Mikama - Jan 29, 2016

R.Edmond dans Midi Madagasikara
..  Air Madagascar se trouve actuellement dans une situation d’extrême sureffectif. En effet, pour une petite flotte de 7 avions, la compagnie compte actuellement 1400 employés. Ce qui fait en moyenne 200 personnes par avion. En tout cas, après cette mesure d’assainissement, la compagnie comptera donc environ 1 000 employés. (..) Mais il n’y a pas que le sureffectif qui mine Air Madagascar. Sa flotte qui est déjà très maigre demeure encore sous-exploitée. La norme pour un Airbus A 340 est par exemple de 14 heures de vol par jour, alors que pour Air Madagascar, ce type d’avion effectue en moyenne 9 heures de vols par jour. (..) Selon les précisions de Gilles Filiatreault, les dettes à court terme de la compagnie se chiffraient à 35 millions de dollars en juin 2015. Actuellement, le niveau des dettes a encore augmenté pour atteindre les 76 millions USD.  (..) Pour le long terme, la solution envisagée est la recherche d’un partenaire stratégique. En terme plus simple, il s’agira de vendre à des compagnies aériennes majeures, une partie des actions d’Air Madagascar dont 89% sont actuellement détenues par l’Etat.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Un outil pour évaluer les facteurs-clés déterminant la santé des océans. C’est l’Indice de Santé des Océans (IdSO) lancé par Conservation International (CI) dans le cadre d’un atelier de sensibilisation hier à l’Hôtel Colbert. « Ce qui permet de mesurer la santé océanique de l’échelle mondiale aux échelles locales. Pour le cas de Madagascar, on a un score de 55/100, soit une amélioration comparée à 2013, période à laquelle, on a eu un score de 51/100 ... les scores de cet Indice de Santé des Océans permettent de comprendre non seulement les pressions cumulatives que subissent les mers, mais aussi les facteurs de résilience qui touchent l’état de l’océan. Ils proposent ainsi diverses mesures pour permettre aux décideurs de déterminer l’équilibre approprié des priorités.»

Riana R. dans NewsMada
«L’amélioration du système de passation de marché public reste une priorité pour l’ARMP (Autorité de régulation des marchés publics). La maîtrise de la gabegie est indispensable. L’ARMP doit mettre en avant l’égalité de traitement des candidats et la transparence des procédures ... seulement 15% des marchés dans tout Madagascar sont concernés par le contrôle a priori»

Arh. dans NewsMada
De 140.000 tonnes par an au cours des années 80 à 36.000 tonnes en 1990, la production de haricot dans la Grande île a régressé d'une façon spectaculaire. (..) En 1995, Madagascar a exporté 6.075 tonnes de haricots secs contre la moitié en 2000, et 730 tonnes seulement en 2009. Le marché a quelque peu repris depuis 2011 avec 1.705 tonnes exportées pour atteindre 5.175 tonnes en 2014. Actuellement, la production se stabilise entre 80.000 et 90.000 tonnes par an pour une superficie de 83.000 ha sur toute l'étendue du territoire...

Clarisse Razaiarimanana dans L'Express de Madagascar
 La régression en qualité et en quantité de la pomme malgache persiste, comme on peut le constater dans la région productrice de ce fruit. « On estime à 12 000 tonnes la production de pommes pour la campagne de cette année, dans la région de Vakinankaratra »... En 2015, cette plateforme a estimé la production à 17 000 tonnes. Généra­lement, la production de pommes dans cette région doit varier entre 19 000 et 21 000 tonnes...

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