Mikama - June 17, 2014

Racl.R dans La Nation
... l’introduction du NMP [Nouveau Management public] a permis d’éviter de nombreux gaspillages et de réaliser des économies substantielles et pour le cas de Madagascar actuellement, c’est une option. « En Nouvelle Zélande, selon l’ancien ministre de l’Industrie Mac Tigue (2005), les effectifs de l’administration ont été réduits de 66%, la part de l’État dans le PNB est passée de 44% à 27% tout en permettant une augmentation de la productivité. Les excédents budgétaires ont permis de réduire la dette publique de 63% à 17% du PNB et de réduire les taux d’imposition sur le revenu. Cette réduction a entraîné des recettes supplémentaires de 20%. Selon Burnham (2000), au Royaume-Uni, le NMP a permis une réduction des coûts, une hausse de la qualité des services, une meilleure productivité et une forte diminution du nombre de fonctionnaires (moins 34% depuis 1979) », toujours d’après la publication.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le coût de l’électricité est relativement cher à Madagascar dans la mesure où le pays est classé 16ème pour le tarif social et 17ème pour le tarif industriel moyenne tension sur 39 pays similaires en Afrique. (..) Pour l’heure, la couverture territoriale en électricité est faible avec un taux de 12%, contre 52% au Sénégal et plus de 75% en Afrique du sud.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Il faut savoir que les programmes proposés par les OSC jusqu’à présent sont surtout axés sur la Transparence de la gestion des fonds publics, l’Amélioration de la gestion financière, la Transparence dans la passation des marchés publics, la mise en œuvre TRS dans les zones minières, la Transparence de la gestion des impôts fonciers et sisaliers. (..)
Depuis le lancement de cette initiative, le PGDI a effectué jusqu’en début mai, 61 décaissements pour 75 OSC dans les régions Analamanga, Anosy, Vakinankaratra, Diana, Atsinanana et Alaotra-Mangoro ; ce qui fait un montant total de 423,86 millions Ariary. Rappelons qu’en tout, le bailleur a alloué près de 875,2 millions Ariary à ces organismes de la société civile.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
« La société civile revendique le respect des Droits de l’Homme qui devrait se faire par le respect des lois en vigueur », avance Éric Rapa­rison, coordonnateur national de la Plateforme de la société civile œuvrant pour le foncier ou SIF. La politique foncière mise à jour en 2005 a supprimé la présomption de domanialité, au profit d’une présomption de la propriété privée », poursuit-il.  Cette nouvelle disposition stipule en effet, que les occupants des terrains classe´s dans les propriétés privées non titrées sont reconnus comme propriétaires, sans détenir les documents fonciers, mais après identification dans le cadre d’un plan d’occupation foncière (PLOF), et leur enregistrement auprès des services fonciers.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
« les activités agricoles et d’élevage, qui constituent la principale source de revenu, de la population locale sont perturbées suite à l’implantation des investisseurs. Leurs droits de jouissance non écrits de la terre qu’elle occupe pendant des années servant entre autres de pâturage ne sont plus respectés...  la loi sur l’environnement qui a été publiée durant la période de la Transition devient biaisée, et ce, au détriment des occupants. A titre d’illustration, ces derniers sont interdits d’exploiter la forêt car c’est une réserve classée selon la loi. Cependant, des permis miniers sont délivrés au profit des investisseurs », a-t-il [Eric Raparison, le coordonnateur national de la SIF (Solidarité des Intervenants sur le Foncier)] dénoncé.

Lantoniaina Razafindramiadana dans L'Express de Madagascar
Cette année, dix Fonds régionaux de développement agricole ou FRDA seront financés par l’Union européenne, le FIDA et l’Agence française de développement. À travers ces
fonds, les producteurs pourront bénéficier de services, mais aussi d’infrastructures et d’équipement subventionné. Selon les explications fournies par le Chef de projet FRDA à Morondava Frédéric Louvet, le FRDA subventionne différents besoins des producteurs. « Pour les équipements individuels, ils sont subventionnés à hauteur de 50%, et les 50% restant proviennent des institutions de microfinance qui travaillent en partenariat avec les associations des paysans », explique-t-il.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
500 US$ ou environ 1 000 000 Ar par personne affectée par la malnutrition. C’est la perte de productivité et de dépenses de santé occasionnée par ce fléau selon les données de la FAO publiées le 12 juin dernier. (..) Ce montant dépasse de très loin le seuil national de la pauvreté à Madagascar qui est de 535 000 Ar par an, alors que le ménage moyen dans le pays vit en-dessous de ce seuil d’après l’Enquête nationale sur le suivi des Objectifs du millénaire pour le développement (ENSOMD) publiée dans le courant du 1er semestre 2014. Il faut toutefois noter que la part de l’alimentation dans la consommation totale des ménages est de 68% pour l’ensemble du pays, contre 72% en milieu rural Ces chiffres reflètent la pauvreté dans laquelle vivent la grande majorité des Malagasy. Malgré la forte proportion des dépenses alimentaires, la malnutrition  frappe d’une manière chronique la moitié des enfants de moins de 5 ans.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
... l’Enquête nationale sur le suivi des Objectifs du millénaire pour le développement (ENSOMD) avance que l’extrême pauvreté affecte 52,7% des Malagasy sur la période 2012-2013. L’OMD concernant ce point devrait se situer à 14% en 2015 si on se réfère aux engagements pris dans ce domaine. (..) Il faut rappeler que l’extrême pauvreté nationale est définie par un revenu annuel de 375 000 Ar par personne.

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