Mikama - June 23, 2014

Folojaona dans La Gazettede la Grande-Ile
...conflit d’intérêt, lequel est prévu et réprimé par l’article 182 de la loi N° 2004-030 du 09 septembre 2004 sur la lutte contre la corruption dispose que « un conflit d’intérêt survient lorsque les intérêts privés d’un agent public ou de toute autorité publique coïncident avec l’intérêt public et sont susceptibles d’influencer l’exercice des devoirs officiels. Tout conflit d’intérêt doit être immédiatement déclaré auprès de l’autorité hiérarchique. Le non respect de cette obligation sera passible d’un emprisonnement de 6 mois à deux ans et d’une amende de 500.000 FMG ou 1 Hetsy Ariary à 50 millions de FMG ou 10 Tapitrisa Ariary, ou de l’une de ces deux peines seulement. » (..)  les médias comme étant le Quatrième Pouvoir et le seul contre-pouvoir capable de révéler les actes et faits de corruption. Par conséquent, la loi du silence peut être brisée.

Noro Niaina dans Newsmada
Le taux de prévalence de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de cinq ans est très préoccupant dans la région de Menabe, soit un enfant sur trois (30,3%). La situation au niveau national concerne presque la moitié des enfants, soit un enfant sur deux (47,3%). (..) Selon les explications du coordonnateur national de l’Office national de nutrition (ONN), Jean François, Madagascar fait partie des 36 pays dans le monde où le taux des enfants ayant un retard de croissance s’élève à 90%. Et de poursuivre qu’en 20 ans (1992-2012), le taux de la malnutrition chronique avoisine les 50%.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
En effet, le Canada est le plus grand investisseur à Madagascar en apportant plus de 7,3 milliards de dollars pour le projet Ambatovy qui exploite du nickel et du cobalt en créant plus 9 000 employés dont 87% d’entre eux sont des Malgaches formés de haut niveau. (..)
« Madagascar figurera parmi les douze pays prioritaires pour le Canada en matière d’attrait des investissements pour assurer un développement économique dans le monde. A part le secteur minier, le Canada s’intéresse également aux secteurs éducation, agriculture, élevage et à la transformation agro-alimentaire ainsi qu’au pétrole et au gaz et aux infrastructures, grâce à ses compétences et ses technologies de pointe », fait savoir le ministre canadien Ed Fast.

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
« Les consommateurs mangent n’importe quoi avec des résidus de pesticides dans les produits agricoles qui ne passent sous aucun test de laboratoire. Les éleveurs de porc qui utilisent la pilule ou l’injection destinée à la planification familiale, pour avoir de la viande grasse, échappent au contrôle, faute d’abattoir normatif. Ces aliments vont directement de la ferme aux étalages », déclare la doctoresse Felaniaina Miraho Rajemi­arimoelisoa, médecin biologiste, spécialiste en santé publique auprès de l’Agence de contrôle sanitaire et de la qualité des denrées alimentaires (ACSQDA) du ministère de la Santé publique. Selon cette doctoresse, le résidus de pesticides sont une des causes des cancers d’origine alimentaires.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
2,5 millions d’euros par an. Il s’agit des retombées financières globales dont Madagascar pourrait bénéficier dans le cadre du nouveau protocole d’accord sur la pêche thonière conclu il y a quelques jours avec l’Union européenne. (..) Et, sur les quatre années d’application, les montants versés par l’Union européenne s’élèveront à 6 107 500 euros, soit l’équivalent de 19,5 milliards d’ariary. Par rapport à la situation actuelle, ces retombées financières seront ainsi en hausse de 20%. L’appui spécifique à la politique des pêches s’élèvera par ailleurs à 700 000 euros par an, soit l’équivalent 2,24 milliards d’ariary contre  550 000 euros correspondant à 1,75 milliard d’ariary.

Fanjanarivo dans La Gazettede la Grande-Ile
Philippe Murcia explique : « Dans le cadre d’une économie mondialisée, les problèmes deviennent de plus en plus complexes et le dirigeant d’entreprise ne peut plus piloter sans aide extérieure. Le décideur quel qu’il soit a besoin de conseillers expérimentés pour l’aider à proposer des solutions et faire des choix ». La société [Ocean company consulting] qu’il a créée propose ainsi un coaching dans un état d’esprit positif et avec comme objectif d’effectuer un diagnostic rapide sur les fondamentaux de l’entreprise, d’examiner avec les dirigeants de l’entreprise et les équipes les solutions innovantes et acceptables selon leur planning. Le tout devrait être accompagné d’indicateurs de performance.

Valis dans Tribune de Madagascar
Madame Zo Randriamaro, la coordinatrice du CRAAD-OI, a indiqué qu’à Madagascar, le cadre légal et institutionnel est particulièrement favorable aux investisseurs, alors qu’il manque cruellement de mécanismes de régulation des investissements, et de sauvegarde des droits humains de la population concernée par les investissements. (..)  elle a recommandé la ratification et l’intégration par le gouvernement des Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme des Nations Unies dans les codes relatifs aux investissements (Code des investissements et Code minier), ainsi que des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Elle a aussi recommandé la mise en place d’un mécanisme permanent, inclusif et effectif de contrôle des investissements au regard des droits humains...

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Le dollar américain s’achète actuellement à 2 358,24 Ariary et l’Euro à 3 204,52 Ariary. (..)  A la même période en 2013, l’équivalent de 1 Euro n’était que de 2 872,09 Ariary. En un an, le prix de l’Euro a donc augmenté de 332,43 Ariary. Il faut reconnaître que c’est la valeur de l’Ariary qui a considérablement diminué, car le dollar américain a également connu la même évolution. En juin 2013, le dollar était à 2 169,55 Ariary, soit une augmentation 188,59 Ariary, jusqu’ici. On se demande toujours si la dépréciation de notre Ariary est bonne ou mauvaise pour l’économie. Dans tous les cas, elle favorise les exportations et décourage les consommations inutiles de produits importés et les gaspillages.

Racl.R dans La Nation
Madagascar, avec ses ressources en pierres industrielles ou en pierres précieuses, intéresse plusieurs investisseurs concernant la fourniture de machines indispensable pour leur exploitation. Le pays regorge également d’une multitude de petits exploitants. Ce qui manque en effet depuis des lustres, ce sont ce genre d’investissement selon les petits exploitants miniers notamment dans l’octroi des matériels et équipements pour la transformation. (..) La société MACHINE (MAdagascar-CHINE) a été établie pour jouer le rôle d’intermédiaire entre ces deux demandes. (..) A travers cette interface, les petits exploitants miniers peuvent ainsi rechercher des partenaires financiers afin qu’ils puissent procéder à l’expansion de leurs activités.

Noro Niaina dans Newsmada
La ville de Morondava vient d’être dotée d’une station synoptique, installée dans le cadre du Projet d’urgence pour la préservation des infrastructures et la réduction de la vulnérabilité (Pupirv). Cette localité fait partie des cinq sites bénéficiaires de stations synoptiques automatiques, avec Nosy Be, Sainte-Marie, Mananjary et Antsirabe (..) Le projet, financé par la Banque mondiale à hauteur de 330.000 dollars, soit environ 760 millions d’ariary, est exécuté par la Cellule de prévention et de gestion des urgences (CPGU), rattachée à la Primature. « L’acquisition de ces stations est bénéfique pour s’informer très rapidement de manière précise sur les données relatives aux températures, à la pluviométrie, à la vitesse du vent et à la prévision météorologique en général », a expliqué le secrétaire exécutif de la CPGU, le colonel Mamy Razakanaivo.

Nadia dans Newsmada
« Madagascar n’a aucun problème d’eau, nous sommes riches en eau, mais la difficulté se situe au niveau de son forage et de son exploitation » explique le président directeur général de la compagnie [groupe Revaforage], Didier Betsiaroana. (..) plusieurs eaux de Madagascar ne sont pas potables. Ainsi la plupart de la population boit de l’eau souillée ou non bio et encore moins thérapeutique. Les eaux potables se trouvent sous terre et non en surface soit entre 40 et 70 m de profondeur.

Noella Rakoto dans Newsmada
Selon le directeur général de la société du port à gestion autonome de Toamasina (Spat), Christian Eddy Avellin « Le trafic maritime croit de 10% par an. Au vu de ce constat, nous avons décidé en 2009 d’anticiper le réaménagement de nos installations. 13 ha d’aires de stockage sont disponibles actuellement. Les routes ont également été rénovées et l’éclairage de l’enceinte renforcé ».