Mikama - December 4, 20113

Fahranarison dans NewsMada
Transparency international met en garde la communauté internationale sur le danger que représente la corruption. « L’heure est venue de mettre un terme à l’impunité dont jouissent certains responsables corrompus », a ajouté Huguette Labelle. (...) A ce propos, le coordonateur national de Transparency international, Florent Andriamahavonjy a annoncé une grande nouvelle qui peut améliorer la lutte contre la corruption à l’échelle internationale. Selon la récente déclaration du tribunal français, Transparency international peut saisir le tribunal international pour toute affaire concernant les biens mal acquis, perpétrée dans l’un des 177 pays concernés par l’IPC.
Reference: Transparency International : Rapport 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« Les résultats des recherches sont souvent gardés au fond des tiroirs. Les ingénieurs ne sont pas formés pour devenir des entrepreneurs, d'où la mission que s'est donnée l'association Hariasa d’aider les promoteurs de projets technologiques à devenir de véritables créateurs d'emplois. (..) « Tout au long du processus du concours lui-même, nous allons procéder à des formations et à des accompagnements ainsi qu’au plus important, le réseautage. Il s'agit de les mettre en relation avec les différentes parties prenantes de leurs projets, des partenaires, des business angels, des potentiels acheteurs ou des bailleurs de fonds, afin de faire accéder à plusieurs sources et de possibilités de financement d'une entreprise », conclut-il [Davida Rakotomalala].

Vonjy Radasimalala dans L'Express de Madagascar
La Grande île est classée, cette année, 127e sur les 177 pays notés contre 118ème sur 176 l'année dernière. La note obtenue est de 28 sur 100 contre 32 sur 100 en 2012. « Les huit sources enquêtées, entre autres, la Banque africaine du développement, la Banque mondiale ou le World economic forum se sont rapprochées du consensus durant cette enquête pour noter Madagascar. Il faut signaler que plus la note se rapproche de zéro, plus le pays est corrompu », a indiqué Solofo Rakotoseheno.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
 Les secteurs les plus vulnérables au changement climatique sont l’agriculture, l’eau, les zones côtières qui sont affectées par la pollution marine, la santé et la biodiversité.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
 La moyenne d’âge nationale est pourtant de 21 ans d’après l’Organisation internationale du travail (OIT). Pourtant, 1 jeune sur 2 est chômeur et 74% des jeunes sont considérés comme pauvres dont 80% en milieu rural et 51% dans les villes si l’on se réfère aux statistiques de 2011 sur la pauvreté. (..) Pour le cas de Madagascar, celle-ci est tirée par les mines et le secteur des services. Les impacts de ces secteurs sur le plan national sont moindres en termes de création d’emplois, de redistribution de revenus et donc de lutte contre la pauvreté. Sinon, 3/4 des travailleurs sont dans le milieu rural. L’agriculture est donc le secteur à privilégier si le pays veut sortir de la pauvreté puisque la grande majorité de la population active y travaille

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
... l’investissement public à Madagascar est seulement de 20 dollars par an pour 1 000 habitants d’après la Banque mondiale. Ce niveau est l’un des plus faibles au monde. Il est synonyme d’important déficit en matière d’infrastructures, d’investissement dans le capital humain (éducation, santé, sécurité…). Des experts avancent aussi qu’il faut consacrer 70% des investissements publics dans l’emploi, le revenu, la gestion des risques et catastrophes, la sécurité alimentaire, la nutrition, l’adaptation au changement climatique. Le pays est loin du compte. (...) la CNUCED recommande une bonne politique de crédit pour améliorer l’accès au financement. Elle évoque la nécessité de créer une banque de développement, des banques rurales qui devraient notamment profiter à l’agriculture et aux micro-entreprises. Pour le moment, Madagascar est au 180ème rang sur 189 pays en matière d’obtention de prêt.

Racl.R dans La Nation
Pour remédier à la situation des PMA dont Madagascar fait partie, les dirigeants doivent mettre le focus car sans emplois de qualité, il n’y a aucun développement économique possible. Pour classer un pays dans les PMA, trois critères à savoir le revenu par habitant, calculé sur la base des estimations moyennes de brut revenu national brut (RNB) par habitant pendant trois ans qui est inférieur à 1000 dollars, les ressources humaines et la vulnérabilité économique d’où la difficulté à entreprendre.

Noella Rakoto dans NewsMada
Entrepreunariat : vers l’accès aux services bancaires. Selon le directeur général de Mada Vision, Harilala Ramanantsoa, « La participation de Microcred à la Grande braderie permettra l’accès d’un nombre important de personnes aux services de cette institution ». Pour cette année, le responsable a annoncé 100.000 épargnants et 23.000 emprunteurs. L’objectif de cette initiative est aujourd’hui de développer l’accès des acteurs aux services que Microcred propose.

Arh. dans NewsMada
... le directeur général du Bianco, Faly Rabetrano, a déclaré que « Le Bianco s’intéresse tout au plus à la prévention et à l’éducation pour la lutte anti-corruption. » Cependant, dans les procédures d’enquête et l’application de la loi, le Bianco dénonce la non-continuité des actions dans la poursuite contre les auteurs de corruption. (...) le président de TI-IM, Alex Rafamantanatsoa, a tenu à souligner que : « La lutte anticorruption implique entre autres la lutte contre l’impunité. Le tribunal international en France annonce qu’il est désormais possible de lancer une poursuite contre les acteurs de corruption au niveau international. Quel que soit le rang ou la fonction de la personne et où qu’il soit, le tribunal international peut engager des poursuites contre cette dernière. Sur ce point Transparency international se porte  partie civile. »

Njaka Andriantefiarinesy dans NewsMada
... lafin-javatra dimy no tena iantraikan’ny fiovaovan’ny toetr’andro eto Madagasikara. Toy ny amin’ny rano, ny fahasalamana, ny fambolena, ny tontolon’ny zavamananaina an-tanety, ny tontolon’ny morontsiraka ary ny anaty ranomasina.
Anisan’ny endrika isehoany ny fisian’ny aretina any toerana, tsy nahitana azy hatramin’izay, toy ny tazomoka mandritra ny vanim-potoana ririnina aty afovoan-tany, ohatra. Eo koa ny fiovan’ny fotoam-pambolena, ny fahafatesan’ny akorandriaka anaty ranomasina, ny orambe, nefa tsy maharitra na ny haintany mafy, sns.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Des femmes retirent leur plainte pour violence à cause de la pression sociale. Une peine d'emprisonnement de 10 ans avec amende de un million d'ariary est prevue. (..) Véro­nique Randriamalala, une mère de famille dans le fokontany Antsahabe, à Bongatsara en est la preuve. Victime de coups et blessures perpétrés par son mari, cette mère de trois enfants a retiré sa plainte. « Sa famille m'a menacée de nous rejeter mes enfants et moi, si je mets les pieds au tribunal. De plus, nos voisins m'ont demandée qui nourrirait les enfants si jamais mon mari allait en prison, c'est pourquoi j'ai retiré ma plainte », confie la femme au foyer.

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