The Anosy Region is located in the south/south-east of Madagascar with a total population of about 671,000 inhabitants over an estimated area of 30,198 km2 . It covers three districts namely Amboasary Atsimo, Betroka and the county seat of Taolagnaro Region. In 2013, the GDP per capita was estimated at USD 322 per capita, while the national average was USD 391 per capita1 . Although this region is home to one of the country's largest extractive industries and has abundant natural resources, it is one of the poorest in Madagascar as manifested by the staggering level of food insecurity and the high rates of acute and chronic malnutrition among children under 5 years old in Amboasary Atsimo District. This district (see opposite map, in yellow), located between the Betroka and Taolagnaro Districts, has approximately 160,000 inhabitants, representing about ¼ of the total population of the Anosy Region and a relatively low density of 15 inhabitants/km2 . The southern part of Amboasary District is characterised by the presence of sisal plantations that have limited the space for household agriculture, while the northern part is predominantly composed of small household farms (in the Mandrare River valley and its tributaries), vast expanses of grazing areas for cattle, sheep and goats, and small-scale mining activities. The levels of poverty, chronic food insecurity, and moderate to severe acute malnutrition have been exacerbated by insecurity in the form of cattle (zebu) theft and killings. The northern part of Amboasary Atsimo District has borne the brunt of this insecurity. In 2015, over a dozen national and international humanitarian and development actors were operating in the Amboasary Atsimo District. Considering this context, the intervention of the Red Cross and Red Crescent Movement, through the Malagasy Red Cross Society (MRCS) and the International Federation of Red Cross and Red crescent Societies (IFRC) in the implementation of the FIHAVOTSE food security project is more than justified.
Antsa R. dans Midi Madagasikara
250 acteurs dont 184 maires se réunissent au Carlton Anosy pour la capitalisation des expériences. Inclusivité, transparence, état de droit, efficacité et efficience, sont les avantages du budget participatif, d’après les témoignages.... « Avec 9 millions d’Ariary, nous pouvons réaliser des travaux jusqu’à une valeur de 24 millions d’Ariary, grâce à la participation des bénéficiaires, depuis la conception du projet jusqu’à son exécution »
Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
Le personnel médical est défendu d’effectuer l’interruption volontaire de la grossesse (IVG) thérapeutique à Madagascar. Les articles 22 et 23 sur l’interruption médicale de grossesse ont été supprimés de la loi sur le planning familial. Ceci a été adopté par les parlementaires à l’Assemblée nationale de Tsimbazaza, hier, durant la séance plénière. (..) Les médecins sont sidérés. « Mais cela va coûter la vie à certaines mères ! », se sont exprimés quelques gynécologues.
Sa dans La Gazette de la Grande Ile
Pour la première fois donc, le secteur industriel sera encadré par des textes législatifs dont l’objectif global est de porter de 16 à 25 % la part du secteur secondaire dans le PIB. (..) Sous Philibert Tsiranana, la politique du ventre se matérialisait par les aménagements hydro-agricoles et l’industrialisation d’import substitution aux importations dont certaines unités comme la Savonnerie tropicale continuent aujourd’hui de produire. A la fin des années 70, Didier Ratsiraka s’était déjà engagé dans la politique des investissements à outrance. Madagascar croule sous ses éléphants blancs. Aussi louable soit-elle, l’iniative aboutit à la crise de la dette. Après la douloureuse période de stabilisation de l’économie avec le FMI et la Banque mondiale, la Grande Ile s’ouvre aux investissements étrangers et se dote pour la première fois d’un code des investissements et de lois sur la zone et les entreprises franches. C’est depuis que l’industrie textile s’est développée. Sous Marc Ravalomanana, on présentait la politique d’exonération comme la panacée. En réalité, cela favorisait plutôt les activités de son groupe Tiko et parfois au détriment des rares unités industrielles du pays.
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