De fait, dès les années 1990, le pays a mis en place un plan d’action environnemental, à la demande de la Banque Mondiale, mobilisant des institutions internationales et de grandes ONG de conservation. Il a développé des aires protégées (Environ 1 700 000 Ha dans les années 90, pour atteindre 6 millions d’hectares répartis en 123 aires en 2015.) et il est devenu un véritable laboratoire des techniques de préservation de la biodiversité et des milieux naturels.
Source : Sciences au Sud - Le journal de l’IRD - n° 83 - juin à octobre 2016
Dans La Gazette de la Grande Ile
En effet, Madagasikara s’est engagé à augmenter d’au moins 0,1% du PIB (soit 36,0 milliards Ariary) ses dépenses sociales pour l’année 2017 par rapport à 2016. Les dépenses publiques totales atteindront 6560,0 milliards Ariary en 2017 contre 5161,6 milliards Ariary en 2016 (soit une hausse de 26,9%), dont 3666,8 milliards Ariary seront allouées aux dépenses courantes des Institutions et Ministères, et 2881,9 milliards Ariary en investissements publics. L’augmentation de ces derniers est très significative de l’ordre de 73,4% par rapport aux dépenses programmées dans la LFR 2016.
Fahranarison dans NewsMada
Une alimentation non équilibrée. C’est la source de la malnutrition chronique, affectant un enfant sur deux, avec un taux de 47,3% à Madagascar. (..) Avec plus de deux millions d’enfants de moins de cinq ans concernés par ce fléau, dont les conséquences ne manquent pas de porter atteinte au développement du pays, à cause de la défaillance de son capital humain, le pays risque de payer le prix fort... Un investissement de un dollar dans la malnutrition chronique pourrait nous rapporter cinq dollars en termes de retombées économiques, soit cinq fois plus du budget initial. Tous les acteurs et les partenaires techniques et financiers sont appelés à contribuer dans l’atteinte de l’objectif, qui consiste à réduire le taux de malnutrition chronique jusqu’à 32% d’ici cinq ans.
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