Mikama - May 8, 2017

Hanitra R. dans Midi-Madagasikara
La déforestation a diminué de 40% dans six aires protégées clés de Madagascar à savoir  les parcs Kirindy-Mite et Tsimanampetsotse, la réserve spéciale d’Andranomena et les nouvelles aires protegées (NAP) de Amoron’i Onilahy, Ankodida et Nord Ifotaky. Une amélioration obtenue grâce à la surveillance aérienne. En effet, en quatre ans, de 2012 à 2016, les défrichements ont nettement diminué. Cette baisse va de 3450 ha à 1166 ha, soit 66% pour Kirindy-Mite ;  de 46ha à 8,5 ha, soit 81% pour Tsimanampetsotse. Quant à Andranomena, elle va de 143 ha à 54ha, soit une baisse de 62%. La NAP d’Amoron’i Onilahy, quant à elle affiche une baisse de 40%, le défrichement étant passé de 69 ha à 41ha. Celle d’Ankodia qui affiche une baisse des défrichements, passés de 12ha à un peu moins de 3ha, soit une baisse de 77%. Et enfin, Nord Ifotaky, où les défrichements sont passés de 100ha à 51 ha, soit une baisse de 48%.

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
 Au cours du premier trimestre, Mada­gascar a fait entrer 85,2 mil­lions de DTS contre 77,8 mil­lions de DTS pour la même période en 2016. « La croissance des investissements est constatée dans les entreprises franches que ce soit celles des services ou du textile. Dans ce qu’on dit service, on peut noter les entreprises ayant des activités de centres d’appel ou de services informatiques.  En ce qui concerne le secteur télécom, les opérateurs ont investi énormément dans le développement des infrastructures, notamment dans l’extension des zones de couverture », a expliqué Alain Hervé Rasolofon­draibe, gouverneur de la BFM

Lova Rafidiarisoa dans L'Express de Madagascar
Le comité monétaire de la Banky foiben’i Madagasikara (BFM) a décidé hier de relever le niveau du taux directeur de 8.3% à 9.0% à compter du 11 mai et de maintenir inchangé le niveau du coefficient des réserves obligatoires à 15%.

Sera R. dans NewsMada
47,3% des enfants de moins de cinq ans souffrent de retard de croissance au pays du fait que les mères commencent leur grossesse avec des carences nutritionnelles. Contrairement à ce que l’on pense, ce n’est pas dans le Grand sud que prévaut la malnutrition chronique mais plutôt sur les Hautes terres. Dans les régions Haute Matsiatra, Itasy et Vakinankaratra, elle a un taux de prévalence de 66 %, contre 42% pour l’Androy. (..) Trois raisons ont été citées comme source de cette situation. La première est l’ignorance ou le non respect des 5 codes de couleur nutritionnelle, si la deuxième est que les habitants de la région sont en majorité des ouvriers agricoles qui n’ont de terre à cultiver que par lopin ou par métayage. Quant à la troisième, elle s’explique par la préférence des paysans de vendre la totalité de leurs produits, sans penser à leurs besoins. (..) Selon le rapport de l’étude Coût de la faim en Afrique (CDFA), réalisé l’année dernière, l’économie de Madagascar perd environ 3 384 milliards d’ariary, soit quelque 1,5 milliard de dollars par an, à cause de cette situation. L’équivalent de 14.5% du Produit intérieur brut (PIB) du pays

Manou dans NewsMada
Six des onze fokontany de la commune rurale d’ Ambohipihaonana vont bénéficier désormais de l’eau potable. Le groupe Financement sans frontières a pris en charge le financement des travaux d’un montant approximatif de 300 millions d’ariary contre le traditionnel apport bénéficiaire de 10% de la commune. Vingt et quatre bornes-fontaines publiques sont prévues dans ce projet ... Plus de 2.700 personnes jouiront des retombées de ce partenaria

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