap, faute de production suffisante, pousse certains consommateurs de l’océan Indien à changer leur habitude alimentaire. Une situation que cet exportateur qualifie de «danger» pour l’exportation malgache. A Miandrivazo, plusieurs producteurs de haricot, souvent victimes de bilharziose, sont contraints de dépenser leurs revenus pour se soigner. Du coup, ils n’ont plus les moyens de se procurer des semences ou encore payer le coût de la main-d’œuvre. Et comme certains n’ont plus le moyen de s’acheter des pesticides appropriés, nombreux de terrains se trouvent infestés par les insectes, diminuant en conséquence la qualité des produits.

Julie Razakarinaivo dans L'Express de Madagascar
Dans la capitale, seuls 24 % des ménages disposent d’un accès privatif à l’eau potable, les 76 % restants ont accès à des fontaines publiques. Faute d’eau potable à Madagascar, un appareil de purification d’eau vient d’être lancé, hier, à la commune rurale de Masindray. Une démonstration sur l’utilisation du purificateur s’ensuit grâce au partenariat de l’Association d’Aide Humanitaire (2AH) avec Sunwaterlife. e projet s’est fixé comme objectif d’apporter de l’eau potable dans les villages. Trois régions dont SAVA, Atsimo Andrefana et Atsinanana, ont été choisies pour le premier essai. Ces produits traitent et purifient de l’eau douce polluée, quelle que soit sa source (puits, mares, rivières, lacs).