Antsa R. dans Midi Madagasikara
A noter que le Japon figure parmi les acteurs très actifs dans le secteur des mines et du pétrole à Madagascar. Outre les investissements comme dans le projet Ambatovy, ce pays octroie également des appuis pour le renforcement de capacité des techniciens du ministère dans différents domaines comme la télédétection. Par ailleurs, nos techniciens bénéficient également des formations périodiques dans un centre de formation japonaise, basé au Botswana.
Racl.R dans La Nation
Récemment, les nouvelles sur la suspension des licences d’exploitation des abattoirs ainsi que l’exportation de zébus à l’étranger ont résonné dans tous les médias. D’après les explications du ministre de l’Elevage Anthèlme Raparany, « tout investisseur voulant exporter de la viande, doit procéder à l’élevage en amont et son quota d’exportation sera connu à partir de sa capacité de production. Il faut ainsi mettre un système de [farming] et de [ranching ] avec un système d’amélioration de race ». (..) Le cheptel bovin est estimé à 9 à 9,5 millions de têtes et que l’exportation autorisée est de 120 têtes de zébus par jour.
Racl.R dans La Nation
La FAO et le ministère de l’Elevage ont procédé hier au siège de la FAO, à la signature de l’accord de financement pour un « Technical Cooperation Programme » (TCP) pour l’appui à la promotion de la filière « petits ruminants » (ovins et caprins) financé par l’organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’agriculture ou FAO à hauteur de 316 000 USD pour une durée de 2 ans.
Riana Rakotoarisoa dans Newsmada
Madagascar dispose d’environ un cheptel de 9 millions de zébus avec un taux de croissance annuelle de 0.8%. Le ministère de tutelle compte formaliser les exportations de viande de zébu actuellement dans le cadre du projet Bonne viande malgache (Bovima). (..) Avant 1997, année au cours de laquelle l’Union européenne a suspendu l’autorisation permettant à Madagascar d’exporter la viande bovine pour une question de normes et d’hygiène, le quota de produits d'origine animale demandé auprès de Madagascar a été de 7.500 tonnes, mais le pays n’a pu exporter que 3 500 tonnes en raison des problèmes de normes et d’approvisionnement
Kit Buchan dans The Guardian
Madagascar's fishing villagers learn to survive by managing their stocks. (..) Unsurprisingly, the villagers of Andavadoaka had mixed feelings when Blue Ventures suggested closing one of their fishing grounds. Nevertheless, they agreed to a trial closure for a few months in 2004. “When we opened it they caught 1,200kg of octopus in one day,” recalls Gildas Andriamalala, who joined the project as a student researcher. (..) “Today you’ve got in excess of 11% of Madagascar’s coastline under local protection,” says Harris [Alasdair, biologist with the organisation Blue Ventures]
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