Ecofin dans Tribune de Madagascar
StratMin Global Resources Plc, possédant deux licences minières de 40 ans chacune sur le graphite à Loharano et Antsirabe, a vendu 48 tonnes de graphite en décembre 2014 (..) StratMin Global Resources a accéléré ses efforts dans ses projets et est sur le point de découvrir une importante minéralisation de graphite, au-delà du gisement principal du projet Loharano couvrant 12,5km2.
R. Eugène dans Midi Madagasikara
« 1298 sociétés et 23 nouvelles entreprises franches dont une branche d’une grande parfumerie internationale ont été créées. 3 sociétés ont obtenu leur arrêté dans le cadre du programme national Ethanol dont deux investissent dans la production d’éthanol et une dans la distribution. Trois zones industrielles dont une à Tamatave, une à Toliara et une à Moramanga ont été créées. La quatrième zone industrielle sera bientôt à Majunga. 7 entreprises franches ont réintégré l’AGOA. On a élaboré la politique industrielle de Madagascar. »
Racl.R dans La Nation
... car « le code pétrolier et le code minier est en cours de toilettage ». Les retombées économiques seront énormes. D’après un petit calcul sur l’estimation des recettes fiscales basée sur l’actuel taux de redevance minière avoisinant les 2%, d’ici 2020 les recettes fiscales pourraient atteindre 150 millions de dollars... Loin de vendre le pays aux étrangers, une des meilleures options qui s’offrent à Madagascar c’est de créer un environnement propice à l’investissement. « Ceci favorise l’augmentation des recettes fiscales, des revenus d’exportation, des possibilités d’emploi, ainsi que le développement des infrastructures, notamment dans les zones rurales, et le transfert de technologie aux pays hôtes », explique la banque dans un de ses rapports en 2013 concernant les avantages que gagnera la Grande île en mettant le secteur minier au centre de son développement.
Noella Rakoto dans Newsmada
De 1.800 tonnes en 2011, la production de vanille malgache n’a cessé de régresser, passant à 1.200 tonnes en 2012 et avec une prévision de moins de 1.000 tonnes pour 2013. C’est seulement en 2014 que la filière a connu un léger élan. Pour ce qui est du prix de la vanille verte, il se situe entre 9.000 et 18.000 ariary contre 60.000 à 160.000 ariary pour la vanille sèche. Ces produits sont destinés à être exportés vers l’Europe et les Etats-Unis. Néanmoins, la France figure parmi les premiers pays importateurs de vanille au monde. En 2014, l’Hexagone a importé au total à travers le monde, près de 2.260 tonnes de vanille contre 798 tonnes pour les Etats-Unis.
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