R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
90% des raphias bruts sont exportés, dont la plupart en Europe, en Asie et en Amérique. Et les restes 10% qui sont en général des produits de deuxième qualité et de mauvais état sont destinés aux artisans malagasy. (..) Notons que le Nord de la Grande île est le grand ravitailleur du raphia à 75% de la production mondiale, et 44% du besoin local. A titre d’information, la culture de raphia s’étend sur une surface de 50.000 Ha répartie dans toute l’île et qui produit près de 3.000 à 4.000 tonnes par an dont 1.700 tonnes proviennent de la région de Majahanga et d’Antsiranana, quelques 1.100 tonnes venant de Fianarantsoa et Toliara, 400 tonnes de Toamasina et 200 tonnes pour Antananarivo. Sachant que le raphia est une fibre provenant des feuilles d’un palmier appelé « raphia ruffia » ou « raphia farinifera », de la famille des arécacées qui poussent dans les zones marécageuses de la moitié Nord de Madagascar.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’Appui au Développement Social Urbain de la commune de Diégo-Suarez, un Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques sera mis en place. (..) « Une partie de ce fonds servira à financer la formation des bénéficiaires à développer leurs projets. Une autre partie sera allouée à subventionner leurs projets telle que l’acquisition des petits équipements. Entre-temps, le FAIE permettra également de constituer un fonds de garantie afin de faciliter l’accès aux micro-crédits. Il ne faut pas que la mise en place de ce fonds concurrence les institutions de micro-finance en place », a-t-il [Charlot Razakarivelo, le directeur général de FIDEV] soulevé.
Noella Rakoto dans Newsmada
Selon la déclaration d’un responsable du ministère, « 3 unités de production viennent d’ouvrir leurs portes à Brickaville, à Analanjorofo et à Toamasina. Ces trois industries produisent en moyenne 600 litres d’éthanol par jour lesquels sont essentiellement écoulés sur le marché local ». Ces unités de production se développent tellement qu’elles font actuellement vivre près de 500 personnes.
Georges R. dans Newsmada
Les petites et moyennes entreprises (PME) dans le secteur Bâtiment et travaux publics (BTP) ont le plus souffert des cinq années de crise à Madagascar. 70% d’entre elles ont dû fermer leurs portes à cause de l'instabilité politique traversée par le pays, indique la Confédération nationale des PME en BTP à Madagascar. (..) Si en 2008, seulement 10% du chiffre d'affaires du secteur BTP reviennent aux PME, ce pourcentage est actuellement réduit à zéro.
Lanto Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Négociation commerciale. Gestion hôtel-restaurant. Création d’entreprises. Ce sont les titres des trois ouvrages dont l’auteur est Christian Alphonse Razafimbahiny, un ingénieur sortant de la grande école HEC et sénateur de la Jeune chambre internationale.
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