Arnaud R. dans Midi Madagasikara
A l’heure actuelle, 4 402 000 élèves sont inscrits dans les écoles primaires, 1 140 000 dans les collèges, 262 900 les lycées, et 246 552 dans les préscolaires. Ce qui donne approximativement le total de 6 millions d’élèves dans tout le pays, établissements publics et privés confondus. Et d’après cette statistique, les élèves dans les écoles primaires sont quinze fois plus nombreux que ceux dans les lycées.
Racl.R dans La Nation
A ce rythme, combien de pauvres y aura-t-il d’ici 2020 si actuellement, on a 92% de pauvres selon les chiffres officiels ? (..) Pour l’économiste Ratsietison, il faut trouver les moyens de faire entrer des devises dans le pays pour combler le déficit. Il explique que le pays ne doit plus exporter des produits bruts comme le café mais devra les transformer sur place et exporter des produits travaillés avec plus de valeur ajoutée. D’après ses explications, cette transformation de nos produits bruts, augmentera leur valeur et va créer des emplois pour les jeunes arrivés sur le marché du travail. (..) D’un autre côté, il faut aussi limiter les importations en soutenant la production locale qui devient aussi prospère à la suite logique de l’augmentation du pouvoir d’achat de tout un chacun. Il faut soutenir les paysans producteurs à produire plus et à l’échelle industrielle et en seulement deux ans, le pays n’importera plus de riz par exemple.
R.Volatsara dans La Gazette de la Grande-Ile
Gestion des permis miniers : la mise à jour des cadastres est nécessaire. 2,9 milliards de ristournes ont été encaissées par 17 régions et communes confondus en 2013. Les plus grandes parts reviennent à la région Anosy et à la commune rurale d’Ampasy Nahampoana, s’élevant respectivement à 990, 88 milliards d’ariary et 918,22 milliards d’ariary. Ceux-ci sont les données publiées dans le rapport de l’EITI en 2014. Ainsi, il rapporte que 423,92 milliards d’ariary des recettes fiscales ont été reçues du secteur extractif en 2013 contre 305,42 milliards en 2012. (..) Pourtant, selon la société civile, le taux de recevabilité n’est que symbolique, 2%. C’est très peu par rapport aux sommes collectées par les industries extractives.
Riana Rakotoarisoa dans Newsmada
Les aides européennes à Madagascar qui couvrent la période 2014-2020, se concentreront sur trois secteurs, a-t-on appris hier à l’hôtel Carlton Anosy lors de l’atelier d’échanges sur la version provisoire du Plan indicatif national (PIN) qui définit la coopération entre le gouvernement malgache et l’UE. Ces trois secteurs concernent la gouvernance, les infrastructures et le développement rural. (..) L’Union européenne a identifié quatre pôles à fort potentiel économique pour ses interventions, notamment le Nord de l’île, le Sud, le Sud-Est, l’agglomération d’Antananarivo et le port de Toamasina.
No comments:
Post a Comment