La signature de la Charte relative à l’accès à l’information et au partage de connaissances a été lancée officiellement hier à l’hôtel Ibis Ankorondrano. Près d’une trentaine d’entités a été invitée à cette cérémonie, mais 26 ont signé la Charte, à l’exemple du Trésor public, ministère du Commerce, Samifin, Bianco, Chambre de commerce et d’industrie, ministère des Mines, l’ONE, Archive nationale, Académie Malagasy, FJKM, etc., bref, des organismes disposant d’informations publiques. Comme par hasard, les organisations disposant d’informations économiques n’ont pas encore signé la Charte. L’Institut national de la statistique, la Banque centrale, les services des impôts et des douanes ont pourtant été invités à la cérémonie de lancement de la signature. Pour d’autres, signer cette Charte est une évidence. « Cela coïncide déjà avec nos engagements. Notre site www.cnlegis.gov.mg a déjà été lancé en juin 2012, pour faciliter l’accès à l’information publique. On y trouve toutes les références et les états des textes de loi depuis 1897, ainsi que les corps de ces textes », a affirmé Stefana Rakotomanga Andrianarivonasolo, directeur du Centre national LEGIS au sein de la Primature.
Fanjanarivo dans La gazette de la Grande-Ile
A Madagascar, les villes sont, entre autres, génératrices de croissance et d’emplois puisqu’elles représentent environ 3/4 du PIB national. (..) Avec un budget annuel 7 fois moins que celui de Dakar, la ville d’Antananarivo ne peut dépenser que l’équivalent de 4 dollars ou 8 000 Ar par habitant par an. Ce n’est même pas le prix de 3 litres de gasoil, alors que le Service autonome pour la maintenance de la ville d’Antananarivo (SAMVA) a besoin d’un millier de litres de gasoil par jour pour évacuer les ordures en cette période de fêtes de fin d’année. Dès 2007 déjà, Antananarivo est perçue comme une des villes les plus sales du monde par le classement Mercer human resource consulting.
Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
Droits des enfants, lutte contre la violence, grossesse précoce, lutte contre la corruption et droits de l'homme. Ce sont les principaux thèmes qui devraient figurer au programme à la prochaine rentrée scolaire dans les lycées, d'enseignement général et technique.
« Nous avons encore des difficultés sur les normes sanitaires, l’assainissement du commerce intérieur, les contraintes de l’offre, les normes, les exigences des prix européens, et même le processus d’abaissement tarifaire qui diminue nos recettes publiques. Il faut définir nos besoins et nos priorités pour solutionner ou compenser tout cela », a-t-elle [Le ministre du Commerce, Olga Ramalason] déclaré.
Noella Rakoto dans NewsMada
Il [le consultant auprès du Comesa, Freddy Mahazoasy] poursuit « L’application de l’APE n’est pas sans risque pour le commerce à Madagascar. Pour être compétitifs, les produits malgaches doivent se développer en termes de normes sanitaires et phytosanitaires. Il faut donc savoir mettre à profit cette compensation en redynamisant le secteur productif, en développant des produits à forte valeur technologique et en grande quantité ».
Fahranarison dans NewsMada
L’école des parents pour ranimer le civisme. 90 parents suivent actuellement l’école des parents, mise en place par l’OEMC en partenariat avec le Pnud et le Conseil de développement d’Andohatapenaka (CDA). L’école des parents, a pour objectif d’inculquer les bases de l’éducation à leurs enfants et d’améliorer la communication intrafamiliale mais surtout de ranimer le civisme des petits et grands. Le manque, voire l’absence de communication intrafamiliale a intensifié les problèmes civiques majeurs du moment. Ces derniers se manifestent notamment par des actes de vandalisme, la disparition de la politesse ou encore l’ingratitude des citoyens envers leurs pairs et leur patrie. Notons que trois régions (Analamanga, Vakinankaratra et Alaotra Mangoro) disposent actuellement d’une école des parents.
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