Mikama - Apr 11, 2018

Dans Relief Web
Known as typhoons in the Pacific, cyclones are characterised by storms, torrential rain and strong winds. They vary in intensity and can be categorised into five strengths – one being the weakest (with a wind speed between 119 - 153 km/h) and five the strongest (wind speed of at least 250km/h). The impact, both short and long term, is devastating. A great deal of the population and economy relies on agriculture which, most of time, gets destroyed in cyclones. The majority of the country’s population, more than 65%, also live in rural areas which become inaccessible when the storms hit and destroy the weak infrastructure. (..) According to our research cyclone Ava has caused about USD$ 130 million of damage and USD$ 156 million in losses. This accounts for 2.9% of the country’s 2017 GDP. Considering the national GDP growth averages about 2.5% GDP each year, this is very high. All the economic growth made over a year is blown away by one disaster.

Mirana Ihariliva dans L'Express de Madagascar
« L’objectif premier de l’AFE est de rendre le commerce transfrontalier plus rapide, moins cher, plus prévisible tout en garantissant sa sécurité à travers la transparence », explique Dina Rabenandrasana, chef du service des actions économiques de la douane. L’accord est donc constitué d’une vingtaine d’articles que les pays signataires doivent respecter. Entre au­tres, sur le plan de la transparence où chaque membre devra mettre en ligne, à disposition des opérateurs, les informations concernant les procédures d’import et d’export en vue de les faciliter en plus de la mise en place des paiements électroniques, toujours pour plus de rapidité et de sécurité dans les procédures douanières. Selon le rapport doing business de l’année dernière, le dédouanement import à Toamasina se totalise sur une moyenne de 17.4 jours avec un coût moyen de 595 dollars actuellement.

Malalanirina dans La Gazette de la Grande Ile
Le marché du travail à Madagascar rassemble trois secteurs principaux tels que l’agriculture fournissant 80% des emplois, le secteur moderne public et privé avec 12,5% des emplois et le secteur informel non agricole avec 7,5% des emplois. Les ¾ de la population sont des petits exploitants agricoles dont 90% en milieu rural. (..) En se focalisant sur le secteur moderne, celui-ci se caractérise par la proportion d’emplois salariés non protégés puisque 75,2% des travailleurs salariés ne bénéficient pas des avantages des régimes de protection sociale. 31,4% des emplois rémunérés se situent en dessous du salaire minimum. Pour les emplois informels, l’on constate la poussée d’une pluriactivité des actifs pour pouvoir mieux s’adapter aux effets du chômage et du sous-emploi, surtout en milieu urbain. Dans le domaine de la formation professionnelle, l’on remarque également que 94% des travailleurs n’ont pas eu de formation professionnelle. Seulement 3% des agriculteurs et 13% des indépendants du secteur non agricole ont suivi une formation.

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