« En moyenne, les enseignants n’ont obtenu que 24 points sur 100 en pédagogie, traduisant leurs difficultés à préparer correctement un plan de cours (34%), à évaluer correctement l’écriture des enfants (18%) et à utiliser les scores des élèves au test pour tirer des conclusions sur les modes d’apprentissage en classe (9%)», indique l’étude. Pire encore, nos enseignants affichent non seulement des faiblesses dans la pédagogie et de la connaissance mais sont aussi des abonnés à l’absentéisme. D’après cette étude, les élèves ne bénéficient que de 39% du temps d’enseignement prévu... les élèves affichent une meilleure performance. Contrairement à leurs enseignants, ils ont de meilleurs résultats en mathématiques (57%) qu’en français (44%).
Navalona R.. dans Midi Madagasikara
L’Agence Malagasy de Développement Economique et de Promotion des entreprises (AMDP) a été créée conjointement en juin 2016 par le Conseil National d’Orientation du 16e Sommet de la Francophonie et le Forum Francophone des Affaires suite à la tenue de cet événement dans le pays. « Il s’agit d’un projet pilote de l’Organisation Internationale de la Francophonie. Sa réussite sera dupliquée dans l’espace francophone composant 84 pays membres » ... « Saha Sekoly ». Cette plateforme initiée et gérée par l’AMDP en collaboration avec le gouvernement, le secteur privé et les autres partenaires bilatérales et multilatérales, constitue un centre de formation professionnelle multidisciplinaire et plurisectorielle dédié à la population du site, en particulier les jeunes et les femmes, où le centre est installé
Sera R. dans NewsMada
«Actuellement, 30% des étudiants en technologie d’innovation, notamment le numérique, sont de la gent féminine dans les établissements supérieurs à Madagascar». On peut dire qu’il y a une nette amélioration car ce taux était de 10% seulement il y a une dizaine d’années de cela.
Arh. dans NewsMada
Le tissu économique de la région sud-est de l’île est basé sur le secteur primaire. La région Atsimo Atsinanana en particulier est connue pour ses produits de rente en l’occurrence le café, le girofle et le poivre. «Aujourd’hui, la majorité des petits ou grands exploitants investissent dans la culture de girofle» (..) Depuis peu, la région Atsimo Atsinanana s’est également intéressée à la culture de vanille. L’année dernière, elle a produit environ 50 tonnes de vanille verte.
Arh. dans NewsMada
La Grande île compte plus d’un millier d’espèces de plantes autochtones, mais aujourd’hui, une grande majorité de ses forêts primaires ont disparu à raison de 30 à 50.000 hectares chaque année. (..) On entend par plantes autochtones les plantes ayant constitué la majorité des forêts malgaches. L’on citera entre autres les arbres connus comme le varongy, le palissandre, l’amontana, l’aviavy, le voara …Aujourd’hui, l’eucalyptus, le mimosa, le cyprès et le pin ont remplacé ces arbres. Ces espèces ont été introduites à Madagascar à l’époque coloniale pour servir dans la production de charbon, de bois de chauffe et de bois d’œuvre étant donné leur croissance rapide. Pourtant selon les résultats d’études présentées vendredi dernier par la FCA et ses partenaires, ces deux espèces réduisent la productivité du sol et de l’eau. L’eucalyptus, originaire d’Australie, possède des racines envahissantes qui peuvent descendre jusqu’à 150 m, et augmente l’acidité de l’eau. Le pin, d’origine canadienne, empêche la formation de couvertures végétales aux alentours de ces racines.
No comments:
Post a Comment