Mikama - December 19, 2013

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
La loi sur les grands investissements miniers ne prévoit qu'une très faible part pour les localités d'implantation. Douze pourcent du montant des investissements des compagnies devraient revenir aux collectivités territoriales décentralisés durant le projet, à travers les redevances...  « La LGIM favorise les compagnies, les 25% d'intérêt qui reviennent à l'État même si une quarantaine d'impôts vont s'y ajouter, ne pourront pas couvrir les impôts sur les revenus qui devront être versés dans les caisses de l'État », a poursuivi toujours Patrick Rasamoelina.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Qualité en terme de santé (hygiène, latrines, déparasitage, trousseau de secours...), de l'environnement (infrastructures salubres, lieu à l'abri des tapages et des bars, espace extérieur attrayant,...), de l'éducation (personnel compétent, relation avec les parents, savoir faire et savoir être,...), de la protection (zéro risque de danger pour les enfants, espace clôturé, relation avec les réseaux de la protection de l'enfance,...), et de nutrition (alimentation saine,...).
Le programme « Babeo » consiste ainsi, à la standardisation de la qualité de l'éducation dans le préscolaire, en vue d’une labellisation. Les centres seront notés sur cinquante points, et ceux qui auront une note de 25 à 35, seront baptisés « Akany soa », ceux qui seront notés entre 35 et 45, seront appelés « Akany mendrika », et enfin « Akany filamatra » pour les centres qui obtiennent 45 à 50 points.


Yanne Lomelle dans La Gazette de la Grande-Ile
Egalité dans le genre: Madagascar a régressé. Les femmes malgaches commencent peu à peu à trouver leurs places dans la société et tendent à abandonner le statut de « fanaka malemy » dont la culture malgache les traite. (..) Pourtant, bien loin de cette prise de conscience collective, il est à noter que 62% de la population estiment que les hommes sont mieux disposés à occuper des postes politiques, note bien inférieur à la moyenne africaine qui est de 69%. Par rapport à l’année 2005 ce chiffre a connu une baisse de 19 points car si la question a été posée en 2005, 81%, de la population considéraient qu’il ne doit pas y avoir de différence entre les hommes et les femmes. (..) A Madagascar, la lutte est de longue haleine car 32% des femmes malgaches attestent qu’elles sont souvent victimes de traitement inégal avec la gente masculine surtout les employeurs. (..) Quant aux institutions gouvernementales telles que la police et les tribunaux 25% des femmes ont des traitements inégaux par rapport aux hommes. (..) Cette inégalité dans le traitement des faveurs envers les hommes se présente même dans les familles malgaches car en zone ruraux 23% des personnes estiment que les garçons doivent être scolarisés et que les filles peuvent bien s’en passer.

Dans L'Info Re
"Avant mai 2015, les aires protégées de Madagascar doivent avoir le statut définitif", estime la Fondation des Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar qui a décidé de renforcer sa contribution pour l’année 2014 à hauteur de 64%. Si cette année, le financement de la FABDM était de 1,2 millions de dollars, soit l’équivalent de 872 790.68€, cela atteindra les 2.163.000 dollars (1 573 205.21€) l’an prochain. (..) Neuf promoteurs, assurant la gestion des 28 aires protégées du pays bénéficieront de ce financement pour 2014, parmi eux, Madagascar National Park qui gère 21 sites, Asity Madagascar (Complexe Mahavavy-Kinkony et Mangoky Ihotry), Wildlife conservation society (WCS au Makira), Missouri botanical garden (MBG à Oronjia et Analalava), et Peregrine fund à Tsimembo Manambolomaty, fait savoir le quotidien en ligne.

Hade'nah dans La Nation
La restitution de l’enquête de l’Afro Baromètre dans les 22 régions concernant la « disponibilité, l’accessibilité et la qualité des services publics à Madagascar » démontre que la majorité de la population n’est pas satisfaite du service public de la santé. En effet, parmi les citoyens qui ont essayé d’obtenir un traitement dans un centre de santé public ou dans un hôpital, seuls 43% considèrent que l’accès est facile si 39% disent le contraire.

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