Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
La Jirama compte actuellement 480 000 abonnés. (..) sa capacité de production d’énergie est de 120 millions de kilowatts. La Jirama enregistre pourtant, une perte de 35 % de production, dont 20 % résultent des index non facturés ainsi que des vols et des fraudes. Cette perte est évaluée à 6 milliards d’ariary.
Sandra Miora Hafalianavalona dans L'Express de Madagascar
Selon ce responsable, l’exportation ne constitue que 10 % du marché et n’affecte pas trop le marché local. « La consommation locale dans tout Madagascar varie entre 900 à 1 000 têtes de zébus par jour. La consommation pour Antananarivo est estimée à 400 têtes par jour alors que nous n’exportons que 120 têtes de zébus par jour. Ce nombre n’affecte pas l’approvisionnement de la population locale »
Dans Le Daily
D’après le communiqué officiel de Snc-Lavalin inc, sa part de 5% a été cédée à Sumitomo pour un montant de près de 600 millions de dollars canadiens. Pour rappel, Snc-Lavalin s’occupait exclusivement de l’ingénierie, de l’aménagement et de la gestion de construction du projet Ambatovy. A la fin du projet le 21 septembre dernier, la société montréalaise a décidé de quitter le bateau.
Dans Zinfos974
... la Grande Ile avait accueilli à la fin août 2015 quelque 150.000 voyageurs depuis le début de l'année, dont 45% d'Européens. Ce qui est loin des 300.000 touristes prévus en début 2015 par les autorités touristiques. En 2014, quelque 220.000 touristes avaient visité Madagascar, loin là encore des 400.000 voyageurs enregistrés en 2009.
Fabien Mollon dans Jeune Afrique
Anja-Z pourrait ainsi faire sienne cette phrase écrite bien plus tard par l’auteur kényan Ngugi wa Thiong’o, grand défenseur des langues africaines, dans Décoloniser l’esprit : « La soumission de l’univers mental du colonisé ne pouvait aller sans la soumission des langues des peuples colonisés aux langues des nations colonisatrices. » Pour rappeler ce contexte, Douna Loup insère d’ailleurs, entre les chapitres, des extraits de journaux de l’époque et de documents coloniaux où suinte la méfiance à l’égard de la culture « indigène ». Rabe, lui, dirait plutôt, comme l’Algérien Kateb Yacine, que le français est un « butin de guerre » : pour le Malgache, « l’envahisseur est peut-être un pont, une façon de rejoindre les cultures, l’universel ».
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