Mikama - June 16, 2014

Mahefa Rakotomalala dans L'Express de Madagascar
L’AMIC regroupe sept membres actifs composés de fonds et sociétés de capital investissement basés et également actifs à Mada­gascar, ainsi que d’une société de garantie. Outre le MDP, il y a également Adenia partners, Assist développement, Fiaro, Fonds de portage et privatisation (FPP), Investis­seurs et partenaires, Sonapar et Solidis. Elle a pour vocation de représenter, de fédérer et de promouvoir la profession de capital-investissement à Madagascar auprès des pouvoirs publics. (..) À la fin de l’année  2013, le cumul des montants levés par les membres fondateurs de l’AMIC s’élève à 400 millions de dollars. 62% de ce fonds ont été levés auprès d’institutions comme les agences de développement et les institutions financières et 38% auprès du privé. Sur ces 400 millions de dollars, 150 millions de dollars ont été investis. Les financements octroyés ont été majoritairement dirigés vers le secteur tertiaire qui représente 83% des investissements comme l’hôtellerie et le tourisme.

Racl.R dans La Nation
La législation malgache actuelle exige un business plan à l’intérieur du dossier de demande d’attribution de terre de grande superficie, supérieure à 2 500 ha, étudié par un comité interministériel qui analyse le projet du point de vue de l’impact socio-économique, entre autres, avant de prendre une décision sur un rejet ou une approbation. 9..) Les entreprises et investisseurs nationaux et étrangers affirmant volontiers être prêts à contribuer au développement durable de Madagascar, devront respecter trois caractéristiques reconnues du développement durable qui n’est autre que l’efficacité économique, la responsabilité écologique et la solidarité sociale.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
D’après le journal Madagascar conservation & development (MCD) de juin 2014, la Grande Ile abrite 6 espèces endémiques de baobabs dont 3 sont « en danger » et 3 « quasi-menacées » selon la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Mais Madagascar nourrit des contradictions qui risquent fort de nuire aux baobabs. D’un côté, il a consenti à des engagements en ratifiant des conventions internationales sur la diversité biologique (CDB) et sur le commerce international des espèces menacées (CITES). Il s’engage ainsi à assurer la conservation et la gestion durable des baobabs, notamment les espèces les plus menacées. Mais de l’autre côté, le journal cité plus haut rappelle que l’arrêté n°2915/87 du 7 septembre 1987 sur les produits accessoires des forêts, considère les baobabs comme des produits forestiers non ligneux. Ils peuvent donc être exploités et aucune disposition n’a été prise pour gérer durablement leur exploitation.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Singapour est maintenant l’investisseur le plus important en Afrique parmi les pays de l'ASEAN, selon le rapport des Nations unies sur les investissements dans le monde en 2013. Ses investissements en Afrique ont atteint un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 11,2% sur les 5 années précédentes, atteignant 15,9 milliards US$. Les liens commerciaux Singapour-Afrique ont également augmenté, atteignant 11 milliards US$ en 2013, pour parvenir à un TCAC de 11,7% depuis 2009. Selon International Enterprise (IE) Singapore, l'organisme gouvernemental de promotion du commerce et des investissements de Singapour à l'étranger, 60 sociétés singapouriennes opèrent dans plus de 50 pays en Afrique. Leurs projets couvrent un large éventail de secteurs (agro-business, alimentation, pétrole et gaz, administration en ligne, TIC, transports, logistique).

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Commerce international: Seules 15% des petites entreprises exportent. Le chiffre est de l’International trade board of Madagascar (ITBM) ou l’organisme qui fait la promotion de l’exportation. (..)  Concernant l’exportation, l’artisanat est le secteur de prédilection des petites entreprises. Parmi les branches concernées, on peut citer le textile et le raphia.

R.Edmond. dans Midi Madagasikara
« Trois projets sont actuellement en gestation », nous a déclaré William Ranaivosolo, Administrateur d’Ehoala Park. Il s’agit, a-t-il précisé de projets initiés par des opérateurs économiques locaux. Des projets qui concernent des secteurs promoteurs et adaptés au contexte d’Ehoala Park. En l’occurrence, un container fret station, un abattoir industriel étalé sur une superficie de 10 ha et enfin, une unité de transformation de fruits et miel. Il s’agit, en somme de projets essentiellement tournés vers l’exportation.

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