Riana R. dans NewsMadas
Madagascar a avancé de deux places dans le rapport Doing business 2016, publié mardi dernier par le groupe de la Banque mondiale. Le pays est classé au 164è rang, s’il était à la 166è place dans le précédent rapport. (..) Madagascar a reculé de 16 places par rapport au Doing business 2015 concernant la création d’entreprises, rapport où le pays est classé 112è, contre 128è dans le Doing business 2016. (..) Par ailleurs, Madagascar n’a fourni aucun effort dans le domaine du raccordement à l’électricité. Le pays reste au 188è rang comme c’est le cas dans le Doing business 2015. (..) Néanmoins, « Madagascar a renforcé la protection des investisseurs minoritaires en exigeant que les directeurs confrontés à des conflits d’intérêts doivent divulguer la nature de leurs intérêts devant le conseil d’administration », indique ce nouveau rapport.
Dans La Gazette de la Grande Ile
Près de 1,9 million de personnes, représentant 46% de la population de huit régions, sont en insécurité alimentaire parmi lesquelles plus de 450,000 personnes (12% de la population) sont confrontées à une insécurité alimentaire sévère. Les plus forts taux d’insécurité alimentaire se trouvent dans les régions Androy, Anosy (district d’Amboasary) et AtsimoAndrefana (district d’Ampanihy) au sud du pays, où 380 000 personnes soit 30 % de la population sont affectées. La situation dans le sud est due à la diminution significative des productions vivrières.
Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande Ile
Les explications issues du ministère de l’Environnement attestent que ces fumées toxiques qui enveloppent la ville sont dues aux feux de brousse. Ambatondrazaka, Anjozorobe, Moramanga, Ankazoabo autant de sites qui sont touchés par les feux de brousse aux alentours d’Antananarivo. Pire encore, la photographie satellite transmise par le Bureau National de Gestion des Risques et Catastrophes démontre que la quasi-totalité du territoire malgache est touchée par les feux de brousse actuellement.
Donas H.R. dans La Vérité
Entre 2014 et 2015, près de 11 500 tonnes de girofles ont été exportées. Singapour est le premier importateur de clous de girofle de Madagascar en achetant en moyenne la moitié de sa production. Les autres pays comme les Etats-Unis, la France, le Japon et la Belgique importent aussi une quantité non négligeable de girofle de Madagascar. (..) Par rapport à 2014, les exportations de vanille et de girofle ont respectivement augmenté de 69% et 115% durant le premier semestre 2015. (..) La prévision d’exportation de girofle de Madagascar s’élève à 5 000 tonnes. Environ 20 000 planteurs s’intéressent à cette filière et ils exploitent une superficie de près de 80 000ha. Un giroflier a un rendement moyen de 6 à 16 kg de clous par arbre par an. La ville de Toamasina assure la majeure partie de la production de girofle.
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