Madagascar importe toujours cette denrée, malgré le fait que la production globale du pays, avec une moyenne annuelle de 3,15 à 3,5 millions de tonnes, soit en mesure de couvrir la totalité du besoin des 23 millions de Malgaches. Celui-ci tourne aujourd’hui autour de 120kg par habitant, soit une consommation tournant aux alentours de 3,22 millions de tonnes par an. La solution réside donc dans la bonne distribution et l’augmentation de rendement au niveau régional.
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
Le Menabe est l'une des vingt-deux régions de Madagascar. Elle est située dans la province de Tuléar, dans le sud-ouest de l'île. Elle est traversée par la Route Nationale 7 (RN7). Elle couvre une superficie de 46.121 Km2 et représente 7,77% de la superficie de Madagascar. Elle est composée de 5 districts à savoir Morondava, Belo sur Tsiribihina, Mahabo, Manja et Miandrivazo. La Région dispose de ressources de sous-sols importantes (gaz naturels, or), des sites touristiques (Allée des baobabs, etc.) et artisanat.
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
6 000 tonnes de cacao chaque année. Cette culture est localisée dans les régions Diana et Sava, au Nord Ouest de l’Île, et particulièrement à Sambirano, dont le centre est la ville d’Ambanja. La production se pratique toute l’année, avec des pics pour les mois de juin-juillet et octobre-novembre. (..) En Côte d’Ivoire, le grand pays producteur de cacao (35% de production mondiale), le gouvernement à travers le Conseil du Café-Cacao, maintient fixe le prix minimum, pour encourager les planteurs. Aujourd’hui, le prix minimum garanti au producteur est fixé à 1100 Francs CFA (1,67 euros) le kilo de fève de cacao.
Nandrianina dans La Gazette de la Grande Ile
La variété X1648 est en effet résistante aux aléas climatiques changeants, explique Rabeson Raymond, chef du département de recherche rizicole de la FOFIFA. Elle supporte notamment le froid, la sècheresse et les crues d’eaux. « Il ne s’agit pas d’une nouvelle variété, elle existe depuis déjà quelques années. Mais sa vulgarisation est relancée face au changement climatique
No comments:
Post a Comment