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Mikama - Aug 29, 2018

Dans Organized Crime and Corruption Reporting Project
Madagascar — sometimes known as the “world’s eighth continent” — is a naturalist’s paradise. More than 80 percent of the flora and fauna on the island can be found nowhere else on earth. (..) Said Gilbert, a former rosewood logger, says he earned between $2 and $3 cutting down two trees a day. Gilbert is just trying to get by. But while locals like him subsist on rice and bushmeat, the 300-year-old trees they fell generate thousands of dollars in profits for businessmen at home and abroad. Most loggers never meet the financiers, traders, and buyers who deal in the timber, which is so sought-after that it sells for $20,000 to $25,000 per ton. Nor are they likely to ever see the finished product — mostly high-end furniture for China’s growing elite. Logging rosewood in Madagascar is a big business. According to estimates from 2013, between $250 and $300 million in exotic timber, mostly rosewood, was illegally exported from the island that year... Between 2009 and 2010, more than 1,500 containers of wood, worth over $150 million, were authorized for export in contravention of international regulations.

Dans CGTN
Despite being an island, one of the biggest problems facing Madagascar is water shortage. About half the island’s approximately 25 million people struggle to find clean water for basic use. Now however, a massive project is underway to change that narrative.  The Chinese funded initiative seeks to drill about 200 boreholes – mainly in the southwest region – to ensure locals can access clean water. When complete, the project will enable more than 300,000 people to accesss clean water for their daily chores.

Mikama - Aug 14, 2018

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Les 19,25 km reliant l’axe principal et cinq embranchements dans les communes rurales de Mahitsy, Ampanotokana et Mahazaza, situées au Nord-Ouest d’Antananarivo, seront enfin des routes « normales ». Les quelques cent cinquante mille œufs qui prennent ces routes tous les jours n’accuseront plus de casse car elles seront entièrement bitumées. Le début des travaux a été lancé hier, à Mahitsy, par le président de la République, Hery Rajaonarimampianina. 40% des œufs consommés dans le pays proviennent des fermes avicoles installées dans ces trois communes rurales dont 80% des habitants pratiquent l’aviculture. (..) Près de 30 millions de dollars soit 103 milliards d’aria­ry ont en effet été offerts par le gouvernement chinois. L’octroi de ce don a été signé le 18 août 2017 entre l’Agence de coopération économique internationale (AIECO) du ministère chinois du Commerce et la partie malgache. L’ambassadeur chinois apprend en outre que les travaux sont confiés à la société China Zhongmei Engineering Group, et dureront trois ans.

Mikama - May 17, 2018

Pela Ravalitera dans L'Express de Madagascar
D’après Léon M. Slawecki, un premier ressortissant chinois est vu dans l’ile vers 1862... De cinquante Chinois en 1896, on en arrive à quatre cent cinquante deux en 1904, année du premier recensement sur tout le territoire. (..) Presque tous ces premiers immigrants chinois arrivent à Madagascar en transitant par Maurice et surtout par La Réunion. (..) La dernière grande vague de l’immigration chinoise sous la colonisation, a lieu en 1937-1939, car « ils fuyaient l’invasion japonaise de la Chine » : 573 en 1937, 450 en 1938 et 485 dans le premier semestre de 1939. (..) Le recensement de 1941 donne 3 637 Chinois à Madagascar, l’immigration est surtout limitée aux parents de ceux déjà installés et « les conditions instables en Chine » les encouragent à s’y établir définitivement. « Toute croissance dans la population après la guerre fut ainsi due à la croissance naturelle rendue possible par le fait qu’un bon pourcentage de ceux arrivant par la grande vague de 1937-1939 fut des Chinois : il y eut 4 900 Chinois en 1951, 8 900 en 1961 avant d’arriver en 1967, à 9 203.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Pour Madagascar, les derniers chiffres indiquent que 85 % des enfants ont reçu les 11 vaccins. Vingt mille agents vaccinateurs travaillent dans tout le pays... Le prochain objectif sera d’atteindre un taux national de 90%. La 24ème édition de la semaine de la santé de la mère et de l’enfant (SSME) se tient du 14 au 18 mai prochain. Le ministère de la  Santé publique déploie10 000 agents de santé ainsi que 17 000 agents communautaires, 20 000 volontaires et enfin 600 superviseurs.

Riana R. dans NewsMada
Quatre accords de coopération seront à signer notamment, des mémorandum d'entente sur la coopération industrielle, la coopération administrative mutuelle en matière douanière et un protocole d'accord culturel et commercial. (..) Pour rappel, un accord douanier a été signé entre les deux pays auparavant, concernant notamment la lutte contre le trafic de drogue et les marchandises illicites. D’autres thématiques, entre autres, la connectivité entre Madagascar et Maurice, la sécurité alimentaire dans la région ou encore la collaboration dans la sécurité maritime, sont également abordées durant cette rencontre.


Sera R. R. dans NewsMada
Faisant suite au projet réalisé en septembre 2017, qui combine l’imagerie satellite et les données hydrogéologiques, un atelier sur la cartographie du potentiel en eaux souterraines du Grand sud de Madagascar a été organisé hier à l’hôtel Ibis Ankorondrano.

Mikama - Apr 20, 2018

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Douze kilos de semences améliorées du type Fofifa 160 ont été nécessaires et il est plus intéressant de repiquer des plantules de dix jours. La croissance est assurée au bout de seulement quarante-cinq jours. «Le repiquage mécanisé induit par ailleurs que les rizières ne sont pas automatiquement à pulvériser, déstresse le riz et permet de réduire les problématiques de logistique rencontrées dans cette activité de riziculture», ajoute Juslain Raharinaivo. Il n’est pas essentiel de travailler sur de grandes surfaces pour le repiquage par mécani­sation. La machine de repiquage utilisée par l’équipe a été importée de Chine. L’idée ingénieuse d’utiliser des alvéoles en papier pour le germoir permet à la machine de repiquer convenable­-ment, à une capacité de 2ha par jour. Des comparaisons avec d’autres techniques de riziculture permettent d’avancer que cette nouvelle technique est moins coûteuse. «Le coût de production pour les techniques traditionnelles est de 457 ariary par kilo par hectare, 375 ariary pour le SRA, 228 ariary pour le SRI et 223 ariary pour le repiquage mécanisé. Entre 416 000 et 462 000 ariary par hectare en moyenne sortent de la poche des riziculteurs en intrants, semences et autres frais et 429 000ariary pour cette nouvelle technique.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Une technique innovante a été expérimentée par le ministère en charge de l’Agriculture via le programme FORMAPROD en partenariat avec le FOFIFA et la société 4F dans le district d’Anjozorobe. Il s’agit de la combinaison de l’utilisation des germoirs biodégradables avec la motorisation du repiquage en mottes. « Les résultats ont été concluants car un rendement de plus de 7 tonnes/ha a été enregistré. Nous prévoyons d’appliquer cette technique innovante à une échelle de 200 000 ha tout en facilitant l’accès du petit paysannat aux machines de repiquage. (..)  l’utilisation de cette machine est moins coûteuse que les salaires de la main d’œuvre. Et on n’a besoin que 12kg/ha de semences améliorées...

Antsa R. dans Midi Madagasikara
 la balance commerciale globale entre la Chine et Madagascar se chiffre à 1,2 milliard USD, soit environ 3 840 milliards Ariary, dont il s’agit de près d’un million USD  d’importations et 200 millions USD d’exportations malgaches. Ces flux augmentent encore de 10% par an, d’après les informations.


Mikama - Mar 21, 2018

Dans Madagascar Tribune
Au cours des trois dernières décennies, les Chinois ont connu une amélioration absolument sans précédent de leur niveau de vie. La pauvreté - et nous parlons de la grande pauvreté - est passée d’environ 60% à moins de 5%. Les forêts de gratte-ciel ont pullulé presque du jour au lendemain. La Chine regorge de véhicules électriques, de batteries au lithium et de panneaux solaires, le tout produit localement. (..) À l’origine de cette croissance et de cette prospérité ce n’est pas une machine monolithique de délocalisations, mais bel et bien un boom de l’entrepreneuriat. Entrepreneuriat en Chine ? Oui ! Bien que pseudo-communiste, parfois libertarien, adoptant le capitalisme de copinage, corrompue, manquant d’état de droit, la Chine offre à bien des égards une voie plus courte à la réussite des entrepreneurs que les États-Unis. (..) Qui a construit cette économie de la taille d’un pays sur une parcelle de terres agricoles ? Certes, la population autochtone cantonaise y a largement participé, mais la plupart des gens à Shenzhen aujourd’hui viennent d’autres parties de la Chine, y compris des provinces rurales les plus pauvres. Shenzhen est « le rêve américain du 19ème siècle » créé par le gouvernement communiste chinois dans un coin vide du sud de la Chine à la fin du 20ème siècle. Cela a été rendu possible du fait que Shenzhen n’exigeait pas des immigrants de visas ou de changement de nationalité. (..) La Chine possède à la fois le plus grand réseau de trains à grande vitesse au monde et la plus importante migration annuelle d’immigrants dans le pays vers les provinces les plus pauvres ...
Michael Dubrovsky, ingénieur-entrepreneur.
Article initialement publié en anglais par the Foundation for economic education
Article publié en collaboration avec le projet Libre Afrique

Fitiavana A. dans La Gazette de la Grande Ile
Canada: Des mains d’œuvre malgaches à l’Olymel... Actuellement, l’usine adopte un mode de recrutement dans d’autres pays en partie francophones comme l’île Maurice et Madagascar. Selon le responsable des ressources humaines de l’Olymel, le principal acteur de son succès est l’engagement de son personnel. C’est pour cela qu’ils ont choisi de passer des offres de recrutement dans ces pays en espérant que cette main d’œuvre soit compétente et puisse intégrer le conditionnement de travail à la chaîne dans cette usine de transformation de porc et de volaille. 32 sur 119 des travailleurs sont arrivés le week-end dernier au Québec pour cette nouvelle aventure d’intégration dans l’autre monde. La principale tâche de cette main d’œuvre s’applique en général au travail à la chaîne dont la durée de travail est de 35 heures par semaine sur des tâches diversifiées, dont chaque phase de transformation contient 3 étapes spécifiques  jusqu’à la finition

Mikama - Jan 29, 2018

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Le montant total des échanges bilatéraux a atteint 931 millions d’USD, représentant 14,4% du total du commerce extérieur malgache, avec une augmentation de 20,58% comparée à la même période de l’année précédente. Cette croissance a été rendue possible grâce aux efforts consentis par les parties chinoise et malgache. La partie chinoise notamment a décidé d’appliquer depuis 2015, le tarif douanier zéro pour 97% des marchandises en provenance de Madagascar exportées vers la Chine. En matière d’investissements directs étrangers, les entreprises chinoises sont de plus en plus présentes à Madagascar. Plus particulièrement dans trois secteurs clés que sont l’agriculture, les infrastructures, et le textile. Et ce, avec des investissements créateurs d’emplois, d’une valeur respective de 7,10 millions USD, en 2016 et de 4,48 millions USD de janvier à septembre 2017. Projets structurants. En ce qui concerne les aides publiques au développement, en 45 années de coopération, la Chine totalise trois milliards de yuans RMB en faveur de différents projets.

Harilalaina Rakotobe dans L'Express de Madagascar
 À cet effet, l’accord de promotion et de protection des investissements (APPI) est en cours d’élaboration afin de rassurer les potentiels futurs investisseurs désireux de s’implanter dans la Grande île. « Notre rôle est de mettre en avant les stratégies de prospection pour attirer les investisseurs à travers les potentialités exploitables de notre pays. L’APPI servira alors d’outils de persuasion à long terme »... Tous les domaines d’activité seront englobés dans le cadre de ces accords. En commençant par le tourisme, l’agriculture, en passant par le secteur minier jusqu’à l’industrie,...

Mikama - Jan 26, 2018

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Au début de sa deuxième année de mise en œuvre, le Projet de Développement Communal Inclusif et de Décentralisation (PRODECID) affiche déjà des résultats importants. Les réalisations sur les finances locales, le développement économique et la gouvernance, dans le cadre de ce projet... – financé à hauteur de 12,5 millions d’Euros, soit environ 50 milliards d’Ariary sur trois ans – concerne 3 régions, 80 communes, 500.000 bénéficiaires directs, 4,5 millions bénéficiaires indirects.

 Riana R. dans NewsMada
Le marché chinois représente 14 ,4% de la totalité du commerce extérieur de Madagascar en 2017. Les échanges entre les deux pays ont connu une hausse de 20,58% entre 2016 et 2017. (..) La Chine est le premier partenaire commercial bilatéral, la première source d’importation de Madagascar et la quatrième destination des exportations malgaches. Notons par ailleurs que 97% des marchandises malgaches exportées vers la Chine bénéficient d’une franchise douanière depuis 2015. Cette année, les appuis chinois à Madagascar seront constitués en grande partie par le développement des infrastructures. Il s’agit, entre autres, du projet d’aide de 200 forages dans le Sud-ouest, le financement de la construction de la Route des œufs, une route de 19 km reliant la commune de Mahitsy, Ampanotokana et Antanetibe Mahazaza. Le gouvernement chinois a également annoncé l’installation de télévision par satellite dans 500 villages à Madagascar. Et aussi, le financement de l’extension et l’aménagement d’une voie rapide entre le port de Toamasina et la RN 2

Mikama - Sep 25, 2017

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Madagascar disposera bientôt de sa toute première ferme solaire. Mais il faut attendre le mois de juin 2018 pour voir le projet opérationnel. Sur le site de Menabe, dans la commune rurale d’Ambohipihaonana, dans le district d’Amba­tolampy, la société Green Yellow est encore en début de chantier. Les gros engins présents sur le chantier effectuent les travaux de terrassement. « Il faut compter huit mois pour la mise en place de cette ferme solaire », a confié Alvaro Fuenzalida Cleary, directeur de Green Yellow Madagascar.
La centrale produira 20 mégawatts d’électricité, laquelle sera vendue à la Jirama, pour les Réseaux interconnectés d’Antana­narivo (RIA). L’énergie produite permettra de couvrir ainsi les besoins en électricité d’environ cinquante milles ménages,

Luz R.R dans Midi Madagasikara
L’école thématique DYGEM (Dynamique et gestion des mangroves) et le colloque MOIO (Mangroves de l’Océan indien occidental, dynamiques, pressions et gestion) ont boosté la vie intellectuelle de Mahajanga jusqu’au 20 septembre. Pour l’Océan indien, il en ressort une meilleure compréhension des mangroves et une mobilisation effective pour leur gestion et leur sauvegarde. Pour les Comores, Madagascar et Mayotte, l’avenir des mangroves se joue entre co-gestion, exploitation rationnelle, restauration et instauration de la justice environnementale.

Dans La Gazette de la Grande Ile
En 2016, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint 1,1 milliard de dollars (979 millions d’euros). Pourtant, l’exportation en Chine n’est que de 159 millions (141,5 millions d’euros) contre 943 millions en_importation (839,3 millions d’euros). Ce qui ne représente que 0.7 % des échanges commerciaux réalisés entre la Chine et l’Afrique. Toutefois, la Chine a démarré plusieurs projets de construction dans le pays. Ces projets sont d’une valeur de 7 millions de dollars (6,23 millions d’euros) à peu près. (..)  le volume d’échanges est de 610 millions de dollars (543 millions d’euros), soit une hausse de 10%. En matière d’exportation, celle de la Chine vers Madagascar a atteint 505 millions de dollars (449,45 millions d’euros) au cours de ce premier semestre. La hausse ainsi de 7,84% par rapport à la même période de l’année précédente. Quant aux importations, la Chine_convoite principalement les minéraux, les produits agricoles et les fruits.

Mikama - Sep 22, 2017

Yvan Adriamanga dans Madagascar Tribune
La croissance économique devrait atteindre 4,1 % en 2017. Bien que ce taux soit un des plus élevés en Afrique subsaharienne, il est en deçà des attentes, notamment en raison des effets du cyclone et de la sécheresse sur les secteurs agricoles et la production hydroélectrique. La croissance est prévue s’accélérer à 5,1 % en 2018, portée par la hausse de l’investissement public et un rebond dans le secteur agricole. L’inflation, qui a connu une légère accélération au premier semestre de cette année en raison des chocs climatiques, devrait redescendre aux alentours de 8% d’ici à la fin de l’année et poursuivre sa baisse progressive en 2018. » Telle est la conclusion de la mission du FMI...

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
La Chine est le premier partenaire commercial de Madagascar. En 2016, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays est évalué à 1,1 milliards de dollars. Ceci est de l’ordre de 610 millions de dollars au cours des six premiers mois de cette année, soit une hausse de 10,3 % par rapport à la même période de l’an dernier  ... « Depuis 2015, afin de faciliter l’exportation malgache vers la Chine, le gouvernement Chinois a appliqué le traitement de tarif douanier zéro en faveur de 97 % des produits malgaches », a souligné la diplomate.
Jusqu’en 2016, le volume d’investissement chinois à Madagascar a atteint 377 millions de dollars américain et a permis la création de dix-sept mille emplois locaux. 

Mikama - Sep 13, 2017

Antsa R. dans Midi-Madagasikara
Avec 450 panneaux solaires pour 130KW de puissance, on a plus de 250MW/heure par an pour 500 foyers. (..)  A noter que c’est la société Zoom qui a choisi GreenYellow pour la réalisation de ses premiers projets d’efficacité énergétique de grande ampleur. Le site de cette société à Ankorondrano bénéficie d’un montage inédit ; un contrat de performance Energétique (CPE) couplé avec la mise en place d’une centrale photovoltaïque en autoconsommation.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Les exportations tout comme les importations ont connu une montée en flèche, avec une hausse de 10%. Ils ont atteint les 610 millions de dollars, d’après les données fournies par l’ambassade de Chine à Madagascar. « La Chine a importé 102 millions de dollars de produits malgaches, soit un gain important de 24 points », a souligné, hier Shaomin Liang, conseiller économique auprès de l’ambassade de Chine.
Parallèlement, les exportations de la Chine vers la Grande île sont aussi en hausse. Elles ont atteint 505 millions de dollars durant le premier semestre. C’est une hausse de 7,84%. (..) En 2016, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays est évalué à 1,1 milliards de dollars, dont 159 millions en importation et 943 millions en exportation vers Mada­gascar. En termes d’investissement, la Chine a injecté près de 7 millions de dollars.

Dans PV Magazine
The World Bank is supporting Madagascar’s solar plans under the Scaling Solar initiative. The IFC, a member of the World Bank, signed an agreement with the government of Madagascar to design and tender a partnership for privately developed, grid-connected solar power in March 2016. At the time, the IFC said that the 30-40 MW solar facility planned by Madagascar’s government would help ease daily interruptions of power service, and reduce generation costs for Jirama.
Most of Madagascar’s generation capacity is currently represented by thermal power stations (406 MW) and hydropower plants (162 MW). Wind and biomass have a minimal share with both a few hundreds of kWs installed. Madagascar aims at granting access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share with around 75%.

Mikama - Aug 28, 2017

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Près de 580 milliards USD! C’est ce que représentait le marché canadien à lui seul, en 2016. Selon cet indicateur, les Canadiens consomment 172% de plus en termes de produits importés, par rapport à leurs voisins Américains des Etats-Unis.  (..) Ainsi, sur le marché canadien, Madagascar peut se positionner comme fournisseur de choix sur certaines tendances de consommation, tels que les produits ethniques, produits alimentaires de spécialités et la santé/bien-être. A noter que les exportations de Madagascar vers le Canada ont représenté 79 millions de dollars canadiens et les importations depuis le Canada sont évalués à environ 12 millions de dollars canadiens, représentant 3% des importations canadiennes venant du continent africain. (..)  Au même titre que l’AGOA, Madagascar bénéficie de la politique « Initiative d’accès au Marché » pour le Canada.

Harilalaina Rakotobe dans L'Express de Madagascar
Cette directive du conseil des affaires d’État chinois, sortie le 19 août, confirmée par le bureau du conseil économique auprès de l’ambassade de Chine à Madagascar, limitera les investissements des opérateurs chinois dans de nombreux secteurs, notamment l’immobilier, l’hôtellerie ou encore l’industrie de divertissement. (..) D’un autre côté, Pékin encourage ses opérateurs à se concentrer dans d’autres domaines jugés plus judicieux. À savoir dans l’agriculture, la pêche, le pétrole et l’exploitation minière, ainsi que dans certains domaines du secteur des services tout en promouvant la culture chinoise à travers le monde.

Dans The Hindu
The ocean forecast and early warming information on high wave, currents, winds, tides, sub-surface ocean conditions cater to users like fishermen, coastal population, tourism sector, coastal defence officials, marine police, port authorities, research institutions and offshore industries of these countries. These ocean services are aimed towards safety at the sea. The system would offer oil spill advisory services, high wave alerts, port warnings, forecast along the ship routes in addition to tsunami and storm surge warnings and help in search and rescue operations.

Mikama - July 18, 2017

Bill dans Madagascar Tribune
...cet ouvrage, voué à la durabilité, et qui contribuera à fluidifier toujours davantage la communication avec l’Ouest et tout le Nord de Madagascar. Le nouveau pont de Kamoro, situé au PK 406,300 sur la Route Nationale 4, a été construit dans le cadre du Projet d’Urgence pour la Préservation des Infrastructures et la Réduction de la Vulnérabilité (PUPRIV), sur financement de la Banque Mondiale... Les travaux de construction ont duré 24,5 mois, depuis le 8 Juin 2015, pour un montant de 46.225.614.017,74 MGA. Le nouveau pont, d’une longueur de 265,50 mètres, dispose de deux voies.

Haja R. dans NewsMada
Faut-il rappeler que la compagnie Ambatovy représente 31.4% des rentrées en devises de l’Etat (chiffres pour l’année 2015). Dans le même régistre, ce projet reverse dans les caisses de l’Etat 50 millions de dollars de taxe par an. Mais en plus, c’est un projet qui apporte beaucoup pour la population à travers les emplois qu’il génère, lesquels se retrouvent ainsi plus que menacés.

Dans LOI
Alors que la Japan International Cooperation Agency (JICA) a signé, le 23 mars, avec le gouvernement malgache un accord de prêt de 45,2 milliards de yens (405 millions $) pour l'extension du port de Toamasina après plusieurs années de tergiversations (LOI nº1413), le président Hery Rajaonarimampianina compte aussi sur la Chine pour le développement du port. Le 26 mars, à Beijing, le chef de l'Etat a signé un protocole d'accord avec la China Communications Construction Co (CCCC) pour la construction d'une autoroute reliant Antananarivo à Toamasina. Ces projets sont suivis de près par la garde rapprochée du président. Narson Rafidimanana, en charge des projets présidentiels et de l'aménagement du territoire, numéro deux du gouvernement depuis avril 2016, s'active à promouvoir les relations sino-malgaches. Originaire de Toamasina, il avait été cité dans la liste de Jean Omer Beriziky pointant du doigt des personnalités impliquées dans le trafic de bois de rose (LOI nº1436). De son côté, la JICA traite directement avec la Société du port à gestion autonome de Toamasina (SPAT) dont la présidente est Herisoa Razanadrakoto, intime du président malgache qui est également sa directrice de cabinet et venant aussi de Toamasina. Premier port commercial du pays, Toamasina est également le lieu où transite le trafic de bois de rose, lequel est en général acheminé vers la Chine et l'Asie du sud-est.

Dans LOI
Au sein des autorités malgaches, les entreprises chinoises s'appuient sur le ministre des travaux publics, Eric Razafimandimby. Ce dernier, qui a étudié plusieurs d'années à Shanghai, parle couramment chinois et s'est imposé depuis quelques années comme l'interlocuteur favori de Pékin à Madagascar. Ministre des travaux publics de 2009 à 2011 sous l'ancien président Andry Rajoelina, il a été reconduit à ce poste par Rajaonarimampianina lors du remaniement ministériel d'avril 2016. Depuis 2015, il officiait déjà comme conseiller à la présidence en tant que mandataire de la Commission mixte de coopération Chine-Madagascar, mise sur pied pour renforcer les liens entre les deux Etats.

Dans LOI
Hugues Ratsiferana, conseiller diplomatique du président malgache Hery Rajaonarimampianina, essaye à tout prix de gonfler le bilan du chef de l'Etat en vue de l'élection présidentielle prévue en 2018 (lire ici). Ainsi, il s'est rendu début mai à Paris afin de rencontrer Steve Gentili, président du conseil d'administration de la BRED et président du Forum francophone des affaires (FFA). L'émissaire malgache a présenté au patron de la banque un projet de développement afin d'obtenir un prêt de 3 millions €, qui lui a été refusé.

Mikama - May 22, 2017

Dans PV Magazine
The plan, which is being implemented with the support of national agency Agence de Développement de l’Electrification Rurale (ADER), aims at doubling the rate of Madagascar’s rural electrification by 2020. Currently, only 14% of the country’s population have access to electricity. In its update on the program, the ministry said that already three regions; Androy, Anosy and Atsimo Andrefana, were assigned quotas of off-grid solar through the latest call for tenders for solar and wind stand-alone projects, in which the government allocated 14.5 MW of capacity. In February, an Expression of Interest (EoI) for a 3 MW PV power plant in Nosy Be, in the region of Diana, was issued. The project is part of the government’s plan to deploy between 30 MW and 40 MW of PV capacity across the country by 2020. In December 2016, the Ministry of Energy also issued an EoI for several hydropower projects and 30 MW of hybrid solar-biomass projects. Through the tender, the government hopes to build three hybrid solar-biomass projects which would have a capacity of 5 MW, 15 MW and 10 MW, respectively, and would be located in the regions of Menabe, Diana and Atsimo Andrefana. At the end of last year, the government also announced that French developer Green Yellow had begun work on a 20 MW PV facility in Ambohipihaonana, in the region of Ambatolampy. The €25 million project will sell power to local utility Jirama under a long-term PPA. The project is expected to be completed by November 2017. Most of Madagascar’s generation capacity is currently represented by thermal power stations (406 MW) and hydropower plants (162 MW). Wind and biomass have a minimal share with both a few hundreds of kWs installed. Madagascar aims at granting access to electricity to up to 70% of households, and at covering 85% of its energy mix with renewables by 2030. Solar and wind are expected to reach both a 5% share, while hydropower will have the lion’s share with around 75%.

DansWorld Politics Review
 In 2003, China became Madagascar’s primary source of imports, and it is currently the island’s fifth-largest destination for exports. Overall, China is Madagascar’s most important commercial partner in terms of trade volume and total value of investments. (..) Chinese immigrants began arriving in Madagascar in the mid-1800s as laborers for French colonial projects, and many established themselves as traders along the eastern coast of Madagascar. Intermarriages were common, and at least 60 percent of the “old Chinese”—as they are known in Madagascar—are of mixed Sino-Malagasy heritage. With a Sino-Malagasy population of 60,000, the island is home to the second-largest community of locally born Chinese, behind South Africa. This has made the island especially attractive to the new wave of Chinese migrants and investors arriving since the 1990s. Although difficult to quantify, the number of Chinese nationals residing in Madagascar is currently estimated to be around 100,000, which is higher than the number of Chinese immigrants in most other African countries. (..) China moved forward with the largest investment deal in Madagascar to date for mining rights to an iron ore project... With a GDP per capita of $405 and 70 percent of its budget coming from donors, Madagascar is one of the poorest countries in the world. (..) Public perceptions of Chinese actors in Madagascar can also be quite negative and influenced by the belief that Chinese economic practices are not sufficiently regulated by either the Malagasy or Chinese state.

Dans Traffic (Bulletin 29)
China has been the main destination for Malagasy Dalbergia (rosewood and palisander) and Diospyros (ebony) species for over a decade. Since 2013, these species have been listed in Appendix II of the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES)... A study conducted by TRAFFIC (Ratsimbazafy et al., 2016) in Madagascar revealed that 98% of the Dalbergia and Diospyros species exported between 2010 and 2014 were landed in China. (..)  While declared imports of Malagasy timber have declined, the large-scale seizures of Malagasy timber would suggest that the trade has been driven underground following the CITES listings and export bans


DOSSIER: Analysis: Behind China’s aid structure, IRIN News

DOSSIER: Analysis: Behind China’s aid structure, IRIN - Humanitarian new and analysis
"China has at least nine kinds of aid," Deborah Bräutigam, a leading scholar on Chinese aid to Africa and a professor at the Johns Hopkins School of Advanced International Studies, notes in her book, The Dragon’s Gift. "Medical teams, training and scholarships, humanitarian aid, youth volunteers, debt relief, budget support, turn-key or ‘complete plant’ projects [infrastructure, factories], aid-in-kind and technical assistance."
The country gives money through three mechanisms: interest-free loans; grants; and preferential interest loans or tied loans, according to Xue Lei, a research fellow of Shanghai's Institutes for International Studies. "Most of the foreign aid is provided in the form of project aid," he told IRIN. (...) While the US Agency for International Development (USAID) and the UK’s Department for International Development (DFID) provide large amounts of funding to support government budgets in areas such as education, China prefers to instead to work on a single project, such as building a school, or provide scholarships to students to study in China. (...) "In many contemporary accounts of Western aid and capacity-building in Africa, there would not be a close connection between aid and trade," King writes in his book. China by contrast, sees a very important link between private business and aid. Indeed, this is a core element of China's official view to development. There are three main organs controlling Chinese aid: the Ministry of Commerce, the Ministry of Foreign Affairs and China's Eximbank. The State Council - China's cabinet - has oversight, and approves the annual budget, grants and aid projects over a certain amount, as well as aid to politically sensitive countries. The Ministry of Finance is also responsible for giving aid to multilateral organizations, such as UN agencies. The Ministry of Commerce (MOFCOM) is the principal institution for Chinese aid, and houses the Department of Aid. It is in charge of distributing all zero-interest loans and grants. The Ministry of Foreign Affairs coordinates with MOFCOM to decide aid allocations, and is the on-the-ground diplomatic point of contact for Chinese firms and interests in Africa. But the relationship between the two ministries is often tense, and, as experts have argued, conflicting interests between the multiple agencies sometimes hurts Chinese aid policy.