Mikama - June 6, 2016

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
En 2015, sur les 484 entreprises étrangères créées, 168 sont chinoises, suivies de près par les entreprises françaises avec 110 nouveaux établissements. (..) « En 2015, le volume du commerce bilatéral a atteint 668 millions de dollars, soit une augmentation de 35 fois par rapport à 1990. Aujourd’hui, le nombre d’entreprises chinoises venues investir à Madagascar est plus de 1400, dont le montant d’investissement est de l’ordre de 739 millions de dollars », avait déclaré Yang Xiaorong, Ambassadeur de Chine à Madagascar

Riana R. dans NewsMada
Madagascar doit remettre un rapport définissant les avancées des mesures prises pour la lutte contre le trafic des bois précieux, essentiellement du bois de rose dans le pays, le mois de juillet prochain, à la Convention internationale des espèces des faune et flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Celle-ci décidera de la levée ou non de l’embargo sur l’exportation de bois de rose et de bois d’ébène, lors de la réunion du comité permanent, au mois septembre. «Dans la mesure où Madagascar n’a pas fourni des efforts significatifs par rapport aux mesures d’assainissement de la filière bois précieux, le moratoire peut s’étendre à d’autres espèces», a affirmé une source proche du sujet.

Dans Madagascar Tribune
Aussi au niveau du fisc, Ambatovy paye à part la redevance 1-2% une quarantaine autres impôts, droits et taxes d’une valeur de 2.000 milliards d’ariary l’année. Le Nickel exporté par Ambatovy est le premier produit d’exportation de Madagascar qui représente 3% du marché mondial du Nickel. (..) Ambatovy informe qu’il fait travailler 3 000 paysans et fournisseurs et emploie directement 9000 personnes.

Arnaud R. dans Midi Madagasikara
l’ONN poursuit ses efforts dans la lutte contre la malnutrition à Madagascar. Ainsi, dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’appui d’urgence aux services essentiels d’éducation, de nutrition et de santé (PAUSENS) financé par la Banque Mondiale, l’ONN, par le biais de ses bureaux régionaux, a mis en marche depuis 2015, un projet visant à améliorer le niveau de vie des paysans. Il s’agit d’un projet relatif à la promotion de la sécurité alimentaire en milieu rural, en offrant gratuitement aux paysans préalablement sélectionnés, des animaux d’élevage. La principale condition d’acquisition de ces animaux pour les ménages répond au critère de vulnérabilité.

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