Navalona R. dans Midi Madagasikara
Terrains coloniaux : Plus de 1 500 000 ha dans les régions à forte potentialité agricole. (..) Ces exploitations coloniales étaient essentiellement dédiées aux cultures de rente, ainsi qu’à la production de céréales comme le riz et le maïs. Les cultures industrielles comme le sisal, le tabac, le coton et la canne à sucre y étaient également pratiquées. Après l’Indépendance en 1960, la plupart des exploitants coloniaux sont rentrés dans leurs pays d’origine. Depuis, certaines concessions sont restées aux mains des descendants des colons...
Y. Lomelle dans La Gazette de la Grande Ile
Nous pouvons citer le cas des littoraux de Toliara comme exemple. Selon Fidiarisoa Salomon un enseignant de l’Université de Toliara, les mangroves sont en danger actuellement. Une situation qui résulte de l’exploitation des salines, des concombres de mer et des spirulines qui ont rendu vulnérable cet écosystème. Et pourtant, des études d’impacts ont été effectuées avant l’introduction de ces exploitations économiques du littoral et on constate quand même que ces activités mettent en danger l’environnement.
Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande Ile
Aviculture: 350 000 Ar/an de bénéfices grâce aux soins. (..) Ce qui signifie que la lutte contre la peste qui affecte les espèces avicoles, sera facilitée d’ici quelques mois. (..) Actuellement, l’IMVAVET qui prépare la célébration de son 20ème anniversaire, propose aux éleveurs 11 vaccins différents pour les volailles, le cheptel bovin, porcin, ovin, etc.
Njara Fih et Cynthia dans Madagascar Matin
Ce phénomène a tendance à prendre de l’ampleur dans la société malagasy et selon une source médicale, cela touche tout autant les hommes que les femmes. Mais le nombre est plus élevé tant chez les personnes mariées que célibataires. Le suicide se manifeste sous plusieurs formes dont la plus fréquente se traduit par l’ingurgitation de produits considérés comme toxiques tels les insecticides ou encore des raticides ainsi que l’absorption de dose excessive de médicaments. Depuis le début de cette année, l’hôpital Hjra d’Ampefiloha a accueilli à peu près dans les 500 suicidaires dont une dizaine est arrivée à sa fin. Le résultat dépend en effet du temps d’intervention.
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