Dans Madagascar Tribune
Au cours des trois dernières décennies, les Chinois ont connu une amélioration absolument sans précédent de leur niveau de vie. La pauvreté - et nous parlons de la grande pauvreté - est passée d’environ 60% à moins de 5%. Les forêts de gratte-ciel ont pullulé presque du jour au lendemain. La Chine regorge de véhicules électriques, de batteries au lithium et de panneaux solaires, le tout produit localement. (..) À l’origine de cette croissance et de cette prospérité ce n’est pas une machine monolithique de délocalisations, mais bel et bien un boom de l’entrepreneuriat. Entrepreneuriat en Chine ? Oui ! Bien que pseudo-communiste, parfois libertarien, adoptant le capitalisme de copinage, corrompue, manquant d’état de droit, la Chine offre à bien des égards une voie plus courte à la réussite des entrepreneurs que les États-Unis. (..) Qui a construit cette économie de la taille d’un pays sur une parcelle de terres agricoles ? Certes, la population autochtone cantonaise y a largement participé, mais la plupart des gens à Shenzhen aujourd’hui viennent d’autres parties de la Chine, y compris des provinces rurales les plus pauvres. Shenzhen est « le rêve américain du 19ème siècle » créé par le gouvernement communiste chinois dans un coin vide du sud de la Chine à la fin du 20ème siècle. Cela a été rendu possible du fait que Shenzhen n’exigeait pas des immigrants de visas ou de changement de nationalité. (..) La Chine possède à la fois le plus grand réseau de trains à grande vitesse au monde et la plus importante migration annuelle d’immigrants dans le pays vers les provinces les plus pauvres ...
Michael Dubrovsky, ingénieur-entrepreneur.
Article initialement publié en anglais par the Foundation for economic education
Article publié en collaboration avec le projet Libre Afrique
Fitiavana A. dans La Gazette de la Grande Ile
Canada: Des mains d’œuvre malgaches à l’Olymel... Actuellement, l’usine adopte un mode de recrutement dans d’autres pays en partie francophones comme l’île Maurice et Madagascar. Selon le responsable des ressources humaines de l’Olymel, le principal acteur de son succès est l’engagement de son personnel. C’est pour cela qu’ils ont choisi de passer des offres de recrutement dans ces pays en espérant que cette main d’œuvre soit compétente et puisse intégrer le conditionnement de travail à la chaîne dans cette usine de transformation de porc et de volaille. 32 sur 119 des travailleurs sont arrivés le week-end dernier au Québec pour cette nouvelle aventure d’intégration dans l’autre monde. La principale tâche de cette main d’œuvre s’applique en général au travail à la chaîne dont la durée de travail est de 35 heures par semaine sur des tâches diversifiées, dont chaque phase de transformation contient 3 étapes spécifiques jusqu’à la finition
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