Navalona R. dans Midi Madagasikara
Le plateau de l’Horombe est reconnu par ses vastes étendues de terrain inexploitable depuis des années. D’aucuns se demandent si cette zone est favorable à l’agriculture à grande échelle ou à la création d’une nouvelle ville. Pour ce faire, l’existence de source d’eau constitue la condition sine qua none. Les études géologiques et les investigations hydrogéologiques menées par Rahobisoa Jean-Jacques, un étudiant en Hydrogéologie – Sciences de la Terre au sein de la Faculté des Sciences, depuis 2006 jusqu’en 2011 ont abouti à un résultat concret. En effet, « nous avons découvert un réservoir d’eau souterraine d’une quantité de plus de 600 millions et 1 milliard m3 par an, alors que les besoins en eau de la population dans la zone de l’Horombe sont estimés à 70 millions m3/an. Leur profondeur varie en moyenne entre 45 et 60 m », a annoncé l’Impétrant lors de la présentation de son thèse tout récemment.
Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« De grands changements ont été pris en matière de fiscalité afin d'asseoir un climat des affaires attrayant à Madagascar. L'impôt sur le revenu intermittent et la TVA ont été supprimés pour les maisons de réassurance car, l'existence de ces taxes pénalise leurs activités. Madagascar figure parmi les rares pays qui les appliquent encore dans ce domaine », a expliqué le Grand argentier, Lantoniaina Rasoloelison.
(...) . « Pour les sociétés multinationales, il a été décidé que les impôts qui sont prélevés à l'extérieur ne le seront plus ici, et vice-versa. Notre objectif étant toujours d'instaurer un cadre favorable à l'entrepreneuriat », a poursuivi ce haut responsable.
(...) « La suppression de ces impôts présente des impacts sur les recettes fiscales. Mais ces mesures sont déjà prévues dans le cadrage macroéconomique élaboré par différents acteurs. D'autres facteurs qui pourront financer le déficit, comme la reprise des activités économiques, qui entraînera une hausse des recettes en matière de TVA, et le retour des aides budgétaires sont pris en compte », a confirmé le ministre Lantoniaina Rasoloelison.
Arh. dans NewsMada
La compagnie pétrolière britannique Sterling Energy Plc a annoncé, le 4 décembre dernier, avoir finalisé son accord d’amodiation avec la société australienne Pura Vida Energy sur le bloc pétrolier offshore situé à Ambilobe sur une zone de 17,650 km2. L’amodiation consiste en l’attribution d'une participation dans une propriété pétrolière ou gazière en échange de travaux exécutés sur la propriété.
(...) Selon l’accord d’amodiation, Pura Vida paiera, entre autres, 1,25 million de dollars de coûts antérieurs à Sterling et financera l’acquisition et le traitement des données sismiques 2D sur 1 000 km et 3D sur 1 250 km2. Sterling Energy conserve son statut d’opérateur du bloc avec 50 %. La licence qu’elle détient expire en septembre 2015, mais aucun travail d’envergure n’a encore été effectué à ce jour.
Arh. dans NewsMada
Le ministère de Fiances et du Budget a enregistré cette année un gap de 258 milliards d’ariary pour les finances publiques. Apparemment, les importations massives effectuées par les opérateurs informels figurent parmi une des raisons principales. En effet, les importateurs n’ayant pas de numéro d’identification fiscale (NIF) effectuent des transactions sans payer les taxes nécessaires. Les importations sont pourtant destinées à la commercialisation.
Pour combler ce gap, les finances publiques adoptent de nouvelles mesures incluses dans la loi des finances 2014. Parmi ces mesures figure le paiement des impôts sur les revenus (IR) intermittents. Les opérateurs en importation paieront une taxe de 5 % de la valeur des produits, outre les frais de dédouanement. Même les importateurs ne disposant pas de NIF sont concernés par cette décision, comme l’a précisé hier le ministre des finances et du Budget, Lantonianina Rasoloelison.
Hade'nah dans La Nation
Le directeur général du ministère de la Population et des affaires sociales, Jaona Andriamboahangy rapporte que « 46,5% des femmes victimes de violences, pensent que l’acte qu’on leur inflige, est tout à fait normal. Elles refusent de porter plaintes et n’admettent pas de dévoiler aux autorités compétentes leur cas ».
L’impunité des agresseurs des femmes demeure un problème à abolir dans cette lutte. (..) Laure Rabetokotany. « Nous avons reçu 500 doléances à peu près au cours de l’année 2012 mais en cette année 2013, ce nombre a vu une hausse considérable allant jusqu’à 1500. La consultation, le traitement et l’accompagnement des victimes figurent dans nos actions », fait remarquer cette responsable au sein de l’ACAT.
Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
L’institut Jeanne d’Arc ouvre ses portes et s’ajoute aux centres d’enseignement en ligne, ou e-learning, afin de mettre à la disposition des jeunes Malgaches, une formation reconnue à travers le monde, utilisant les nouvelles technologies. Il veut ainsi mettre en place une nouvelle base d’unités qui s’appliqueront à l’évolution du monde des affaires.
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