Mikama - Jul 18, 2018

AR dans Midi Madagasikara
Sur la base des informations préliminaires disponibles, le pays verra sa bonne performance économique continuer cette année. Le taux de croissance de cette année est prévu à 5% contre 4.2% en 2017, bien au-dessus de deux  points par rapport à la croissance moyenne de l’Afrique subsaharienne. Il en est de même pour l’inflation qui devrait baisser à 7.5% après avoir culminé à 9% l’année dernière suite à la flambée du prix du riz due  aux aléas climatiques. Il est également attendu une bonne exécution du budget de l’Etat grâce à des recettes fiscales et d’aide budgétaire qui sont projetées d’être plus élevées que prévues initialement dans la Loi des Finances.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Jiro-Ve travaille aujourd’hui avec des franchisés préalablement formés, qui louent plus de 7 000 lampes LED permettant à 35 000 personnes, d’avoir accès à un éclairage propre, bon marché, écologique et sans danger pour la santé. Ayant atteint ses objectifs, ce projet (co-financé à hauteur de 75 000 euros par le programme ENERGIES de la Commission de l’Océan Indien) a été clôturé avec un mois d’avance. Clés du succès. Jiro-Ve installe chez ses franchisés des panneaux solaires pour recharger les lampes. Une fois rechargées, ces lampesd’une autonomie de 8 à 24 h, sont livrées chez les usagers en fin de journée, moyennant Ar 200 par lampe. La moitié du prix d’une bougie, et bien moins que le prix du pétrole lampant, les deux sources d’éclairage habituellement utilisées par les ménages n’ayant pas accès à l’électricité. Le franchisé touche alors une commission d’environ 30% sur chaque lampe louée.

Arh. dans NewsMada
La Jirama enregistre 30% de pertes dans sa production. 20% proviennent de la mauvaise gestion relative aux actions humaines. Des pertes équivalant à 150 milliards d’ariary

Rakoto dans NewsMada
Depuis 2010, la fraude fiscale est qualifiée par le Service de renseignements financiers (Samifin) comme l’infraction sous-jacente au blanchiment d’argent les plus courantes à Madagascar dont le montant est le plus élevé. A ce sujet, en 2014, 53 milliards d’ariary (plus de 16 millions d’euros) ont été enregistrés.  (..) L’opérateur en infraction crédite un compte domicilié à Madagascar pour ensuite le débiter à l’étranger. Il est à souligner que cette  opération fait partie des fraudes fiscales et douanières. Certains réinvestissent l’argent obtenu des exportations illicites de ressources naturelles dans des Produits de première nécessité et des matériaux de construction importés dans la Grande île.

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