Mikama - June 8, 2016

Dans Midi Madagasikara

Madagascar n’a pas connu de monnaie qui lui soit propre. Les signes monétaires utilisés étaient alors constitués par des pièces d’argent européennes ou sud-américaines. Le code des 305 articles, promulgué le 29 mars 1881 sous le règne de Ranavalona II, déterminait officiellement la liste des monnaies admises dans la circulation: « les piastres quelles qu’elles soient: Ngita (piastres espagnoles), Tanamasoandro (piastres mexicaines), Tsangan’olona (piastres françaises), Tokazo (piastres boliviennes), Malamakely (pièces du Consulat et du 1er empire), Behatoka (pièces à l’effigie de Louis XVIII) ou Tombotsisina (pièces de l’Union latine, doivent être acceptées au même taux et échangées de même du moment qu’elles sont de bon aloi ».

FR dans Madagascar Matin

La valeur de l’exportation textile de Madagascar vers les Etats-Unis dans le cadre de l’Agoa a plus que doublé en une année. En effet, si la valeur de l’exportation des produits textiles de la Grande Île vers le pays de l’oncle Sam était de 6 millions de dollars le premier trimestre de 2015, cela a atteint 16 millions de dollars le premier trimestre de cette année. A titre de rappel, le pays a occupé la première place des pays exportatrice de l’Agoa en 2008.


Lova Rafidiarisoa et Helifetra Randriaminovololona dans L'Express de Madagascar

À l’horizon 2020, le groupement estime à 200 000 le nombre d’emplois créés dans le textile... À présent, il existe cent cinq mille employés au niveau de ces entreprises. (..) Au Centre de formation professionnelle (CFP) Ambohidratrimo, plus de trois cents apprentis suivent des formations intensives dans le métier de l’industrie textile. « 90% sont des femmes et des jeunes filles...

Tiasoa Samantha dans La Vérité

En 2008, le taux de malnutrition chronique chez les enfants était de 50,1 % d’après l’Eds (Enquête démographique et de santé), soit la moitié des enfants malagasy. D’après les explications des responsables au sein de l’Onn, ces enfants vont porter les séquelles de ce problème nutritionnel jusqu’à la fin de leur vie. Près de la moitié des adultes malagasy sont donc sujets à une carence physique et psychique. De même, 47,3 % des enfants malagasy étaient victimes de malnutrition en 2012.