The main goal of this analysis is to provide the Government with elements for setting up a shock responsive national social protection system. Madagascar currently has several cash transfer programmes, implemented by the Government as well as humanitarian agencies. These include both development and emergency response programmes. In the past, there have been coordination efforts among the different implementing agencies, however, these efforts are not systematic and significant challenges still remain as to coordination, especially with regard to emergency response. Therefore, the Government wishes to develop a strategy for a better harmonization of the various cash transfer interventions in Madagascar.
This report has two sections. The first analyzes the Government’s social safety nets programme as a developmental response to a chronic situation of vulnerability of the population. Section 2 focuses on the use of cash transfers as emergency response.
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https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/1525264525.MDG_CASH-TRANSFER-STUDY.pdf
Mirana Ihariliva dans NewsMada
Les programmes sectoriels en partenariat public-privé seront mieux assurés. L'Unité Partenariat Public-Privé (PPP) a été mise en place par décret en 2017 (..) Le moindre détail des projets, tels son état bancable, structurant ou soutenable en finances publiques, douanières et fiscales est à étudier. Le projet doit, entre autres, être en mesure d'apporter un revenu en monnaie locale structurée pour être reconverti dans la monnaie d’emprunt généralement en devises étrangères. La concession des aéroports de Nosy Be et d'Ivato a été citée en exemple. Le contrat de mise en concession de ces deux principaux aéroports est le premier qui a été signé dans le contexte actuel avec plus de 200 millions d’investissements fermes, dont 70 % levés auprès de cinq établissements financiers de renommée internationale, dont IFC du Groupe de la Banque Mondiale, DBSA, PROPARCO, EAIF et la CA-CIB. « Le contrat est une référence sur le continent, car il regroupe à la fois un concepteur qui est la société Bouygues Bâtiment International, un constructeur national, Colas Madagascar S.A, un exploitant aéroportuaire, Aéroports de Paris International et un fonds d’investissement, et la société Ravinala Airports S.A », détaille encore le directeur Christian A. Assomany. La redevance fixe forfaitaire de 3 millions d’euros par an, issue de la concession des deux aéroports va permettre alors, à l’Adema, d’investir et de se concentrer sur les dix autres aéroports nationaux. Le concessionnaire versera jusqu’à la moitié de ses bénéfices redistribuables à l’État, pendant la durée de concession.
Arh. dans NewsMada
Soutenir des investissements durables grâce à une fiscalité stable, intégrer l’industrie locale dans les chaînes de valeur et l’économie régionale, encourager la création d’emplois formels et attirer les investissements. Tels sont les objectifs fixés par la Loi n°2017-047 sur le développement de l’industrie (LDI) de Madagascar, ayant fait l’objet d’une séance de présentation, hier, au siège de la Chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo (CCIA). (..) «La LDI essaie de privilégier les industriels qui veulent utiliser des sources d’une certaine capacité, étant donné le problème d’approvisionnement en énergie à Madagascar. ... Les avantages fiscaux sont prévus dans la Loi de finances de l’année et font l’objet d’une clause de stabilité de huit ans.». (..) A terme, il est question de porter la part de l’industrie à plus de 25% du produit intérieur brut (PIB) qui, jusque-là, n’a jamais dépassé les 15%.
Riana R. dans NewsMada
«Un demi-hectare de rizières peut donner 6 tonnes de riz et 1,4 tonne de poissons en même temps. Car, il faut savoir que l’élevage de poissons dans les rizières augmente en même temps le rendement rizicole», a affirmé un pisciculteur de la commune rurale de Tsiafahy. (..) Selon les chiffres du Programme sectoriel agriculture élevage pêche (PSAEP), la production de poissons d’eau douce dans le pays est de l’ordre de 13 704 tonnes. Il est évident que cette production est largement en-dessous du potentiel du pays qui dispose de près de 160.000 ha de plans d’eau propices à la pisciculture et de 150.000 ha de rizières irriguées favorables à la rizipisciculture.
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