Les coopératives d’apiculteurs continuent d’exporter du miel. Celle d’Ankazoharatra Vohilengo Farafangana, comptant aujourd’hui 206 ruches, ambitionnent d’entrer dans ce créneau. (..) Dans cette localité, chaque ruche produit en moyenne 7 litres par saison à raison de 8.000 ariary par litre. Il est en outre possible d’obtenir jusqu’à trois récoltes annuelles, soit deux fois plus que la norme internationale qui se contente d’une seule. (..) L’an dernier, Madagascar a pu en exporter 26 tonnes vers la France, la Réunion, Maurice, le Japon, les autres pays membres de l’Union européenne et vers les Etats-Unis, selon les statistiques du ministère en charge de l’élevage. Frappés d’interdiction d’exporter vers le marché européen depuis 1996, les opérateurs de la filière malgache n’ont pu reprendre leurs activités qu’en 2012
Miangaly Ralitera dans L'Express de Madagascar
L'Union Européenne a financé ce projet à hauteur de 190 000 euros. Il a été mis en œuvre par l'association SOS Villages d'enfants. Depuis le lancement de ce projet, en 2016, six associations, composées d’environ mille femmes légales et opérationnelles, sont recensées. Vingt et un mille enfants, dont les 51% sont des filles, ont obtenu leur copie d'acte de naissance. Deux cent quarante Activités génératrices de revenu (AGR) ont été mises en place pour l'émancipation et l’amélioration de la situation d’indépendance des femmes. Plus de vingt mille consultations médicales, dont les 68% concernent des filles et des femmes, ont été réalisées auprès des centres de santé de Protection familiale et infantile de SOS Villages d'enfants.
Navalona R. dans Midi Madagasikara
D’où, le lancement de « Sayna » en novembre 2017. Nous avons ensuite mené une campagne de ‘crowdfunding’ le 20 janvier 2018 afin de démarrer le projet car nous ne disposions pas de capital. Une somme de près de 5 000 Euros a été ainsi rassemblée alors que l’objectif était d’avoir 4 000 Euros via une levée de fonds. Ce qui nous a permis d’acquérir des équipements informatiques et de payer le coach mentor vidéaste», a-t-elle soulevé. Pris en charge. Parlant de son projet proprement dit, l’objectif consiste à proposer des formations digitales accélérées surtout de développeurs pour une durée de quatre mois à tous les jeunes de plus de 18 ans, et ce, sans aucun critère. « <em>Nous assurons ensuite leur placement au niveau des entreprises partenaires au bout de leur formation. Le futur employeur assumera une partie du coût de la formation. L’étudiant remboursera sa part une fois qu’il touchera son premier salaire. Nous travaillons en collaboration avec « The Hacking Project qui prend en charge le coût de la formation. En outre, nous sommes hébergés chez l’entreprise solidaire P4H (Passion For Humanity », a expliqué Matina Razafimahefa, la dirigeante de la start-up « Sayna ». Douze étudiants suivent cette première session de formation en ce moment.
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