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Mikama - Sept 14, 2018

Dans Xinhua
 Madagascar recorded its best rice output in 15 years, a government official said here Thursday. (..) "Madagascar harvested 4.3 million tons of rice in 2018, up from 3.1 million tons in 2017,"

Dans Relief Web
Madagascar a fait face à une épidémie de peste pulmonaire affectant plusieurs zones, en l’occurrence les grandes villes comme Antananarivo et Toamasina en 2017. Rappelons-le, la propagation rapide et la transmission de cette épidémie vers les zones non endémiques ont été favorisées par le déplacement et la mobilité des personnes à l’intérieur même du pays, voire au-delà des frontières. Actuellement, la Grande Île entre de nouveau dans la saison favorable à l’apparition de l’épidémie de peste. Par conséquent, la nécessité d’élaborer une Procédure Opérationnelle Standardisée (POS) pour la mise en place de Postes de Contrôle Sanitaire Terrestre dans certains lieux stratégiques en cas de flambée épidémique de peste ou autres maladies à potentiel épidémique a été identifiée parmi les priorités à court terme.

Dans All Africa
But despite their prominence, zebu herds have dwindled from 23 million in the early 1980s to about six million today. One Malagasy entrepreneur plans to rebuild the island's cattle industry and resurrect a zebu beef export market that faded decades ago due to chronic underinvestment and a lack of proper veterinary care. Backed by about N$95 million ($7 million), International Finance Corporation (IFC) loan and extensive advisory support from IFC and the World Bank, BoViMa-short for Bonne Viande de Madagascar-is building a modern feedlot and slaughterhouse close to Tolanaro in Madagascar's impoverished South. The feedlot will source zebu and animal feed from local breeders and farmers, supporting a wide network of jobs and trade. BoViMa, a member of the SMTP Group, plans to produce zebu meat for domestic and foreign consumption, including the fast-growing Gulf markets of the United Arab Emirates and Saudi Arabia. Danil Ismael, the company's founder and chief executive officer, expects it will provide a much-needed economic boost for Madagascar,

Mikama - Jul 11, 2018

Navalona R. dans Midi Madagasikara
PAPRiz 2 : Un rendement de plus de 5t/ha enregistré (..) Ainsi, les directions régionales du ministère sont intervenues en totalité dans 106 périmètres irrigués de cinq régions initiales si l’objectif fixé est de 250 périmètres d’ici à 2020. Une superficie totale de 18 176 ha a été ainsi aménagée avec une formation de 439 paysans formateurs. Plus de 19 000 ménages ruraux sont impactés par le projet.

Razafy dans Madagascar Matin
La balance commerciale entre Madagascar et l’Afrique du Sud est encore déficitaire. Le montant de notre importation du pays de l’Arc-en-ciel était de 139 millions de dollars en 2015 alors que notre exportation n’était que de 125 millions de dollars. Le blocage des exportations de Madagascar vers l’Afrique du Sud se situe principalement au niveau du respect des normes et certifications des produits.

Razafy dans Madagascar Matin
Madagascar s’est doté d’une part d’un Programme national d’investissement agricole, élevage et de pêche (Pniaep) et prévoit de créer deux millions d’hectares de zones d’investissements agricoles  en 10 ans et du Programme national foncier (Pnf), d’autre part. L’objectif global de ces deux Programmes est de réduire le taux de pauvreté de la population, vivant en dessous du seuil de 1,25 dollars par jour en passant de 82% à 20% en 2025, d’avoir un taux de croissance annuelle de 6% pour le secteur Aep s’il n’est que de 2,6% actuellement et de faire progresser les investissements privés dans les trois sous-secteurs.

Seheno Kely dans Madagascar Matin
le Centre de Santé pour Tous a créé une mutuelle de santé pour les moins nantis de la société. Avec une fourchette de prix allant de 3500 Ar à 12 000 Ar, elle comprend plusieurs services. Allant d’une simple consultation et l’accès aux médicaments jusqu’aux soins dentaires... le Centre procède à la première édition 2017 des séances de consultation gratuite, y compris la distribution de vermifuges, l’échographie, le dépistage de la tension artérielle et du diabète, et l’enlèvement des dents ; tout cela à titre gracieux.

Mikama - Jun 13, 2018

Navalona R.  dans Midi Madagasikara
« Le problème juridique constitue une des principales raisons. En effet, le système « premier venu, premier servi » est appliqué. Et nous sommes le seul pays à ne pas entamer des négociations dans le cadre de l’attribution de permis. D’autant plus, les surfaces attribuées aux détenteurs de permis sont énormes. Ce qui nécessite la révision du Code minier », a évoqué le ministre Zafilahy Ying Vah, son prédécesseur. Par ailleurs, il a saisi cette occasion pour dresser un bilan durant ses deux ans au poste de ce ministère. « Près de 2 833 kg d’or ont été déclarés à l’exportation l’an dernier. C’est la première tonne et la meilleure production enregistrée depuis l’Indépendance de Madagascar...

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
Des mesures qui ont permis de stabiliser, au premier temps les prix du riz. (..) En matière de consommation plus particulièrement, les mesures de contrôle de la qualité des produits de consommation courantes ont été prises et les destructions de marchandises périmées se sont multipliées. Mais le commerce extérieur n’était pas en reste, puisque ce département affiche également un bilan positif. En effet, ces derniers temps, la balance commerciale avec l’Union européenne a été positive pour Madagascar, avec une exportation qui totalise 1,6 milliards d’euros en 2017.

Dans ScienceMag
In 2014, a toxic invasive species—the Asian common toad—was spotted in Madagascar’s largest seaport. Conservation biologists quickly sounded an urgent alarm, warning that the invader could devastate the African island’s unique biodiversity, which includes lemurs and hundreds of other animals found nowhere else in the world. Now, scientists have confirmed that the toad’s toxic slime will likely kill nearly everything in Madagascar that tries to eat it, according to a study that surveyed the susceptibility of 88 species.

Dans Earther
The team analyzed sequences of the ion pump gene in 77 Malagasy species that might prey upon the invasive toads, including 27 species of snake and eight mammals. Unfortunately, only a single native predator—a rodent called the white-tailed antsangy—showed any genetic evidence of toxin resistance. The seventy-six other species all appear vulnerable to the invaders’ poison. This list includes some of Madagascar’s most unique endemic wildlife, like the strange feline fossa and the neon-striped tenrec—a prickly animal that’s more closely related to elephants than to the hedgehogs it resembles.

More in Science Daily

Mikama - May 31, 2018

Dans Relief Web
The main goal of this analysis is to provide the Government with elements for setting up a shock responsive national social protection system. Madagascar currently has several cash transfer programmes, implemented by the Government as well as humanitarian agencies. These include both development and emergency response programmes. In the past, there have been coordination efforts among the different implementing agencies, however, these efforts are not systematic and significant challenges still remain as to coordination, especially with regard to emergency response. Therefore, the Government wishes to develop a strategy for a better harmonization of the various cash transfer interventions in Madagascar.
This report has two sections. The first analyzes the Government’s social safety nets programme as a developmental response to a chronic situation of vulnerability of the population. Section 2 focuses on the use of cash transfers as emergency response.
Download report here
https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/1525264525.MDG_CASH-TRANSFER-STUDY.pdf

Mirana Ihariliva dans NewsMada
Les programmes sectoriels en partenariat public-privé seront mieux assurés. L'Unité Partenariat Public-Privé (PPP) a été mise en place par décret en 2017  (..) Le moindre détail des projets, tels son état bancable, structurant ou soutenable en finances publiques, douanières et fiscales est à étudier. Le projet doit, entre autres, être en mesure d'apporter un revenu en monnaie locale structurée pour être reconverti dans la monnaie d’emprunt généralement en devises étrangères. La concession des aéroports de Nosy Be et d'Ivato a été citée en exemple. Le contrat de mise en concession de ces deux principaux aéroports est le premier qui a été signé dans le contexte actuel avec plus de 200 millions d’investissements fermes, dont 70 % levés auprès de cinq établissements financiers de renommée internationale, dont IFC du Groupe de la Banque Mondiale, DBSA, PROPARCO, EAIF et la CA-CIB. « Le contrat est une référence sur le continent, car il regroupe à la fois un concepteur  qui est la société Bouygues Bâtiment International, un constructeur national, Colas Madagascar S.A,  un exploitant aéroportuaire, Aéroports de Paris International et un fonds d’investissement, et la société Ravinala Airports S.A », détaille encore le directeur Christian A. Assomany. La redevance fixe forfaitaire de 3 millions d’euros par an, issue de la concession des deux aéroports va permettre alors, à l’Adema, d’investir et de se concen­trer sur les dix autres aéroports nationaux. Le concessionnaire versera jusqu’à la moitié de ses bénéfices redistribuables à l’État, pendant la durée de concession.

Arh. dans NewsMada
Soutenir des investissements durables grâce à une fiscalité stable, intégrer l’industrie locale dans les chaînes de valeur et l’économie régionale, encourager la création d’emplois formels et attirer les investissements. Tels sont les objectifs fixés par la Loi n°2017-047 sur le développement de l’industrie (LDI) de Madagascar, ayant fait l’objet d’une séance de présentation, hier, au siège de la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo (CCIA). (..) «La LDI essaie de privilégier les industriels qui veulent utiliser des sources d’une certaine capacité, étant donné le problème d’approvisionnement en énergie à Madagascar.  ... Les avantages fiscaux sont prévus dans la Loi de finances de l’année et font l’objet d’une clause de stabilité de huit ans.». (..) A terme, il est question de porter la part de l’industrie à plus de 25% du produit intérieur brut (PIB) qui, jusque-là, n’a jamais dépassé les 15%.

Riana R. dans NewsMada
«Un demi-hectare de rizières peut donner 6 tonnes de riz et 1,4 tonne de poissons en même temps. Car, il faut savoir que l’élevage de poissons dans les rizières augmente en même temps le rendement rizicole», a affirmé  un pisciculteur de la commune rurale de Tsiafahy.  (..) Selon les chiffres du Programme sectoriel agriculture élevage pêche (PSAEP), la production de poissons d’eau douce dans le pays est de l’ordre de 13 704 tonnes. Il est évident que cette production est largement en-dessous du potentiel du pays qui dispose de près de 160.000 ha de plans d’eau propices à la pisciculture et de 150.000 ha de rizières irriguées favorables à la rizipisciculture.

Mikama - May 28, 2018

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Cela fait déjà trente ans, soit du temps de SOMALAC, que les infrastructures d’irrigation du périmètre PC 23 dans la région d’Alaotra Mangoro ont été réhabilitées. (..) Mais un projet de réhabilitation du système d’irrigation de cette vallée du sud-ouest du lac Alaotra, financé par le gouvernement japonais via la JICA, a été lancé vendredi dernier dans la commune rurale d’Ambodirano, district d’Amparafaravola. Il s’agit notamment d’un don d’une valeur de 27 millions USD  en vue d’améliorer l’irrigation et le drainage de 10 000 ha de rizières. Meilleure production. En outre, les travaux d’aménagement du PC 23 concernent également la réhabilitation des canaux d’irrigation d’une longueur de 60 km et des pistes rurales de 80km, ainsi que des quatre têtes de prises. Près de 5 000 ménages d’exploitants agricoles en bénéficieront. Ces travaux dureront trois ans... Par ailleurs, Alaotra Mangoro fait partie des quatre régions d’intervention du projet PAPAM (Projet d’Amélioration de la Productivité à Madagascar), financé par l’Agence Française de Développement à hauteur de sept millions d’Euros pour une durée de quatre ans.

Arh. dans NewsMada
La Diana et la Sava sont les fiefs du cacao malgache, principalement à Ambanja et dans la vallée du Sambirano. Les 90% du cacao qu’exporte la Grande île, viennent de ces régions avec une production annuelle moyenne de 6.000 tonnes, soit 0,2% de la production mondiale qui sont loin des quelques deux millions de tonnes de la Côte d’Ivoire. Ce qui place Madagascar au rang de vingtième producteur mondial et ce, malgré une qualité bénéficiant déjà du label <em>«cacao fin</em>» de l’International cocoa organization – UK (ICCO). Toutefois, les producteurs de la région, soit près de 80% de la population, rencontrent de nombreuses difficultés... Comme dans presque toutes les filières telles que le litchi, le café, les épices, le cacao est détenu par une poignée de collecteurs/exportateurs qui imposent leurs règles.

Mikama - May 16, 2018

Dans Digital Journal
The event, related to the UN-sponsored World Water Day, held on the 22nd March annually, is part of USAID’s $30 million, RANO WASH project announced February 23, 2018. From the USAID website: "RANO WASH will increase access to clean water for vulnerable populations, including girls, women and people with disabilities. In total, over 600,000 people will benefit from the project. This includes 300,000 people who will get access to clean drinking water through 140 water supply systems. These systems will be managed by local businesses with training from the project. A further 375,000 people will have better sanitation options thanks to improvements and rehabilitation work to existing toilets and cleaning stations. 190 public facilities, including health centers and schools, are among the locations destined to receive improved sanitation facilities." (..) According to WaterAid: “11.7 million people in Madagascar don’t have access to safe water, 88% of the population of Madagascar don’t have access to improved sanitation, almost 4,000 children under five die every year from diarrheal diseases caused by unsafe water and poor sanitation.” USAID backs up these claims by stating: “more than 58 percent Madagascar's people lack access to safe drinking water and nearly half of all households live without sanitation facilities.”

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
Si la production rizicole dans la région Alaotra Mangoro connaît cette année une augmentation de 10 à 15%, notamment en raison d'une bonne précipitation de la suite du passage de deux cyclones au début d'année. La région rizicole d'Ankililoaka, à la fois, productrice de coton, en revanche, connaît actuellement des difficultés d'irrigation... que trois grands projets se déroulent actuellement dans la région Sud-ouest. «Le projet Bas Mangoky phase 1 et phase 2 par la mise en effectivité du barrage de Bevoay et qui permet l'irrigation de quelques 5800 ha. Un autre à Taheza dans le district de Betioky sur la RNA 17 et un autre, dénommé PRIASO, réalisé à Manombo et Ankililoaka sont également en cours», détaille-t-il. Le Projet de réhabilitation des infrastructures agricoles de la région Sud-ouest (PRIASO) concerne le périmètre de Manombo Ranozaza et Ankililoaka. Il s'agit de mettre en valeur quelques 13 400ha, de construire 74 km de canaux, la réhabilitation de 40km de digue de protection et la réalisation de douze forages d'eau. La réhabilitation de la prise de Bevoay à Morombe vise une production de 60 000 tonnes par an et un rendement 6 tonnes à l'hectare dans l'ensemble du nord de la région Sud-ouest.

Mikama - May 14, 2018

Ny Aina Rahaga dans Madagascar Tribune
Augmentation de la production rizicole de 10% dans l’Alaotra. La production totale de riz pour l’Alaotra pourrait dépasser les prévisions de cette année et atteindre les 600 000 tonnes. (..) Notons que l’année dernière, Madagascar avait importé près de 400 000 tonnes de riz tout au long de l’année... Le marché malgache avait été ravitaillé à 70% de riz importé d’Inde ou du Pakistan. (..) Selon un rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) datant de 2017, Madagascar serait le deuxième consommateur mondial de riz derrière le Myanmar (Birmanie). La Grande ile ne se trouve pourtant qu’à la 19ème position en tant que producteur avec un faible rendement de quelques 3,4 millions de tonnes de paddy par an pour les 1,2 million d’hectares de plantation.

Mirana Ihariliva  dans L'Express de Madagascar
Le projet Jiro Kanto, mis en œuvre par une entreprise malgache, illuminera quinze communes autour du lac Alaotra. Le tarif sera à moitié-prix de celui de la Jirama. Le projet a démarré en 2015 et est à 70% de ses réalisations. (..) Il met ainsi en place deux centrales hydrauliques en exploitant le site d’Androkabe et de Maheriara. Quelques 2300 KW seront disponibles à partir de ces deux sites. (..) Le projet, d’un montant total de cinq millions trois cent mille euros, est financé à 75% par l’Union européenne et 25% par fonds propres de l’entreprise BETC Nanala, assurant la réalisation du projet Jiro Kanto. (..) Il a alors pris l’exemple de la centrale de Mandraka qui existe depuis 80 ans. « La durée de vie des turbines atteint les 50 ans, alors que les centrales thermiques doivent subir des entretiens tous les cinq ans en moyenne. Les batteries pour les panneaux solaires doivent également être remplacées tous les cinq-six ans », indique encore l’ingénieur...

Mirana Ihariliva  dans L'Express de Madagascar
Madagascar est gagnant dans l'Accord de partenariat économique (APE) avec l'Union européenne avec quelque 500 millions d'euros d'exportation en 2017, d'après les chiffres avancés par le département du Commerce et de la consommation. L'accroissement du commerce intra-africain à travers la Zone de libre échange continentale africaine, regroupant quarante-quatre membres signataires de l'accord devrait pourtant se chiffrer à 35 milliards de dollars par an d'ici 2022. « L'intégration régionale traîne un peu des pieds avec le COMESA et la SADC car notre pays est encore déficitaire», a fait savoir le ministre du Commerce et de la consommation. En 2017, 106 010 000 dollars d'exportations et 214 694 000 dollars d’importations, soit une balance commerciale déficitaire de 106 084 000 dollars, a été enregistré au niveau du COMESA.

Mikama - Apr 12, 2018

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
En 2017, Madagascar a exporté 1,150 milliards d’euros contre un peu plus de 600 millions d’euros d’importation. (..)  En effet, les relations commerciales se font avec 45% des exportations vers l’Europe et 20% d’importations malgaches en provenance des principaux pays membres de l’Union européenne. Les fruits de mer, les épices, le textile sont les principaux produits exportés par Madagascar sur le marché européen. Outre l’Europe, Madagascar exporte vers d’autres pays. On peut citer, entre autres, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Inde et les Etats-Unis.

Dans La Gazette de la Grande Ile
Sur le marché intérieur avec le niveau des prix actuel, le prix au détail du riz importé à Antananarivo Renivohitra a demeuré en dessus du prix de la parité financière à l’importation (PPI) avec une marge de 159 Ar/kg fin Janvier, et 137 Ar/kg fin Février 2018. Enfin, concernant les opérations d’importation de riz à Madagascar, la statistique douanière a enregistré une importation d’environ 88.972 tonnes en Janvier, puis 87.742 tonnes de riz en Février. Durant les deux premiers mois de l’année 2018, le cumul du volume d’importation de riz s’élève à environ 176.500 tonnes, dont 22.000 tonnes de riz importé en décembre 2017, qui n’ont pu être dédouanées et comptabilisées qu’en janvier 2018, selon les données de la Direction Générale des douanes.

Dans Devdiscourse
The Government of Madagascar and the African Development Bank Group (AfDB) signed five project financing agreements in Antananarivo on March 30, 2018, for an amount of about US $ 11.23 million. The first two agreements focused on the financing of the Youth Entrepreneurship Promotion Program (project 1), worth US $ 7.23 million, of which US $ 6.23 million in donations and US $ 1 million in loans. This project 1 aims to train and finance 410 young people, 50% of them women, to become entrepreneurs integrating agricultural and agro-industrial value chains. Two other financing agreements of around USD 3 million were also signed during the ceremony, (..) The Bank began its operations in Madagascar in 1977, and as of 31 December 2017, it approved a total of 89 operations, mainly in the transport, industry, finance and agriculture sectors, for a total of cumulative amount of UA 1.3 billion / US $ 1.88 billion. The current portfolio of the Bank in the country includes fourteen (14) operations for a total of UA 185.14 million. It covers three main sectors (Fig. 1): agriculture (54.71%), transport (31.44%) and governance (11.61%).

Mikama - Feb 22, 2018

Riana R. dans NewsMada
La valeur des importations de Madagascar, durant l’année 2017, a connu une hausse de 20% par rapport à l’année précédente, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique (Instat). (..)  la valeur des importations de riz à Madagascar, en 2017, a augmenté de 170% par rapport à 2016. Si en 2016, celle-ci était à près de 286 milliards d’ariary, elle est passée à plus de 774 milliards d’ariary en 2017.... seule 20% de la production rizicole au niveau national a pu être sauvée l’an dernier, en raison de l’insuffisance d’eau. Les 80% des pertes dans la production ont donc été comblées par l’importation. Car, sur les 2.600.000 tonnes de riz dont Madagascar a besoin par an, la production n’a atteint que 2.041.000 tonnes l’an dernier. En 2016, le pays a importé  au total  250.000 tonnes de riz et, en 2017, le volume total importé a été de 570.000 tonnes.

Fano Deraniaina dans Madagascar Tribune
Si les agences des Nations Unies ont l’habitude d’importer des vivres, riz ou autres produits de première nécessité, lorsqu’elles sont au chevet des populations dans une situation d’urgence ou dans une extrême précarité, depuis quelques années, le transfert monétaire devient à la mode. (..) par exemple du programme « Ndao Hianatra » qui est mis en oeuvre par le gouvernement sur un crédit de la Banque Mondiale. L’UNICEF délivre un transfert monétaire conditionnel complémentaire aux familles qui ont des enfants entre 10 et 18 ans en transition post-primaire et des enfants en classe de CM2. Il y a également le programme « Vatsin’Ankohonanna », 45 000 ménages réparties dans plusieurs districts de l’île reçoivent entre 60 000 Ariary et 30 000 Ar par mois ainsi qu’un fonds de redressement de 180 000 Ariary à répartir en deux ou trois paiements durant la durée du programme. Lorsque les familles reçoivent ces aides financières, elles bénéficient également de formation sur la gestion du budget familial ou encore la citoyenneté afin que l’argent soit utilisé à bon escient. Le transfert monétaire consiste à octroyer directement de l’argent aux bénéficiaires afin que ces derniers puissent acheter ce dont ils ont réellement besoin.

José Belalahy dans Midi Madagasikara
65% de la population la plus pauvre ne cherchent plus à se faire soigner en cas de maladie (Revue des DP 2014 et ENSOMD 2012).

Mikama - Sep 18, 2017

Luis K. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
.. campagne de lutte contre la traite des personnes, dans la région DIANA. Cette initiative s'inscrit dans le cadres de la politique gouvernementale Malagasy, suite à sa ratification de la convention des Nations unies et de son adhésion à l’OIM, l'Organisation internationale de la Migration, L’OIM, créée en 1951, opère à Madagascar depuis 2004. Madagascar quant à lui, après avoir ratifié la convention en 2005, a renforcé en 2015 son arsenal juridique en matière de lutte contre la traite des personnes. Ainsi, le gouvernement de Madagascar a promulgué le 20 Janvier 2015, la loi N°2014-040, relative à la traite des êtres humains. Cette loi autonome et inclusive regroupe toutes les dispositions relatives à la traite. La loi 2014-040 prévoit entre autre des peines allant de 6 mois à 10 ans d’emprisonnement pour les auteurs et complices de la traite d’êtres humains, ainsi que des amendes allant de 500000 d’Ariary à 20 millions d’Ariary. (..) A Madagascar, la traite concerne l’exploitation pour le travail domestique, l'exploitation sexuelle ou encore la servitude pour dette civil. Les auteurs de traites de personne quant à eux ont différents profils, allant de l’individu isolé, mais avec un réseau de distribution, à une bande bien organisée et structurée. Parfois, les auteurs sont des membres de la famille, des connaissances, des propriétaires d’établissements, voire des politiciens et des hauts fonctionnaires corrompus qu'il est difficile de mettre en cause.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
20 techniciens malgaches ayant suivi un stage sur le Seikatsu Kaizen au Japon mettent en œuvre leurs plans d’action, pour la promotion de cette approche japonaise à Madagascar. Bien connue par les paysans dans les zones d’intervention de la JICA (Agence japonaise de coopération internationale), l’approche Seikatsu Kaizen a déjà apporté de grands changements dans  l’amélioration de la vie des bénéficiaires, d’après les témoignages. D’après ses promoteurs, cette approche vise le changement de comportement et de mentalité d’une personne, pour qu’elle devienne créative dans la recherche de solutions à tout problème identifié dans sa vie quotidienne et sociale. (..)  Des dizaines de milliers de ménages pratiquent déjà l’approche Seikatsu Kaizen dans les 4 régions d’interventions.  Certes, cela a éveillé la créativité des paysans qui ont trouvé divers innovations. Parmi les plus impressionnantes, on peut citer le fameux rice-cooker fonctionnant à l’énergie solaire, et bricolé, rien qu’avec du carton et des emballages de biscuits. Le charbon bozaka, le foyer amélioré Kamado, etc. sont également bien connus par les paysans dans les zones d’intervention.

José Belalahy dans Midi Madagasikara
Effectuée le 11 septembre dernier la signature de l’accord consiste en un appui technique de la part de l’Union Européenne à l’UNICEF. L’UE va prodiguer son expertise et ses moyens d’investigation en matière d’exploitation d’imagerie satellitaire. Ce qui devrait se faire par l’intermédiaire de son centre Commun de Recherche (Joint Research Center-JRC) afin d’améliorer la méthodologie de recherche des ressources en eau en complément aux études hydrogéologiques et géophysiques conventionnelles déjà menées sur le terrain. La part de l’Unicef quant à elle consiste en la gestion globale du programme d’étude.

Arh. dans NewsMada
Durant trois ans, de 2015 et 2017, les communautés de Melaky, dans le paysage de Manambolo Tsiribihina, ont restauré au total 140 hectares de mangroves dégradées. Ces hommes et ces femmes ont planté plus de 760.000 propagules, des petites pousses de mangroves, dans les forêts qu’ils gèrent au niveau local. Nous avons choisi de replanter des palétuviers jaunes (Ceriops tagal) et rouges (Rhizophora mucronata) avec les communautés...

Dans La Gazette de la Grande Ile
... le Groupe de la Banque africaine de développement a entrepris, dans le pays, d’importants travaux de réhabilitation sur plus de 600 km de canaux. Il a fourni des équipements et un réseau de drainage en vue de construire un nouveau système d’irrigation pour les riziculteurs. Dans ce cadre, il a également contribué à procurer 5 000 titres de propriété individuels à des agriculteurs, incitation importante pour qu’ils fassent bon usage de ce système d’irrigation. Cet investissement a été transformateur : la superficie de la zone de culture a été multipliée par quatre pour atteindre 5 000 hectares et les rendements sont passés de 2,5 à 6 tonnes par hectare, certains agriculteurs produisant même jusqu’à 8 tonnes par hectare. Plus de 245 agriculteurs sont devenus des entrepreneurs prospères.

Mikama - July 25, 2017

Antsa R.  dans Midi Madagasikara
Durant le premier semestre de cette année, Madagascar a importé 247.207 tonnes de riz, contre 86.000 tonnes pour la même période en 2016 ; ce qui représente presque une quantité triplée. En effet, en six mois, l’importation de cette année a déjà dépassé la quantité totale importée pendant l’année 2016.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
.. le gouvernement nippon annonce le financement du projet de réhabilitation du système d’irrigation du sud ouest du Lac Alaotra. Le montant de l’enveloppe s’élève à 3,048 mil­liards de yen japonais, équivalent à environ 82 milliards ariary. Les travaux devraient débuter en avril 2018, pour se terminer en 2021, selon le calendrier établi. Le choix du projet n’est pas fortuit. Le Lac Alaotra rencontre de sérieux problèmes. La région risque de perdre le titre de grenier de Madagascar dans les prochaines années. 

Dans LOI
En grande difficulté financière, la junior américaine Madagascar Oil vient de voir une opportunité pour écouler ses stocks de fuel lourd lui échapper à nouveau. L'opérateur électrique national malgache, la Jirama, lui a préféré les sociétés locales Galana et Jovenna des hommes d'affaires indo-pakistanais Iqbal Rahim et Hassanein Hiridjee, ainsi que la firme néerlandaise Vivo Energy, afin de lui fournir du fuel lourd pour ses centrales électriques. Le patron de Madagascar Oil, John Claussen, avait réussi en début d'année à imposer à la Jirama d'annuler un premier appel d'offres concernant la fourniture de fuel lourd et d'en relancer un autre, comme nous l'avions révélé (AEI nº786). La compagnie pétrolière n'a pas été plus chanceuse à la deuxième tentative et a été évincée par la Jirama. Madagascar Oil se retrouve donc encore avec son stock de 160 000 barils de fuel lourd, provenant des phases de test de Tsimiroro, sur les bras. La firme n'a actuellement pas les moyens de mettre à niveau les infrastructures routières qui lui permettraient d'évacuer son fuel. Si elle ne parvient pas rapidement à trouver un acheteur, elle aura le choix entre créer une raffinerie sur place ou construire sur site une centrale électrique fonctionnant au fuel brut, deux options coûteuses.

Dans LOI
Louis Roland-Gosselin, vice-président de Sherritt International pour le projet minier d'Ambatovy, vient du suspendre la participation de sa firme à la Chambre des mines de Madagascar. Dans le cadre de la gestion des redevances et des remises minières, Sherritt veut imposer au gouvernement malgache un projet de décret fixant les modalités de recouvrement, de répartition et de gestion des taxes minières dues à l'Etat par certains projets miniers. Le projet consiste à mettre en place une fondation pour gérer ces taxes, dont Sherritt ferait partie du conseil d'administration. Actuellement, lesdites taxes minières reviennent directement aux collectivités territoriales décentralisées, c'est-à-dire aux communes et régions qui accueillent les projets miniers. Gosselin reproche à la chambre des mines de ne pas le soutenir dans cette démarche. Cette dernière est présidée par Ny Fanja Rakotomalala, qui préside aussi Qit Madagascar Minerals (QMM, du groupe Rio Tinto), lequel exploite de l'ilménite dans la région de Fort Dauphin.