Mikama - June 27, 2014

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Le Projet pôle intégré de croissance II prévoit entre autres de nouvelles localités d’intervention, à savoir Toliara et Antsiranana. Ces derniers s’ajouteront aux trois premiers bénéficiaires que sont Antsi­rabe, Nosy-Be et Tola­gnaro. Pour les domaines d’intervention, le projet se focalisera en grande partie sur le Tourisme, notamment à Nosy-Be et Antsiranana, puis sur l’agriculture. (..) Mis en œuvre à Tolagnaro depuis septembre 2005, le PIC est intervenu dans différents projets, comme la construction du port d’Ehoala à hauteur de 35 millions de dollars, le bitumage des routes de la ville, la construction des rues et ruelles en pavé, le remplacement des conduites principales, primaires et secondaires d’eau potable, la fourniture de fils conducteurs pour l’énergie électrique, et l’éclairage public. Selon Rollis Rakotosamimana, délégué du Secrétaire nationale Pôle Tolagnaro, des appuis au secteur privé à travers des formations et la facilitation de l’accès aux infor­mations ont été fournis.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
... si Madagascar est un pays à vocation agricole, les centres urbains créent 3/4 du PIB, alors qu’Antananarivo à elle seule génère 55% du PIB national. A l’heure actuelle toutefois, la capitale est complètement saturée presque sur tous les plans (transports, logements, établissements scolaires publics, etc.) C’est dans ce sens que le ministère projette une extension. (..)  La dernière étude de la Banque mondiale sur l’urbanisation à Madagascar note, en effet, qu’un gain de 10% des rendements économiques au sein des centres urbains devrait déboucher sur une hausse de 7% du PIB.  

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Les conditionnalités des bailleurs traditionnels se tournent aujourd’hui autour de la vérité des prix et de la suppression des interventions de l’Etat sur le marché. Ces options ont pourtant été évoquées depuis 2012.  » Si l’on a procédé progressivement à l’application de la loi du marché, on aurait épargné 150 millions USD, soit 300 milliards d’Ariary, depuis deux ans », a affirmé le représentant du Trésor Public. Pour la JIRAMA, les subventions accordées par l’Etat se totalisent à 20 milliards d’Ariary par mois. En une année, cela fait 240 milliards d’Ariary. Il faut croire que les gaspillages des fonds publics se trouvent surtout dans le secteur de l’énergie. Avec les dépenses dans les centrales thermiques à Madagascar, pour la location de groupes et l’achat de carburants, on aurait pu construire 13 centrales hydroélectriques comme celle à Sahamivotry, a informé le DG du Trésor.

Racl.R dans La Nation
Selon le directeur général du Trésor public, la règle de séparation de fonction entre l’ordonnateur et le comptable public n’est pas respectée. Le Trésor public n’est pas en mesure d’assurer la fonction de suivi de ces deniers publics. Selon les textes, les dépenses des communes qui ont utilisé ces fonds publics doivent être contrôlées par des juridictions financières comme le tribunal financier par exemple mais aucune de ces communes dont le contrôle échappe au Trésor public, n’est en mesure de fournir ou de produire des pièces justificatives.

Dans Newsmada
... le nombre de visiteurs internationaux s’intéressant à la découverte de la Grande île stagne encore actuellement autour des 200 000, c’est-à-dire très loin du niveau enregistré en 2008 (375 000 touristes). Mais les autorités et autres acteurs du tourisme ambitionnent cette année d’atteindre les 350 000 à 400 000 touristes.

Fahranarison dans Newsmada
Plus de 50 % de la population n’ont pas accès à l’eau potable. La majorité des zones rurales enclavées ne sont pas épargnées par cette situation, comme c’est le cas de Mananety (commune rurale d’Amboanana). Heureusement, ce village vient de se doter d’un réseau de système d’adduction d’eau potable grâce à l’appui financier de l’ONG Madagascar development fund (MDF) et de ses partenaires. Le coût de construction de cette infrastructure, inaugurée la semaine dernière, s’élève à 4.825.461 ariary. Le projet a vu le jour grâce à l’appui financier de deux ONG étrangers, Frazer kidd et Adsum foundation, en partenariat avec MDF. (..) Ce projet permet non seulement de donner accès à l’eau potable aux quelque 310 villageois mais aussi de changer leur comportement face à l’hygiène et à l’assainissement. Ce

Noella Rakoto dans Newsmada
En effet, le girofle est l’un des produits d’exportation de Madagascar. Le pays en a notamment exporté à travers le monde près de 15.742 tonnes en 2009, selon les données de la direction générale des douanes, disponibles sur le site du trademap. Même si en 2010, la production malgache a chuté jusqu’à près de 8.306 tonnes, elle a repris l’année suivante avec 22.014 tonnes. En 2013, les statistiques de la douane malgache ont enregistré 12.473 tonnes de girofle produites. (..)  L’Indonésie et le Brésil sont les principaux concurrents de Madagascar en la matière. (..) Par ailleurs, l’Inde et l’Asie sont les principaux importateurs du girofle malgache.

Samy R. dans Newsmada
Industries extractives : les fleurons de l’économie malgache... d’après les prévisions, entre 40 000 et 46 000 tonnes [de nickel, projet minier d"ambatovy] seront produits cette année, ce qui avoisine le chiffre de 60 000 tonnes annuelles avancé de la capacité de production à plein régimes... rapportera notamment, outre divers autres avantages, 1 million de dollars de recettes. (..) La phase de test s’étalera sur six mois durant lesquels Madagascar oil produira 55 000 à 73 000 barils d’huile lourde du périmètre contractuel Tsimiroro - Bloc 3104.

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