A l’horizon 2030, Madagascar vise une réduction de l’ordre de 14% de ses émissions de gaz à effet de serre, l’augmentation de la capacité d’absorption de carbone de 32%, et le renforcement des actions d’adaptation, dans une optique de développement durable.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le ministère des Ressources Halieutiques et de la Pêche vient d’élaborer d’une manière participative un 3e Plan d’Aménagement des Pêcheries (PAP) après ceux de la Baie d’Antongil et de la région Melaky, et ce, avec l’appui des partenaires techniques et financiers. Il s’agit d’un plan servant comme son nom l’indique, à aménager une zone maritime BATAN couvrant les Baies d’Ampasindava, de Tsimipaika, d’Ambaro et l’archipel de Nosy-Be. Ayant une superficie totale de plus de 13 950 km². Cette zone maritime s’étale spatialement sur quatre districts de la région de DIANA, à savoir Diego II, Ambilobe, Nosy-Be et Ambanja. (..) Notons que les ressources concernées par ces mesures d’aménagement sont notamment les mulets, les crabes, les crevettes, les maquereaux de l’Inde et les sardinelles. La Baie d’Ambaro se démarque par la pêche aux crevettes côtières et aux crabes de mangroves tandis que la Baie de Tsimipaika se caractérise par la pêche aux poissons démerseaux. La Baie d’Ampasindava, quant à elle, qui est plus riche en récifs coralliens qu’en mangroves, est marquée par la pêche de gros pélagique.
Sylvia R. dans La Gazette de la Grande Ile
La pratique est interdite à Madagascar, parce qu’elle est sanctionnée par la loi Malagasy d’après l’article 317 du code pénal. 75.000 avortements par an sont enregistrés dont 575 personnes perdent la vie, selon les statistiques données par le MINSAN.
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