Mikama - June 11, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Outre, l’appel à de nouveaux investisseurs étrangers, le professeur Olivaniaina Rakoto David a mis en exergue la nécessité d’une relance des investissements nationaux parmi les priorités. La mobilisation des épargnes dormantes auprès de certains établissements publics a été avancée comme un des moyens pour leur lancement. Ces fonds permettront en effet la mise en place d’une banque de développement, un projet qui n’a pas pu voir le jour. (..) Pour le long terme, d’autres mesures ont été avancées dont  la création de bourse de valeurs,  la mise en œuvre des moyens pour que  les secteurs économiques, les services sociaux et les secteurs publics procèdent à des recrutements massifs, la suppression des exonérations fiscales consenties aux entreprises sans effets suffisants sur l’emploi ainsi que la mobilisation de la population pour une plantation vivrière massive.

Fast Market Research dans Digital Journal
Confectionery Market in Madagascar: Databook to 2017: New Research Report Available at Fast Market Research. The report presents detailed historic and forecast data on the Confectionery consumption trends in Madagascar, offering consumption volume and value at market and category level. (..) Detailed category coverage is provided, covering seven product segments that include: - Chocolate - Gum - Sugar Confectionery.  Future forecasts allow marketers to understand the future pattern of market trends...

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Selon la Caisse nationale de prévoyance sociale (CnaPS), 10% des travailleurs bénéficient de la protection sociale, dont 7% sont des travailleurs salariés et les 3%, sont des enseignants non-fonctionnaires (ENF ou FRAM).
Pour le régime éducation, le code de prévoyance sociale fixe une cotisation de 8% de la part des patrons d’écoles, alors que pour le régime général, elle est de 13%. Les ENF, tout comme les travailleurs salariés assurent 1% de cotisation pour leur protection. Cela comporte les allocations familiales, les rentes et accidents de travail et la pension de retraite.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Après les bailleurs de fonds habituels comme la Banque mondiale, la Banque européenne d’investissement (BEI), l’Union européenne, la Banque africaine de développement (BAD), le Japon, des investisseurs privés s’intéressent donc à l’énergie. D’ores et déjà, on peut rappeler que la société chinoise qui était déjà sur un projet hydroélectrique sur le Betsiboka a déjà manifesté son intention de reprendre. (..) le taux d’électrification est encore très faible à Madagascar, soit 12% au niveau national, 39% en milieu urbain et 4,8% dans les campagnes. La Grande Ile a 12 fois moins de production énergétique que le Mozambique d’après les données de la Banque mondiale.

Anjara Rasoanaivo dans Midi Madagasikara
... les formateurs ont rappelé aux maires et délégués syndicaux, ainsi qu’aux responsables d’entreprises privées que s’affilier à la CNaPS  n’est pas un choix, mais une obligation. En cas d’infraction à la réglementation du régime social, la CNaPS en tant qu’institution  publique envoie une lettre de règlement à l’amiable auprès des employeurs qui persisteront à ne pas respecter la loi en vigueur. Ces derniers seront même passibles d’une amende et d’emprisonnement. Car peu de salariés du secteur privé touchent leur pension quand  ils partent à l’âge de la retraite à 60 ans, car leurs employeurs n’ont pas payé leurs cotisations, qui sont de 13% pour le régime général et  8%  pour le secteur éducation.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
L’hémorragie du post-partum est la première cause de mortalité maternelle à Madagascar. La prévention de cette complication ainsi que le soin au nouveau-né, figurent parmi les points focaux du programme MCHIP (Maternal and Child Health Integrated Program), programme phare de l’USAID, aujourd’hui arrivé à son terme. (..) Au terme de sa mise en œuvre, MCHIP a pu atteindre exactement 1.785.027 personnes. Par ailleurs, 1102 personnes ont pu bénéficier des séances d’information sur les bonnes pratiques pouvant améliorer la santé de la mère et du nouveau-né, 873 agents de santé répartis dans 64 districts, ont été formés en SMN. 756 agents communautaires ont également ou être formés et 40 communes et 272 fokontany disposent d’un plan d’urgence fonctionnel. Plus de 500 femmes et 54 nouveau-nés ont pu bénéficier de ce plan d’urgence. (..) MCHIP arrive à son terme, mais un autre programme se profile déjà à l’horizon : MACS : « Maternal and Child Survival », probablement pour « prendre le relais ».

Racl.R dans La Nation
En attendant, le Collectif Tany revendique l’abrogation des articles 18 et 19 de la loi sur les investissements 2007-036 qui autorisent la vente de terrains aux sociétés étrangères qui ont un associé malgache. Il faut aussi arrêter l’attribution de terres aux investisseurs, sous forme de bail emphytéotique, de concessions ou autres et l’arrêt des accaparements de terre. Enfin, il doit y avoir un renforcement des droits des communautés locales qui vivent et travaillent sur les propriétés privées non titrées (PPNT) de manière légitime. L’expérience du passé a démontré que le fait de donner avantage aux étrangers n’a pas apporté le développement escompté. Lorsque les investissements impliqueront le développement local et national, incluant le développement du capital humain, alors le contrat mérite d’être signé…
Noella Rakoto dans Newsmada
L’indisponibilité des matières premières demeure le principal problème du secteur de l’artisanat. (..) Le premier responsable du département de tutelle conforte l’idée que la culture ne peut être dissociée de l’artisanat. Aujourd’hui, une politique nationale est en cours d’élaboration à ce sujet. (..) Pour rappel, près de 2 millions de malgaches dépendent de l’artisanat. Un secteur qui représente près de 10% du PIB.

George R dans Newsmada
La consommation de viande à Madagascar, toutes sources confondues, s’élève en ce moment à 5kg par habitant par an, selon les enquêtes menées par le Plan d’Action pour le Développement rural (PADR) et le Réseau des Observatoires ruraux (ROR). Mais la consommation au niveau national a fortement baissé ces dernières années, cela en raison de l’effritement du pouvoir d’achat de la population, ainsi que des problèmes rencontrés au niveau de la filière. Celle-ci s’élevait à 40kg par habitant par an dans les années 1990, soit une diminution de l’ordre de 35kg en l’espace de deux décennies. (..) A noter que la viande bovine représente 75% de la consommation carnée de la population malgache. Antananarivo demeure le pôle de consommation de viande bovine. Le Moyen-ouest assure les deux-tiers de l’approvisionnement en viande des marchés de la capitale. Les régions excédentaires (Sud, Ouest, Nord-est) approvisionnent (généralement des bœufs sur pieds) les Hauts-plateaux et l'Est, déficitaires.

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